Bonjour tout le monde!!! Voici ma première fic et j'espère qu'elle vous plaira. Je doit avouer que je ne sais pas jusqu'où elle va me mener, mais pour l'instant je la met ici, dans Draco/Hermione. Je suis consciente que le début peut vous paraître long, mais je vous promets, après qu'il y aura beaucoup plus d'action!! Je vous souhaite bonne lecture et j'attends vos reviews!!!

Pour notre monde

Chapitre 1

Une vague de chaleur déferla sur l'Angleterre en ce mois de juillet. Une chaleur sans précédent, qui détrôna pour la première fois de son histoire, la caractéristique principale de ce pays; la pluie. Malgré ces magnifiques journées de soleil, la joie semblait manquer à cette communauté durement éprouver. Dans le monde sorcier, la nouvelle de la mort de l'illustre directeur Dumbledore a été un dur choc. Cette nouvelle, n'allant bien sur pas seule, annonçait le retour de Vous-Savez-Qui. Une terreur régnait dans le monde magique. La guerre pointait à l'horizon. Une guerre que personne ne pourra fuir et que l'issue semblait de plus en plus incertaine. Et pourtant, en cet été, après la mort de Dumbledore, le monde magique était calme, trop calme. Le calme avant la tempête, disait certains. Il ne restait qu'à prévoir le début de la fin.

Le ministère de la magie ne parvenait plus à contrôler les informations transmises à la communauté magique. À vrai dire, le ministère de la magie ne contrôlait plus grand-chose. Le retour du plus grand mage noir qu'à connue le monde n'est plus un secret, et malgré le peu de raids par les mangemorts, la communauté était aux aguets. L'espoir semblait de plus en plus mince. Malgré l'acharnement du grand Harry Potter, celui-ci ne restait qu'un jeune homme. Les plus optimistes croyaient encore en ce jeune garçon, mais de plus en plus de sorciers perdaient espoir. Si le plus grand mage de magie blanche a été assassiné par l'ennemi, en quoi le jeune Potter pourrait faire mieux?

De l'autre coté, dans les quartiers moldu, la vie sociale n'était pas modifier. Quelques disparitions furent compiler dans les fichiers des autorités, mais rien d'alarmant. Quoi de plus naturel que des disparitions dans une grande ville telle que Londres? Peu de moldus étaient conscients du danger qui les entourait. Mais qui peut les en blâmer? Le monde sorcier voulant protéger leur secret n'a pas voulu s'unir avec la communauté non sorcier.

Voilà qui est bien égoïste, pensa Hermione Granger de plus en plus dépiter par les réactions du monde magique. Ce n'est certainement pas ce que Dumbledore aurait souhaité.

Hermione leva les yeux de la Gazette sorcière. Encore que des disparitions à petites échelles et quelques scandales au ministère. Rien d'intéressant, en fait. Les informations importantes ne semblait pas vouloir être étalée, constata la meilleur élève de Poudlard. Peut-être était-ce mieux ainsi, l'ennemi n'obtiendrait aucunes informations pertinentes.

Hermione se leva et regarda dehors par la fenêtre de sa chambre. C'était une belle journée de juillet. Il faisait chaud et le ciel était sans nuages. Elle se remémorait la triste journée de l'enterrement de son directeur.

Une bonne partie de la communauté magique était présente. Son magnifique cercueil trônait devant les rangés de banc. Plusieurs personnes prirent la parole pour rendre hommage à cet homme qui avait tout donné à la communauté magique comme celle sans pouvoir. La majorité des élèves pleuraient cette mort tandis que le monde magique perdait le plus grand sorcier ennemi de Vous-Savez-Qui. Plusieurs ministres profitèrent de ce regroupement pour s'excuser.

Ce laver des remords ne fera pas revenir Dumbledore, pensa Hermione amèrement.

Elle jeta un coup d'œil à ses cotés. Harry semblait défait. Et Ron tentait de la consoler du mieux qu'il le pouvait, malgré sa propre peine. La cérémonie dura plus de deux heures. Puis tout juste avant la mise en terre de l'ancien directeur, plusieurs créatures magiques du Lac et de la forêt rendirent hommage à cet homme qui les considérait à son niveau.

De nouveau alliés, remarqua Hermione. Une bonne chose dans ce tragique évènement. C'est bien dans les durs coups qu'on se serre les coudes et s'entraident, constata-t-elle.

Minerva Mcgonnagall fût nommée nouvelle directrice. Après un discours sur l'union avec son prochain, la journée prit fin et tout le monde retournait chez soi. De grosses accolades et de douloureux aurevoir. Personne ne savait si l'école de sorcellerie allait rouvrir ses portes l'an prochain et avec la guerre déclarée, qui serait vivant à la rentrée?

Molly Weasley lui proposa de rester chez elle pour l'été. Hermione déclina l'invitation avec toute la politesse qu'on lui connaît. Elle savait que Molly ne faisait que la protégé, mais j'ai mes propres parents à protégé pensa-t-elle.

Les aurevoirs du trio d'or était très difficile. Hermione n'avait jamais vue Harry aussi défait. Et le fait de retourné vivre chez sa tante et son oncle ne l'aidait en rien, se dit Mione peinée. Après de longues minutes, tout le monde se sépara pour un été remplit d'incertitudes.

Voilà maintenant un mois qu'elle n'avait pas reçu de nouvelles de ses deux meilleurs amis. Elle s'inquiétait, comme toujours, en sachant très bien que les hiboux auraient pu être intercepté et ainsi donner à l'ennemi des informations non volontaire. Elle poussa un long soupir. La peur à tous les jours d'être victime d'une attaque de mangemorts commençait à peser lourd sur ses frêles épaules. Elle voulait aider Harry et c'est pourquoi elle avait passée l'été dans les livres. Mais elle savait pertinemment qu'elle devra le seconder dans le coté pratique et à se moment la, elle ne pourra plus protégé sa famille. Elle soupira de nouveau. Il lui faudrait beaucoup de courage pour éloigner ses parents d'ici.

Hermione chérie!! Le souper est prêt cria sa mère du rez-de-chaussée.

Hermione Granger, griffondor de première classe avait peur. Elle ricana.

J'ai affronté bien pire marmonna la griffondor pour se redonner du courage.

Puis, elle alla rejoindre ses parents dans la salle à manger. Comme à son habitude, son père était attablé à l'extrémité de la table le journal à la main. Il lui fit un grand sourire lorsqu'il la vue entrer dans la pièce. Il essayait dans bien que mal de lui remonter le moral. Il voyait bien que sa petite fille avait quelque chose d'important à lui annoncer. Son visage était sérieux et lorsqu'elle était stressée, elle se rongeait les ongles. Mais il décida de ne pas la brusquer. Le souper fut dégusté dans une ambiance très décontractée. Monsieur Granger parla de sa journée au travail et de la température. Ce fut Mme Granger qui introduit le sujet tant redouter de sa fille qui semblait de plus en plus nerveuse.

Et puis ma chérie, commença doucement Mme Granger, as-tu reçu des nouvelles de Ron et Harry? Connaissant bien sa fille, Mme Granger savait que c'était un sujet très délicat et que sa fille déjà à fleur de peau, pouvait craquer à un moment ou un autre.

Non maman, je n'en ai pas reçu, répondit Hermione le cœur gros. Les hiboux pourraient être intercepté et les membres ont décidé d'éviter les messages si ce n'est pas nécessaire. On pouvait facilement voir les larmes aux yeux d'Hermione, et ses parents en avaient le cœur brisé. Depuis sa première année à Poudlard, jamais elle ne s'était coupée de ses deux meilleurs amis. Prenant son courage à deux mains, elle continua, Nous ne savons toujours pas si on retournera à l'école cette année, mais quoi qu'il en soit, j'aimerais aider Harry et l'Ordre à éliminé une bonne fois pour toute cette menace. Nous n'auront pas une vie tranquille tant que celui vivra et nous mettra en danger constamment, poursuivit Hermione.

Trop secouer, elle ne continua pas sur sa lancée. Voyant que sa fille ne voulait pas finir de dire ce qu'elle pensait, M Granger la poussa un peu.

Allez ma petite puce, dit nous ce que tu as à nous dire.

Je, je ne pourrai plus vous protégé, et je ne veux pas vous perdre!! Dit tant bien que mal Hermione qui pleurait à chaudes larmes. J'aimerais que vous partiez loin d'ici jusqu'à ce que la menace n'existe plus. Supplia leur fille unique. Je vous en supplie!

M et Mme Granger se regardaient. Leur fille unique, si forte et si courageuse était tant tout ses états. Ce n'est pas qu'ils n'avaient pas confiance en leur fille, non et ses exploits leur étaient même venus à l'oreille. Mais ce séparer de leur fille unique était impossible. Farouche, et prête à tout pour aider, ils savaient qu'elle aiderait Harry et les autres sorciers quoi qu'ils décident, mais seront-ils un boulet pour elle? Après de longues minutes de silence où le couple arriva à la même conclusion, ils acceptèrent ce départ pour mieux protéger leur fille. Ainsi, elle aura l'esprit tranquille lors des batailles.

Le lendemain matin, c'est sous un autre soleil de plomb qu'Hermione se réveilla. C'est avec un immense soulagement qu'elle alla prendre sa douche et son petit déjeuner. Avec ses parents en lieux sur, il ne restera plus que de retourner au terrier, et peut-être même au Sqare.

Hermione chérie, dit sa mère après avoir desservie la table. Je te sens soulager de notre départ, et j'en suis heureuse. Pourtant, tu sembles encore inquiète à propos de tes amis. Peut-être devrais-tu leur écrire un petit message? Peut-être est-ce dangereux, mais te voir déprimer n'est pas la meilleure solution non plus.

Tu as raison maman!! Répondit Hermione avec un sourire aux lèvres. Pas qu'elle n'y avait pas pensé avant, elle restait la Miss-Je-Sais-Tout, mais maintenant qu'elle retournerait au terrier, elle devait au moins les en avertir.

Dans une autre maison moldu de Londres, un jeune homme au cheveux de jais était lui aussi perdu dans ses pensées. Les évènements s'étaient bousculés depuis un an. Il se sentait seul. Savoir que tout le monde comptait sur lui ne faisait que le rendre plus mal à l'aise. Et s'il échouait?? La question revenait sans cesse dans sa tête. Sa sixième année a été plus que charger. Les nouvelles révélations de Dumbledore et leur mission. Non, sa mission. Son cœur se serra à la pensée de la mort de son directeur.

Pourquoi tout le monde que j'aime meurt?? Se demanda Harry Potter. Ses pensées volèrent vers ses parents, Sirius et bien sur Dumbledore.

Seul dans sa chambre, Harry Potter se permit de pleurer. Seul face à son destin, face à sa propre mort. Il en avait conscience, cette guerre fera de nombreuses victimes. De nombreuses familles vont aussi perdre leurs proches. Il avait assez causé de tord. Dumbledore avait été tuer et lui Harry Potter a été obliger de se cacher. Il en avait honte. Il n'a jamais su se débrouiller seul. Encore aujourd'hui, alors que la guerre risquait d'éclater à tout moment, lui il se cachait chez la sœur de sa mère. Pour sa protection, lui avait-on dit. Mais il avait sa mission et plus vite qu'il l'accomplirait, plus vite le monde sorcier pourrait faire face à la menace.

Un sentiment de colère commença à se faire sentir. Tout était de la faute de ce Malfoy et de ce Rogue. Comment Dumbledore a-t-il pensé lui faire confiance!!! Furieux, Harry frappa le mur de son poing. Il a du regarder ce macabre spectacle sans pouvoir intervenir. Il a été impuissant devant la mort de son directeur. Il savait qu'il devra être fort dans les jours prochains, mais aujourd'hui, parce qu'il était seul il se permit un moment de faiblesses. C'est bien sa qui me différencie de Voldemort, pensa Harry. La compassion et la peine.

Après de longues heures à pleurer, se fut le bruit à sa fenêtre qui le réveilla. Toc Toc Toc! Un hibou. Il se dépêcha à ouvrir sa fenêtre et prit en vitesse la lettre attachée à la patte de l'animal. Il donna à manger au hibou et commença la lecture de la lettre. Dès les premiers mots, il remarqua l'écriture d'Hermione.

Bonjour H!!

Je me fais du souci pour toi. Je sais que les temps sont durs, mais je voulais te rappeler que tu peux toujours compter sur moi et R. J'aurais aimer vous donner plus de nouvelles, mais les circonstances m'en a pas donner le choix. J'ai aussi une bonne nouvelle. J'ai réussi à convaincre mes parents de quitter le pays. Malgré la peine que je ressens d'être loin d'eux en ces temps troubles, je les préfère en sécurité. Je vais donc séjourné où tu sais pour le reste de l'été et peut-être plus. Garde courage et fais attention à toi. Tu ne vas certainement pas rester encore bien longtemps là bas.

Je pense très fort à toi

Mione

C'est le bonheur au cœur qu'il se rendormi. Sa dernière pensée fut à ses amis. Il n'était pas seul finalement. Grâce à eux, il surmontera tous les obstacles. Pour eux.