Voici mon nouveau bébé qui m'inspire comme jamais ! Black Ops : Assassins est le premier des cinq tomes Black Ops que je rédigerai pour vous. Profitez et n'oubliez pas de reviewer ! Cela ne coûte qu'une minute de votre temps, mais c'est ce qui conditionne la rapidité de publication !
Bisous !
DIL
Black Ops : missions secrètes menées par un gouvernement, par des agents secrets. Il s'agit généralement de meurtres ou de missions de protection, voir de vols, de menaces ou tout autre crime nécessaire à la sauvegarde d'un État. Ces missions, illégales, demandent aux agents une prise de risque immense, et la condition absolue si l'agent est attrapé est qu'il doit payer lui-même pour le ou les crimes commis, car le gouvernement refuse de s'y engager. L'agent est donc seul et vit dans un monde de mystère, de trahison et de meurtre. Ce sont les justiciers de l'extrême.
L'attitude n'est rien d'autre qu'une habitude de pensée, et une habitude peut être acquise. Une action répétée devient une action réalisée. - Paul Myer.
Rien ne peut empêcher celui qui possède un bon mental d'atteindre son but, et rien sur Terre peut aider celui qui possède un mauvais mental. - Thomas Jefferson.
Une faiblesse dans l'attitude devient une faiblesse de caractère. - Albert Einstein.
…...
La splendide Jaguar XF 10 noire, flambant neuve, déchirait la fraîcheur de la soirée londonienne. Malgré le mois de juillet, Londres voyait toujours descendre en volutes ennuyées la pollution, de la Tamise vers la ville.
La voiture de sport de prestige faisait crisser ses pneus neufs contre la route, ses vitres teintées laissant les spectateurs rêver au chanceux millionnaire qui pouvait se trouver à l'intérieur. Deux policiers, passant sur un trottoir, émirent un sifflement bas devant la beauté du bijou et hochèrent la tête, conquis, n'ayant aucunement l'intention de poursuivre le véhicule qui dépassait pourtant largement les limitations de vitesse, grillait les feux rouges et commettait, en somme, toutes les infractions imaginables.
Il était donc difficile de rater la voiture, par sa prestance et sa vitesse. Cependant, la Jaguar finit par disparaître dans une rue, puis s'engagea dans un ensemble de ruelles. Le conducteur faisait toujours ronfler le puissant moteur, malgré l'évidence : il n'était pas sain de se promener dans les quartiers de Whitechapel le soir, et encore moins dans un véhicule comme celui-là.
La Jaguar finit par se ranger le long d'un trottoir, entre une mobylette ancienne et une voiture d'occasion vert amande. Un dealer, sur le trottoir d'en face, écarquilla des yeux énormes et cessa de recompter ses billets. Deux prostituées à l'air fatigué s'approchèrent de quelques pas, n'osant s'avancer plus.
La portière s'ouvrit et le conducteur en descendit. Les deux filles de joie ouvrirent la bouche, ébahies.
L'homme était assez grand, environ 185 centimètres. Son corps visiblement athlétique, musclé sans être épais, mais fin et taillé comme dans le marbre, portait un jean Levis de grande qualité et un blouson de cuir brun, dans un style chic et détendu à la fois. Il avait des cheveux d'un blond presque blanc, soigneusement décoiffés, et un visage parfaitement fait, à la fois anguleux et carré. Ses fines lèvres, un appel au sexe, étaient remontées en une expression moqueuse qu'il arborait à la perfection. Ses yeux étaient cachés derrière des Ray-Ban.
L'homme descendit un sac de sport de marque du siège passager et ferma la portière qu'il ne verrouilla pas. Les clés étaient restées sur le contact.
Il se tourna sur le trottoir et avança vers un grand hangar désaffecté depuis des lustres, qui dominait tous les immeubles du quartier par sa taille immense. L'homme avança jusqu'à la porte, et la poussa. C'était ouvert. L'endroit était connu pour être squatté par des sans abri, des prostituées et des dealers la nuit. Il baissa ses Ray-Ban sur l'arête de son nez et regarda les deux filles toujours bouche bée. Ses yeux étaient d'un gris ensorcelant, magnifique, comme de l'acier ou un orage, striés légèrement de bleu. Il envoya un clin d'œil aux prostituées qui les fit se sentir toute chose, et pénétra dans le hangar en claquant la porte derrière lui.
Le dealer, en face, courut jusqu'à la voiture avec un air gourmand sur le visage, ouvrit violemment la portière et prit place. Il fit tourner les clés...
...Et la voiture sauta dans un bruit terrible, envoyant les prostituées à terre, avant de se retrouver léchée par les flammes.
Dans le hangar encore vide, car l'heure n'était pas avancée, le soleil se couchant encore, Drago Malefoy roula des yeux en entendant le bruit, mais continua à avancer d'un pas égal. Il monta des escaliers de fer rouillé, deux à deux, en sifflotant, et parvint sur le toit de l'immeuble. Il huma la brise fraîche du soir, et se dirigea vers le côté nord du bâtiment, posant son sac de sport à ses côtés. Sans se presser, mais sans traîner non plus, il sortit du sac une sorte de trépied, et posa dessus un fusil de sniper. Il s'accroupit derrière et régla la lunette, dirigeant l'arme sur la troisième fenêtre en partant de la gauche, au huitième étage d'un immeuble à six cents mètres de là.
Il voyait clairement un petit salon, orné d'un canapé et de quelques meubles. Une jeune femme blonde fumait une cigarette à ladite fenêtre, alors que du mouvement se percevait derrière. Un homme rejoignit la blonde, lui parlant. Elle répliqua, et l'embrassa, avant de jeter son mégot fumant par-dessus la balustrade et de quitter le salon. L'homme, visiblement brun et gros, vêtu seulement d'un slip orange...Drago roula des yeux...alluma à son tour une cigarette et resta sans bouger, à la fenêtre ouverte, savourant la fumée.
Le doigt de Drago désarma lentement le chien, sans qu'il cesse de surveiller sa cible, et il baissa le doigt sur la détente.
Il tira.
La balle partit avec un grand bruit sec, et un instant plus tard, un trou rouge se dessinait dans le front de la victime qui ouvrit les yeux en grand et s'écroula. La blonde sortit de la chambre, le vit et hurla, en se précipitant sur lui. Drago hocha la tête, satisfait, et démonta l'arme qu'il rangea dans le sac de sport, toujours sans se presser. Il entendait des sirènes de police se rapprocher de la voiture brûlée dehors, et jeta un dernier regard à l'immeuble. Sans lunette, il ne voyait plus ce qu'il s'y passait. Drago haussa les épaules et lança dans le vide.
-C'est mal, de fumer.
Puis, il saisit son sac et redescendit les marches, sifflotant encore et toujours. Il se dirigea vers le fond du hangar, vers la sortie de service, où il trouva, bien cachée sous des bâches, une moto rutilante. Il eut un petit sourire en caressant le bijou. Il sortit du sac un jeu de clés et un casque, l'enfila, fit tourner les clés dans le contact et l'engin démarra en un rugissement fier. À ce moment, la porte principale du hangar s'ouvrit en face de lui, et plusieurs policiers, armes au poing, pénétrèrent dans l'édifice. Drago eut un sourire, baissa la visière, et démarra d'un puissant coup de pied. Il quitta le hangar à toute vitesse sur la moto, sourd aux hurlements des policiers derrière lui.
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12 heures plus tard.
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La BMW s'arrêta devant une cabine téléphonique dans une impasse perdue de Londres. Drago Malefoy, arborant cette fois-ci un costard sur mesure magnifiant sa beauté irréelle, descendit du véhicule que son chauffeur redémarra, pénétra dans la cabine, et composa le code l'amenant au Ministère. Une voix féminine et froide lui demanda son identité et le motif de sa visite.
-Drago Malefoy. Je viens voir le Directeur du Service des Droits Moldus.
La machine cracha son badge, et l'ascenseur s'engagea dans les sous-sols, révélant aux yeux blasés du jeune homme les locaux ministériels de la Magie. Il donna sa baguette à l'entrée, et passa d'un pas rapide devant la Fontaine de la Fraternité Magique, restaurée après la chute du règne de Voldemort, cinq ans auparavant.
Il rejoignit un ascenseur bondé et descendit au troisième étage. Il parcourut les couloirs, et finit par arriver devant une porte ornée d'une plaque de bronze marquée : Dindus Magimol, Directeur du Services des Droits Moldus. Drago poussa le battant et entra dans une petite salle d'attente. Il avança jusqu'au comptoir et la jeune secrétaire rousse vint vers lui avec un grand sourire et en battant des cils.
-Drago, quel plaisir, ronronna-t-elle.
-Bonjour, Mandy.
-Tu es libre ce soir ?
Drago s'empêcha de rouler des yeux. Il l'avait sautée une fois et voilà qu'elle se prenait pour le centre de sa vie. Bon sang, si toutes ses amantes en faisaient autant ! La liste des maîtresses de Drago Malefoy était presque aussi longue que la liste de ses biens. Depuis le décès de ses parents deux ans auparavant, dont il avait tout hérité, il avait été élu bachelor le plus en vue d'Angleterre.
-Cela dépend, Mandy.
Il avait prononcé cela avec un sourire charmeur qui ne laissait aucune femme indifférente. Elle rougit considérablement et ondula rapidement des hanches, avant de dire,
-Comme d'ordinaire, chouchou ?
-Je viens voir David.
Il avait prononcé le mot de passe et elle hocha la tête.
-Je vais voir si David est disponible.
Elle disparut par une petite porte à l'arrière de son comptoir, et revint un instant plus tard.
-Tu peux y aller, chou.
Drago acquiesça d'un bref mouvement de tête et se dirigea vers la porte. Elle le rappela avant qu'il disparaisse.
-A quelle heure ce soir, chouchou ?
Il se retourna, lui offrant un sourire séducteur.
-Pas ce soir, Mandy. Ni jamais plus, en faite.
Et il claqua la porte au nez de la secrétaire furieuse.
Drago avança le long d'un petit corridor et ouvrit encore une porte. C'était un petit bureau, surchargé de papiers, avec des photos moldues ou sorcières le long des murs, certaines barrées d'un trait rouge. Une femme, dans la quarantaine, hautaine, blonde et ravissante, vêtue d'un tailleur parfait, était assise derrière le bureau. Elle lui sourit.
-Agent Chevalier Noir. Viens, entre.
Drago hocha respectueusement la tête et prit place face à elle.
-Saphira. Radieuse, comme toujours.
-Pas la peine de me flatter, petit insolent, claqua-t-elle mais en souriant toutefois. Alors, Chevalier Noir. Ta dernière mission ?
-Accomplie.
Saphira de Lista se leva avec un sourire étincelant.
-Comme toujours, Chevalier Noir, comme toujours.
Elle remua sa baguette et un ruban rouge alla orner la photo moldue de l'homme que Drago avait abattu la veille au soir. Il s'agissait de Tram Boyler, un irlandais relié aux activités terroristes en Moyen-Orient.
-J'ai à te parler, lança Saphira en se rasseyant.
Elle croisa les doigts et le regarda, pointilleuse.
-Tu es l'un de mes deux meilleurs agents, Chevalier Noir. Le top du top. La crème des agents Black Ops qui travaillent secrètement pour le Ministère de la Magie britannique. J'ai à te proposer un contrat juteux. Je sais que tu n'as pas besoin de l'argent. Je suis consciente que tu opères pour l'adrénaline, pour la réussite personnelle. C'est pourquoi ce contrat particulièrement difficile devrait te plaire.
Drago ne flancha pas, se contentant de la regarder.
-Je dois cependant te prévenir que tu ne seras pas seul sur cette mission. Je vais la proposer à un autre agent également. Ce sera au premier qui réussira. Tous les moyens, et j'entends bien tous les moyens, seront bons pour éliminer la cible et démanteler l'organisation derrière. Si tu réussis, non seulement tu auras une prime de dix millions de Gallions, mais en outre, tu graviras les marches et pourras entrer dans le conseil de guerre des agents secrets.
Drago se redressa, vivement intéressé. Dix millions de...et une place en conseil ! Siéger aux côtés de Saphira, cheffe des agents, du Ministre et du chef des Aurors en personne ! Bon, certes ce dernier était Potter, mais bon...il saurait tout. Il pourrait également choisir les meilleures missions.
-A combien d'autres agents comptez-vous proposer cette mission ?
-A un seul agent. Vous serez en rivalité, donc. Mais je vous interdis, si vous vous croisez, de vous tuer. Est-ce clair ? Vous blesser, certes, vous gêner...ou alors travailler ensemble.
Drago plissa les lèvres. Il travaillait seul.
-Oui. Clair comme de l'eau de roche.
-Parfait !
Saphira lui donna un dossier. Il ouvrit et lut.
Une organisation, qui avait des filières dans le monde entier et dont le chef était inconnu, avait pour but de renverser les pouvoirs en place dans plusieurs pays par le biais d'attaques de masse. Plusieurs lieux étaient indiqués : Russie, Japon, Australie, Somalie, et Brésil. C'étaient là que se trouvaient les quartiers de l'organisation baptisée l'Ombre. Drago crut se sentir malade en lisant ce qu'ils planifiaient. Ils comptaient, visiblement, neutraliser sur des périodes courtes la magie des sorciers adversaires, en les bombardant d'une potion sèche mise au point par leurs soins. Temps court certes, mais suffisant pour mener à bien leur folie meurtrière. Leur but à long terme était, semble-t-il, d'asseoir leur dominance sur le monde, et de diriger les sorciers sous leur coupe. Évidemment, les Moldus étaient encore moins épargnés. Ils devraient être mis au courant des agissements des sorciers et de l'existence de la magie. Ainsi, les dirigeants de l'Ombre pourraient régner totalement en faisant peur aux Moldus et en privant les sorciers de leur magie.
Et on ne connaissait pas la tête du groupe.
-Prends-tu cette mission, Chevalier Noir ?
Drago sourit sournoisement. Enfin une mission à sa hauteur.
-Absolument.
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Drago se dirigea vers l'ascenseur au bout du couloir principal de l'étage, et attendit devant les portes closes en tapant du pied. La machine s'arrêta et une seule personne en descendit. Les yeux de Drago s'écarquillèrent en reconnaissant Hermione Granger.
La jeune femme, vêtue d'une robe de sorcière noire et blanche dénonçant qu'elle était avocate, sortit en marmonnant d'un air furieux. Ses boucles brunes étaient jetés pêle-mêle sur ses épaules, son visage était rouge de colère et ses yeux bronze, aux éclats d'or, étincelaient de rage. Sa petite silhouette fine et gracieuse tremblait presque de fureur, ses poings étaient serrés, et de ses lèvres fines mais appétissantes crachaient un flot de paroles à voix basse.
-Ron...fichu...salaud...je vais...étrangler...jeter le cadavre...Veracrasses...
Drago haussa un sourcil, amusé, et se délectant du mal-être de son ennemie d'école.
-Premier signe de folie, Granger, se parler soi-même, dit-il à vois haute.
Elle se figea, avant de se tourner vers lui.
-Malefoy, explosa-t-elle. Il ne manquait plus que toi.
Drago regarda brièvement autour d'eux. Ils étaient seuls.
-Que viens-tu faire à cet étage, Granger ?
Hermione plissa les lèvres, et le dévisagea, hautaine.
-Au cas où tu ne le saurais pas, Malefoy, je suis une avocate commise officiellement par le Ministère. J'ai des clients à tous les étages de ce bâtiment et je suis donc libre de m'y déplacer comme je l'entends. Dans tous les cas ma présence n'a rien d'étonnant, et surtout, elle ne te regarde pas, le méprisa-t-elle. Mais toi ? Tu ne travailles pas au Ministère que je sache. Tu ne travailles pas tout court. Encore venu remplir les poches d'un employé corrompu pour servir tes intérêts ?
Il la regarda, un sourire fendant lentement ses lèvres, et fit tournoyer sa baguette entre ses doigts. Les yeux de la jeune femme y voletèrent un instant, mais elle ne parut pas autrement impressionnée et croisa les bras. Drago songea qu'en cinq ans, depuis Poudlard, elle avait bien grandi. Elle s'était embellie, était devenue femme. Si Granger n'avait pas été une petite pétasse impertinente il l'aurait bien mise dans son lit pour une soirée ou deux.
-Crois ce que tu veux, Granger. L'avis d'une sale petite Sang-de-Bourbe m'importe peu.
Les yeux de Hermione flambèrent d'un feu qu'elle possédait depuis toujours, mais qui allait ridiculement bien à la jeune femme qu'elle était devenue. Elle ouvrit la bouche pour répondre, d'un ton cassant. Drago aimait ces petites joutes avec elle. Pour quelqu'un en permanence à la recherche d'aventures et d'adrénaline, que ce soit dans le sexe, dans ses missions secrètes ou dans l'adversité, Granger était un adversaire de choix pour ce dernier aspect. Cependant, elle finit par refermer la bouche et fit demi-tour sur son talon avant de s'éloigner en jetant un doigt d'honneur par-dessus son épaule. Drago ricana et prit l'ascenseur. Il ne l'avait pas vue depuis cinq ans et n'aurait pas pensé prendre autant de plaisir à la revoir.
Il songea à sa mission, ce qu'il devrait préparer avant de partir, et la Gryffondor fut rapidement chassée de ses pensées.
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Hermione foudroya Mandy Brocklehurst, la secrétaire, du regard, qui le lui rendit.
-Je viens voir David, cracha-t-elle.
Mandy prit tout son temps pour aller vérifier si « David » était en mesure de la recevoir. Hermione jeta nerveusement un regard à l'autre porte dans la pièce qui menait au bureau du directeur du service moldu. Si seulement il savait qu'à quelques pas de son bureau se trouvait celui de la patronne du service d'élite du gouvernement magique britannique. La cheffe des agents Black Ops, ces agents secrets portés sur des missions délicates.
Mandy revint et indiqua sèchement la porte à Hermione qui la lui claqua au nez et alla retrouver Saphira, sa patronne. La belle blonde la regarda et haussa un sourcil.
-Journée difficile, agent Louve Blanche ?
-Ne m'en parlez pas, souffla Hermione en s'asseyant.
-Ta mission s'est-elle mal déroulée ?
-Non. Mission accomplie.
Saphira battit des mains et un ruban rouge sang quitta sa baguette pour orner la photo de la dernière mission de la jeune femme. Mike Maimes, un londonien sorcier, connu pour diriger un trafic de potions dans le pays. Hermione sourit devant l'enthousiasme de sa supérieure qui devint subitement sérieuse et fixa son agent.
-Agent Louve Blanche, tu es l'un de mes deux meilleurs agents. J'ai un contrat très dur, mais aussi très valorisant à te proposer...
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Alors? Qu'en pensez-vous? Reviews, allez! Je posterai de nouveau quand j'estimerai le taux satisfaisant...Bonne soirée!
