Bonsoir à toute voici ma première fiction sur le couple Bamon j'espère qu'elle vous plaira.

Le bonheur et l'innocence, le bonheur et la chance, le bonheur et le plaisir, la connaissance, la plénitude, le bonheur et l'esprit. Tant de files conducteurs, tant d'accès ,mais pourtant sa perception semble d'abstraite lorsque sa détermination une simplicité. L'homme est heureux par ces désirs accomplies. Le plaisir est éphémère et l'homme insoluble à la question du bonheur tant il lui est impossible de déterminer avec certitude ces actions. Tant de questions, de décisions, de personne sur terre ,mais un seul ennemis à tous. Comment savoir si on est heureux? La vie que je mène me rend-il heureux? Fléau de tout un siècle. Or, il y a bien un moment dans votre existence où vous l'atteignez. Étendu, seul, caressant l'obscurité, au point de disparaître. C'est à ce moment d'un second souffle de vie vous accueil. Il est possible que ce second souffle ne soit que le reflet de vos malheurs ou alors le renouveaux d'un air irréaliste. Mais il est là. De votre main vous la transpercez, de votre souffle la chatouillez. Un sourire niais apparaît sur votre visage. Bien, vous vous sentez bien. Dès lors une musique retentit. D'où vient-elle? D'abord, faible, elle prend de plus en plus de place ferait tout disparaître. Progressivement, tel un automate, vous réussissez à l'éteindre cette musique, alarme qui vous annonce le début d'une nouvelle journée et la fin de votre bonheur.

D'un grognement quasis bestiale, Bonnie envoya valser son réveil à l'autre bout de la pièce avec pour seule envie de se rendormir. Une nouvelle journée commence, un nouveau quotidien. L'absurdité est là. Quand tout ce qui peuple votre quotidien n'est que routine, à quoi bon se résoudre à dire « nouvelle journée» Les mêmes gestes, les mêmes choses, la même vie depuis 10ans. On ne pouvait pas dire qu'elle était malheureuse. Elle avait un toit très chaleureux, un travail bien payé, une vie sociale des plus normale. Elle ne manquait de rien. Les débuts de vie sont toujours plus agréables avant que la routine vous rattrape. Les pieds dans ces chaussons, elle les fit glissés sur le sol de son appartement jusqu'à la salle de bain. Douche, maquillage, habillage, rien de bien alarmant. Une caresse à son chat, une gorgée de son café et elle descendit les marches. Voilà depuis ces 16ans qu'elle vivait à New-York. Vous vous demandez sûrement que fessait une aussi « petite fille dans une grande ville» Avait-elle déménagé avec ces parents? Avait-elle fuit ces parents? Elle n'avait jamais ressenti l'envie ni le besoin de parler de son passé, de penser à son passé. C'était quelquefois ces seconds souffles de terreur qui resurgissait le soir ,mais elle les avait enfermés en oubliant de fermer à clés. New-York était son quotidien. Il entendait chaque matin, aux mêmes heures ces talons sur le béton du trottoir. Comme les habitants qui le recouvraient. Madame Pakston le nez dans ces roses, la gratifiant d'un sourire. Monsieur Hal quatre mètres plus loin installant son stand de hot dog un bonjour amical et Monsieur le vieux grincheux du stand de journaux. Toujours la même position, toujours la même expression et toujours Bonnie qui lui achetait son journal.

- Bonjour Charles, comment ça va ce matin? Fit Bonnie en prenant son argent.

Elle savait pertinemment que le vieil homme n'allait pas lui répondre mais c'était sa routine. Qui était-elle si elle ne la respectait pas? D'une main elle lui tendit l'argent et de l'autre elle prit le journal. Un dernier sourire et sans trop de marche plus loin, elle pénétra dans le « Manhattan Bank». Ce n'était pas la banque la plus populaire de New-York pas comme Wall Street ,mais ils avaient leur fidèle clients. Ni trop peu, ni pas assez.

- Bonjour Bonnie.

Tom le vigile de l'entrée, l'accueilli comme à son habitude.

- Bonjour Tom, comment va votre femme?

- Bien mieux, une petite intoxication alimentaire, rien de bien méchant.

- M'en voilà rassuré, souhaitait lui joyeux anniversaire de ma part

- Je le ferais. Bonne journée à vous

- Merci à vous aussi

Traversant le halle, Bonnie aperçus au loin Caroline Forbes déjà à son poste.

-Bonnie te voilà enfin. Tu es en retard encore

-Non, c'est toi qui es en avance encore répondit la jeune femme amusée.

Une personne qui voyait Caroline pour la première fois penserait sûrement que la chance et le bonheur lui avait souri. Grande, Blonde, Belle, Bien habillé pas une seule imperfection. Il ne se doutait pas qu'elle était tombée enceinte à 16ans, rejeter par ses parents et sans domicile fixe pendant plus 1ans, ce qui lui a coûté la perdre de son bébé à l'accouchement. Elles s'étaient rencontrées un soir de décembre derrière un restaurant de Brooklyn que Bonnie aimait beaucoup il y a 8ans. Elle avait partagé son repart et elle sont histoire. Depuis ce jour, Caroline fessait partie de sa vie.

Petit à petit les premiers clients arrivèrent.

- Bonjour que puis-je faire pour vous aider?

Une fois cette phrase prononcée, le début de sa routine commença. Toujours les mêmes clients, toujours les mêmes problèmes, toujours les mêmes profiles...

…...

- Bon, on entre, on prend l'argent et on se tire ordonna-t-il

Ce n'était pas la première fois, ce n'était sûrement pas la dernière

-Et si quelqu'un cherche à jouer les héros... vous le butez.

Un hochement de la tête de chaque membre, une dernière vérification des armes et le chauffeur s'élança vers le «Manhattan Bank»

Les hommes se trompent s'ils pensaient pouvoir avoir un contrôle sur leur vie, que leur bonheur dépendait d'eux. Quelquefois comme ça, dans une journée, votre bonheur, votre survis dépend des autres et si Bonnie Bennett était doté de l'omniscience de Dieu, c'est-à-dire la capacité d'avoir la connaissance des actions future alors elle aurait su qu'aujourd'hui était une Nouvelle Journée.

…...

- Bonjour que puise-je faire pour vous aider Monsieur?

Elle s'exclama de cette fausse joie qui recouvrait toutes ses heures de travail et sorti son plus beau sourire.

- Et bien jeune fille, c'est bientôt l'anniversaire de mon petit fils et son départ pour l'université, j'aimerais pouvoir lui transférer son héritage.

« son héritage rien que ça» pensa Bonnie

- Bien sûr Monsieur tout ce qui vous plaira.

Peu de personnes se trouvaient à l'intérieur de la banque. Tom discutait avec Madame X, une femme typique de l'Upper East Side. Elle venait chaque jeudi pour vérifier que son argent était toujours là avec comme excuse que la dernière banque lui avait tout volé. C'était simplement son ex mari beaucoup plus jeunes qu'elle, qui c'était enfui avec l'argent et sa soeur. Bien triste histoire. D'un côté travailler dans une banque avait du bon. Entre deux virements, les gens se sentaient toujours dans l'obligation de parler de leur histoire . Il ressentait le besoin de créer une intimité avec ceux qui gardaient leur bien le plus précieux. Purement psychologie.

Le client de Bonnie finissait de lui donner tous les informations nécessaires et deux trois clics à gauche, trois à droite et son petit fils était maintenant riche.

- Et voilà Monsieur, merci d'avoir choisi notre banque au revoir...au suivant... Bonjour que puise-je faire pour vous aider...

Trop absorber par sa routine, elle ne remarqua pas les quatre hommes qui rentrèrent ni Tom. Trouvant le décolleter de Madame X plus intéressant. Tête baiser les caméras ne remarquèrent pas non plus leur visage et dans deux minutes ils ne verront plus rien. Un des quatre ferma la porte et fit glissa un objet métallique de sa manche le collant à la porte.

- C'est bon entendit-il

Le son venait tout droit de son oreillette. Aussitôt les grilles de la banque s'abaissèrent et personne ne sut ce qui allait se produire. Il abaissa sa cagoule et sorti son arme

- Que personne ne bouge cria-t-il en tirant vers le plafond.

Tout le monde ce mit à crier de peur et courir dans tous les sens. Le plus baraqué des quatre neutralisa le vigile et le désarma facilement. Un autre couru vers les employés entre autre Bonnie et Caroline les empêchant d'activer l'alarme.

- Au centre mes jolie maintenant

Il les poussa de son arme et les deux jeunes filles paniquer s'écroula au sol. Bonnie était pétrifié. Elle ne s'étendait pas du tout à cela. Elle qui maîtrisait tous ces journées, elle qui savait comment sa journée allée commencer et comment cela allé finir. Pour la première fois sa routine était modifiée.

- Bonnie, Bonnie, ça va? Ça va?

Elle fixa Caroline, de ses yeux verts, ne reflétant que de la peur. Une peur que partager tous les personnes assis près d'elle.

- Écoutez tous cria un des braqueurs. Si vous ne voulez pas que sa finisse dans un bain de sang, vous allez nous écouter et tout ira bien. C'est clair

Le silence dans la pièce était sa réponse. Il fit signe à ses deux autres coéquipier de commencer à prendre l'argent pendant que lui et le baraqué surveillaient les otages.

Bonnie prit conscience à ce moment-là de la situation. Ils étaient en train de voler son travail, empiéter sur sa vie. Elle savait comment ce genre de choses se terminer soit de la manière douce soit la forte. En regardant chaque homme présent, la manière douce, n'était pas dans leur pratique.

- On a un problème

- Quoi donc fit celui qui semblait être le chef.

- Impossible d'accéder à l'argent, toute est verrouillé

- Comment ça verrouillé?

- Verrouillé comme fermé, bloqué, accès impossible

- Je sais ce que c'est imbécile s'emporta t-il

Tout le monde était à cran dans la pièce, ce demandant comment cela allé terminer et surtout quand.

- On peut le déverrouiller avec un code expliqua la personne de l'oreillette

En effet chaque Banque possède un système de protection pas seulement pour alerter la police mais pour protéger l'argent également. Chose qu'avait eu le temps de faire Caroline. Elle voulait gagner du temps jusqu'à l'arriver des secours au moins.

-Quelqu'un a dû activer le système.

Le chef scruta la pièce des yeux, cherchant le coupable. Le geste de Caroline était plus que malicieuse mais sa têtes baisser, fuyant les regards et sa main tremblante la dénonça

-Toi, la blonde, c'est toi qui a fait ça

Il attrapa ses cheveux et la tira en dehors du rassemblement.

- AHHHHH NON NON ARRETER hurla t-elle de douleur

Il ne fallu pas plus pour que Bonnie intervienne et poussa le braqueur. Automatiquement tous les armes se pointa vers elle et tout le monde dans la salle retenue leur souffle. Lorsqu'elle croisa son regard, une telle fureur s'y dégager qu'elle regretta son geste. Alors, elle sut qu'elle allait mourir. Il aurait pu, il aurait du mais il se retenu de touts ses forces pour ne pas succombé à ses pulsions. Il n'avait pas besoin d'un meurtre sur le dos, déjà d'un vol était suffisante.

- Comment on désactive le système de protection demanda t-il à Caroline en pleure au sol.

- Je...je...

- Répond.

Il ponta son arme sur sa tempe et elle pleura de plus belle, incapable de répondre tellement elle était terrifié.

- Elle ne sait pas cria Bonnie mais moi je sais

- Parle. Il la menaça de son arme et Bonnie avala difficilement sa salive.

- Il faut entrer le code dans le boîtier générale au fond répondit-elle montrant la porte de secours.

- Très bien

Il fit signe à un autre braqueur de prendre ça place et pris Bonnie par le bras coulant son arme contre le bas de son dos. Le contact froid du pistolet et sa peau la fit frissonné. Arrivé près de la porte il la poussa à l'intérieur. Bonnie se mit à réfléchir rapidement. Elle ne pouvait pas simplement lui donner le code. Mais avait-elle le choix? Il lui ordonna de le faire et tremblante, elle ouvrit le boîtier. Elle commença à taper doucement et il augmenta la pression dans ses dos

- Dépêche toi.

Toutes échappatoires, lui semblait impossible, elle s'exécuta et le bouton de validation clignota vert.

Les sommes de toutes les bourses défila sous leur yeux. Tellement surpris par tant d'argent, la pression de l'arme diminua assez pour que Bonnie en profita. Elle le frappa de son genou en plein dans ses parties intimes et elle se mit à courir jusqu'à l'escalier de secours mais il la rattrapa rapidement. Elle se débattit de tous ses forces jusqu'à ce qu'elle commit l'erreur et enleva son masque. Elle releva la tête et vu enfin le visage. Surpris qu'une beautée si grande ce cachait derrière tant de cruauté. Trop surpris également par son geste, il n'aperçu pas le baraqué derrière Bonnie et lui tira dans le dos qui s'écroula par terre. Toute la pièce centrale se mit à crier.

- Putain Klaus qu'est ce qui t' as pris cria t-il à moitié pour que personne à par eux n'entendre.

- Elle a voulu jouer à l'héroïne et en plus elle a vu ton visage.

- Vous avez l'argent

- Tout ce qu'il faut

- Très bien les mec, il faut vous tirer, la police arrive indiqua la voix de l'oreillette

- Compris Rebekah

Il se pencha vers Bonnie et soupira puis il se dirigea vers les otages non sans avoir remis son masque.

- On se tire les mecs. Il se retourna vers la Caroline et déclara durement

- Ta copine est morte

- Non, NON Bonnie. Elle se releva, voulant courir vers son corps mais il lui barra le chemin et la remis à sa place.

- Je te conseille de rester sagement à ta place, si tu ne veux pas te retrouver dans le même état.

deux sacs dans les mains, les deux autres le suivis. Arriver devant le corps de Bonnie, il rangea son arme et se pencha pour la porter.

- Qu'est ce que tu fais. Lui demanda Klaus

- Elle a vu mon visage et elle est vivante. Tu veux peu être la laisser là et elle me balance à la police

- On pourrait simplement l'achever

Il pointa son arme sur elle décidé à en finir

- Tu ne penses pas que t'en a assez fait

- C'est toi qui à imposé cette règles pas de témoin. Dois-je te rappeler le vigile de la dernière banque, quoi la parce que c'est une fille ça devrait changer quelque chose.

- Klaus grogna t-il

- Damon répondit-il sur le même ton

Les deux hommes ce défié du regard. On sentait bien que c'était pas la première fois, qu'ils étaient en désaccord.

- Les mecs ont à pas le temps rappela leur ami

Finalement Klaus laissa tombé non dans tapé du poing contre le mur

- Elle va nous maitre dans la merde putain

Damon ne répondit pas, pris le corps de la jeune femme et sortit de la banque.