Hello tout le monde !

Première fiction que je poste ici, faut que je fête ça *cours partout* Sinon, sinon ...

Disclaimer : Tout à J.K. Rowling

Pairing : [TMV/HP]

Voilà l'histoire, j'espère que j'vais la tenir c'te fois! Mais j'vous assure j'ferais de mon mieux. Fighting ! Et bonne lecture !

Les paroles entre guillemet

Les pensées en italique -que je n'est pas encore mis-


-Avril 1995 – Vacances de Pâque – 4 Privet Drive-

« Garçon ! Apporte-moi mon sac de golf et mon manteau ! » Brailla de bon matin un homme tenant plus d'une gelée à la fraise qu'autre chose.

On entendit alors des pas précipités se faire entendre près du vestibule avant de voir un jeune homme déboulé les lunettes de travers et les affaires demandés à chaque bras.

« Quel bon à rien … Et bien, ce n'est pas trop tôt ! » S'exclama l'oncle Vernon où transperçait un mépris évident pour ledit bon à rien. « Bien, tu connais la suite, tout doit être terminé ce soir quand je rentrerais. »

Harry Potter car c'était bien lui n'eu même pas le temps de placer un mot que la porte d'entrée claqua. Foutu Dumbledore qui avait voulu qu'il rentre pour « une semaine de détente ». Détente ces fesses ouais ! Abattu et habitué, il se traîna pas motivé pour deux sous dans la cuisine pour commencer ces tâches quotidiennes. Jardinage sous les directives de la tante Pétunia, ménage, lessive, repassage, peindre des clôtures déjà blanche sans oublier bien sur, cuisiner. A la fin de la pluvieuse après-midi, il en était à grincer des dents et à maudire cette la famille qui n'en était pas une pour lui. Sans compter que Sirius ne lui avait toujours pas écrit. Deux mois, qu'il attendait ! Et rien. Tout ça à cause de foutu Dumbledore

C'est assez dépité qu'il alla faire un brin de toilette, quand la porte d'entrée claqua. Pauvre porte. Dursley lui ne s'en souciait guère. Pour tout dire, il était en train d'écumer. De rage. Pas bon. Pas bon du tout ce dit Harry a cet instant, ainsi il opta pour un repli stratégique. Sauf que bien sûr l'oncle baleine l'avait vu s'approcha de lui à grande enjambé avant de le prendre par le col de son t-shirt trop grand pour lui.

« Sal énergumène, engeance parasite ! Je n'aurais jamais du te vivre ici, nous avons été trop bon avec toi et voilà ce que nous avons en retour, ingrat ! »Vociféra t-il en le secouant comme un pommier.

Harry qui ne comprenait rien à la situation eu l'audace de levé la tête pour le fixer. Bien mal lui en pris puisque Vernon lui envoya une violente paire de gifle avant l'envoyer contre le mur. Etourdi, une affreuse douleur lui vrillant les côtes, il se releva tant bien que mal pour voir sa tante passer sa tête au dessus de la rambarde d'escalier.

« Enfin Vernon, pour l'amour du ciel, fait un peu moins de bruit tu vas alerter les voisins. Et que t'es t-il arrive pour que tu sois dans un tel état ? Mon pauvre ! » Minauda de sa voix de crécelle la tante Pétunia. « Toi ! Petit tir au flan ! Vas au moins lui chercher une serviette, il ne faudrait pas qu'il attrape froid !»

« Eh bien il se passe qu'à cause de cette petite peste même pas foutu de faire la différence entre ton sac de linge sale et mon sac de golf !

« Tu n'avais pas tes clubs pour jouer ? Pourtant il me semblait les avoir vus … »

« Puisque je viens de te le dire, là n'est pas le problème ! » Postillonna l'oncle, le visage d'un rouge brique et tapant nerveusement du pied.

« Eh bien quoi ! Explique-toi, enfin. » S'enquit sa femme d'un air quelques peu exaspérée.

« Ce qui se passe ? Ce qui se passe c'est que cet imbécile à mis tout notre linge dans le sac, si bien que quand j'ai retiré mon club, une… ta culotte y pendouillait ! Voilà ce qui se passe ! Et comme cette monstruosité m'a porté la poisse j'ai glissé un bon nombre de fois dans cette ignoble boue puisque mes chaussures étaient couvertes de produit de lessive ! » Vociféra l'homme cachalot.

La tante Pétunia avait blanchit à vue d'œil pendant ce discours et un grand silence se fit dans la parfaite maisonnette. Bien que si on avait tendu un temps soit peu l'oreille, on aurait pu entendre Dudley ricaner face à la situation qu'il avait provoquée. La sœur de Lily se tourna alors vers Harry et d'un ton sec lui ordonna de préparer un bain chaud pour mari avant de déclarer qu'il n'aurait le droit qu'à une biscotte ce soir.

Harry, vaincu, s'exécuta. Quelques minutes plus tard il alla dresser la table avant de vérifier la cuisson de son poisson au four quand Dudley fit son entrée comme un roi. Il ne se gêna pas le moindre du monde de pousser son cousin dont les joues rougies par les coups précédents se colorèrent encore plus sous la colère alors qu'il finissait sa course contre le lavabo où l'eau coulait pour diminuer la chaleur d'un plat, s'éclaboussant.

Le fils lâcha alors un gros rire avant de crier, entre deux esclaffements.

« 'Man ! Y a Harry qui s'amuse à se mettre de l'eau partout alors qu'il devait faire le dîner ! »

« Garçon nettoie ça tout de suite ! » Siffla Vernon revenue de son petit décrassage. « Et apporte le repas on ne te loge pas pour rien ! »

Le survivant alla donc prendre une serpillière et alors qu'il disposait son poisson dans un grand plat, il entendit un bruit étrange provenant du grenier. Les grognements impatients l'obligèrent à mettre ses pensées de côté pour le moment. Il sorti, différents plats à la main et les déposa méticuleusement sur la table bien qu'un faux mouvement fit couler un peu de sauce tomate sur le chemisier blanc cassé de sa tante qui laissa échappé un couinement outré et horrifié. Quand il réalisa son erreur, les couleurs désertèrent le visage d'Harry et il souhaita en cet instant ne jamais avoir existé.

« Mon GARCON ! Ça suffit ! J'ai toléré tous tes écarts jusqu'à présent, et bien c'est terminé ! Une anormalité n'a pas sa place ici ! »Éructa Vernon et, pour la deuxième fois de la journée lui asséna une gifle avant de lui balancer un coup de poing dans l'estomac qui coupa le souffle au survivant.

Celui-ci plié en deux ne senti plus qu'il ne vit une rouée de coup s'abattre sur lui avant que l'homme ne lui dit de filer au grenier, prétextant que le placard était bien trop luxueux pour lui et qu'il n'avait qu'à dormir au grenier et qu'à cette occasion, il pourrait le ranger en même temps. Difficilement, le jeune Harry se releva dans un équilibre précaire avant d'entamer tant bien que mal son ascension vers le grenier.

Arrivé à destination, il souleva la trappe et s'y faufila faisant grincer le bois vieillit et soulevant une épaisse couche de poussière qui lui piqua le nez. L'odeur de renfermé le pris à la gorge. Prenant sur lui, il farfouilla un peu partout avant de se figer, le bruit suspect de tout à l'heure était revenu. Prudemment, Harry écarta les rideaux défraichis pour mieux voir, laissant ainsi passé les rayons de la lune avant de retirer le drap qui recouvrait les coffres. Une malle d'un vert Serpentard un halo blanc nacré l'entourant. Envouté, Harry Potter tendit sa main afin et l'effleura du bout des doigts. Et sa vie bascula.

OoOoO

-Même moment – Poudlard-

Pendant ce temps, Albus Dumbledore mangeait ces habituels et connus bonbons au citron, pensant qu'à la fin de l'année, suivant ces complexes calculs la fin approchait et il pourrait enfin achever se qu'il avait préparé. Toujours pour le plus grand des biens. Evidemment. Fumseck sur son perchoir le fixa d'un air réprobateur avant de se rabrouer. Celui-ci ne s'en formalisa pas, heureux que ces plans ce déroulent sans aucune accroche. Bientôt Lord Voldemort et le Survivant ne seraient plus. Renversant sa tête en arrière, il éclata d'un rire qui se voulait maléfique qu'il avait apprit d'un film moldu. Dommage qu'il est choisit celui du Capitaine Crochet.

OoOoO

Blanc. Un monde tout blanc. Comme si l'infirmerie ne suffisait pas, il fallait qu'il en soit encore entouré. Stupide blanc ne veux-tu pas te coloré un peu ? Serait ce trop te demander d'avoir, pensa t-il, autre chose que cette immondice qui lui piquait les yeux ? Tout à ses pensées, Harry ne vit pas qu'il y avait devant lui ses parents qui semblaient commencer à s'impatienter vu qu'ils l'interpelaient depuis deux bonnes minutes au bout desquels, James, excédé, ne commencer à faire des vocalises. Sursautant, le dernier des Potter se tourna –miracle- enfin vers eux.

« On avait jamais su que tu étais si long à la détente. Commença son James, un sourire amusé plaqué sur les lèvres.

« Comment oses tu dire ça à mon fils, vil manant ? » Riposta Lily.

L'héritier Potter les regarda bouche bée comme un rond de flan. Il avait l'impression d'être tombé dans un monde parallèle. Il n'eu pas le temps de réfléchir sur ce point que James le coupa dans ses réflexions.

« Bref trêve de plaisanterie. Harry, si nous sommes ici aujourd'hui, c'est pour te faire part de la vérité. » Reprit James d'un ton sérieux, son visage se fermant. « Je … Je ne suis pas ton père. »

… Attendez stop on rembobine. « Je ne suis pas ton père » ? Un mauvais remake de Star wars ? C'est quoi tout ce délire, bientôt Voldemort allait arriver en glissant d'un arc-en-ciel pour amener la paix sur Terre ?

« Mon chéri, ce que James veut dire c'est que bien que tu sois mon fils, sois en sûr, celui-ci n'est pas ton géniteur. En fait, pour tout te dire, celui que j'aimais était Severus. »

Bloc de ciment. Dans son ventre. Son corps était devenu lourd et sa gorge se serra. Il ne pipa mot.

« Malheureusement à l'époque, quand j'ai appris qu'il était devenue mangemort et sous les conseils de ce sénile de Dumbledore, nous avons monté cette mascarade James et moi afin de te protéger. Si j'avais su se qui se passerais, jamais je ne me serais détourner de lui. »

Déglutissant lentement, le Survivant lui fit part d'une question qui lui taraudait depuis le début.

« Oh ! Comment sommes-nous arriver ici ? Et bien le coffre est une sorte de pensine amélioré si tu veux et peux prendre différente forme selon le besoin, c'est James qui a fait cette partie là vue qu'il est assez doué en métamorphose. Ce qui est magnifique c'est que tu as devant toi le savant mélange entre le fonctionnement d'une pensine et ce des tableaux ! Ainsi à la différence d'une pensine classique nous sommes des sortes d'hologrammes ayant les souvenirs alimentés de nos vivants et pouvons interagir avec toi pendant une heure à intervalle assez régulier. C'est le travail de toute une vie !» Déclama Lily enjouée. «Je l'ai nommé la Memoract, pas mal hein ? En plus on peut changer de lieux, regarde !»

Ils se retrouvèrent alors dans une grande bibliothèque ressemblant étrangement à Poudlard. Potter Junior plus si Potter que ça avait son ventre noué et les poings serrés tellement fort que ces phalanges blanchissaient.

« Et pourquoi avoir attendu que ma vie soit une misère pour revenir ? Pendant que, fière de tes inventions tu restais dans cette Nemo-truc moi je … je… Se brisa la voix d'Harry, ces prunelles vertes, fenêtre ouverte sur son désespoir du moment tandis que ces larmes coulaient. Je vous ai pleuré je vous ai maudit de m'avoir donné cette vie sans vous et tout ce que tu penses en ce moment, c'est à me décrire en long et en large son manuel de fonctionnement ? » Siffla Harry, hargneux.

« Harry … »

« Et pourquoi j'ressemble pas à Snape ? »

Silence pesant. Embarrassé.

« Je suis navré Harry, on était tellement content de te revoir. La Memoract n'avait pas fini de se recharger vu qu'elle était en phase de test et il n'y avait aucun autre moyen pour tout te dire. Pour ce qui est de ton apparence, tu es sous un glamour qui se renouvelle chaque année mais qui s'affaiblie sur le long terme. Ton 16eme anniversaire sera la date butoir, je ne pense pas qu'il tiendra plus longtemps.

Nouveau silence.

« Et … et Snape ? » Dit Harry calmé et se sentant honteux d'avoir craqué sous l'impulsion du moment.

« Ton père recevra un hologramme semblable à celui-ci sous forme de patronus. Expliqua sa mère avec douceur avant de lui ébouriffer gentiment les cheveux sans pour autant le toucher en réalité avant de reprendre. Nous ne sommes qu'une masse compact de souvenir bourré de sentiment alors nous ne serons capable que de t'encourager, mon fils. Sache que nous sommes fiers de ce que tu es devenu. »

« Ouaip p'tit gars ! Même si je ne suis pas vraiment ton père, je le suis autant que ta mère ! Babilla joyeusement James, les yeux pétillants. »

« Harry. »

Celui-ci releva la tête qu'il avait baissée pour cacher ses larmes.

« La Memoract s'activera après avoir été rechargé chaque mois. Tu pourras dès lors nous parler si tu le souhaites pendant une heure dès que tu voudras. Je sais que c'est peu mais nous n'avons pas eu le temps de l'améliorer… Ne t'inquiète pas Harry, ton père t'acceptera, je lui parlerais.

Le jeune Snape hocha sèchement la tête avant de ravaler ses sanglots, tout tremblant.

« Je crois pour nous qu'il est temps de se quitter. Nous nous reverrons dans un mois Harry. Souffla affectueusement Lily. Je t'aime, mon enfant. »

« Et ne crois pas que tu es la seule, Lilipounette !» S'exclama un James plein de bonhomie.

« James ! Tu viens de casser toute l'ambiance avec ça ! Sal pet … »

Les hologrammes de James et Lily commencèrent à disparaître. Souriant tristement, Harry du bout des lèvres leur fit un signe de la main avant de brutalement se retrouver dans le grenier. Dans sa main, brillait un pendentif ayant au bout, un petit dragon blanc. Son cœur se réchauffa à cette vision et après avoir passé le collier autours de son cou, il se blotti dans un coins d'un carton avant de s'endormir.

OoOoO

-Pendant ce temps dans un lieu incartable-

« Je suis QUOI ?! »

« Severus, fait un peu moins de bruit voyons tu vas réveiller les enfants … »


Gnn ?

Alors ? Comment c'était ? Je sais pour l'instant c'est plutôt classique, déjà vu, touça touça ... Mais j'peux vous dire qu'après ça va faire des loopings de n'importe quoi -oupas- Parce que j'arrête pas de me représenter cette histoire en rêve donc voilà quoi, ça part n'importe comment à la fin. J'y vais au filling itou donc faut pas m'en vouloir. J'vais quand même couché tout ça sur papier pour pas perdre le fil comme y a écrit dans les tuto *farfouille un peu partout*

Bref J-2 avant Noël; j'ai rien demandé cette année, faut dire que y avait pas grand chose là sur le marché qui me plaisait ! Bref.

Voilà c'ma première histoire que je commence sérieusement -petite larme-; le tintouin habituelle, désolé pour les fautes, désolé pour les caractères p't'ête OCC -jesaispasencore-, désolé pour les phrases à rallonge, désolé pour la longueur.

Bref je vous jure que j'ferais plus long la prochaine fois. Pour la peine gne, une dizaine de page au moins vue le truc qui se prépare, disons que c'était un prologue, d'accord ?

Mon rythme n'est pas encore défini alors je ne peux rien vous promettre, désolé.

Une p'tite review pour la peine ?