YOOOOOOOOOOOSSHHHH ! /PAN/ Ok ok, je vais commencer calmement, histoire de pas faire peur aux lecteurs dès la première ligne...

Soooooooooo... Ouais, je sais, en voyant le résumé, vous avez dû rien pigé. Normal, j'vous dis. Le "véritable" résumé (qui est pas vraiment un résumé mais un prologue en fait, qui est en réalité une sorte de début du premier chapitre; bref, OSF, je ferme ma gueule parce que cette phrase entre parenthèses commence à être trop longue et trop compliqué à écrire, et ceux qui rigolent en se foutant de moi j'les emmerde, v'là.) est ci-dessous ~

Au fait, cette story (j'suis bilingual wesh) est sans-queue-ni-tête (cette expression fait chelou à écrire) et n'aura sûrement aucune régularité, sorry ~

Ah, et y a du léger Ereri, parce que je suis une Yaoiste sadique et psychopathe, v'là, c'tout, BYYYYYYYE

-YAOI-ERERI-CETTELIGNEDESEPARATIONESTTOTALEMENTWTFTELLEMENTJESAISPASQUOIECRIRE-JSUISFOLLE-BYE-

Encore une fois ce matin, je me réveillai tôt, m'étant couchée tôt également. J'entendais les petits cris des oiseaux qui étaient à mon oreille une douce mélodie et -

Nan, j'déconne. Comme d'habitude, je me suis levée aux alentours de midi, ma tête sous le seul coussin qui n'avait pas rendu l'âme, mon pied droit sous l'infime partie de couette que Dieu avait bien voulu me laisser pendant mon repos que j'aurais espéré éternel.

Les oiseaux ne chantaient pas, puisqu'ils ont autre chose à foutre qu'être devant chez moi quand je me réveille et la seule chose que j'entendais c'était la putain de tondeuse de mon voisin - qui était aussi la cause de mon réveil.

« 'tain, l'aurait pas pu le faire en semaine ce con ? »

... Bon, certes, c'était les vacances (de printemps pour ceux que ça intéresse) - ce qui m'avait permis de regarder des scans de Shingeki jusqu'à tard le soir, ou tôt le matin, ça dépend des points de vue - et on était Mardi, donc en semaine, mais c'est pas une raison bordel ! J'ai pas le droit d'être énervée en pleine période de menstruation ?! (éwai, j'ai mes règles et depuis la primaire, j'suis sûre que tu pas test ! ... Oh pardon, j'avais pas pensé que tout le monde s'en foutait de ma vie)

Après plusieurs minutes de cris ressemblant étrangement à ceux d'un sanglier enragé, je me décidai à me lever, le pyjama à moitié parti en cacahuètes. Comme toute personne censée, je partis dans ma cuisine pour me préparer un petit dèj' digne de ce nom (enfin plus un déjeuner vu l'heure mais cherchez pas, on a toujours eu des horaires décalées dans la famille).

C'est donc en bonne et due forme que je pris la bouteille de lait dans le frigo américain (éwai j'suis pas pauvre moi ! ... bon, certes j'suis pas riche non plus, mais bon, j'suis assez bien assise, j'ai pas à me plaindre.) en m'en servant dans un des seuls bols que j'avais eu le courage de laver (et encore, j'étais même pas sûre qu'il était propre).

En plein repas, j'entendis le con de voisin mentionné plus haut crier, et bien fort en plus ! Là, il m'avait vraiment mise en rogne ! C'est donc avec un grand respect pour lui que j'ouvris ma bée vitrée - donnant sur mon jardin au passage - et lui criai :

« PUTAIN DE MERDE MAIS JAMAIS T'ARRÊTES DE FAIRE DU BRUIT, PAUVRE CON ?! »

Il ne prit même pas la peine de me répondre, il ne fit que me regarder, les yeux plein d'effrois avant de les reposer sur la source de cette peur. C'est en regardant ce qu'il regardait que je me rendis compte que Sainte-merde, j'aurais jamais dû me lever ce matin et plutôt crever dans mon sommeil, étouffée par ma salive.

Parce que ce que je vis à ce moment-là pouvait peut-être plaire à une Otaku comme moi, mais seulement aux premiers abords parce que je savais parfaitement que ce qui venait de s'écraser dans mon jardin en créant un énorme cratère allait me causer des ennuis, et pas qu'un peu...