Bon c'est ma deuxième fic sur le seigneur des anneaux et je sais aussi que cette fic à été déjà faite des millions de fois mais si vous lisez bien vous pourrez remarquer qu'il y'a certains détails qui ne seront pas dans toutes les fics, laissez aussi des reviews elles ne sont pas longues à faire et ça fait toujours plaisir

Disclamer: le seigneur des anneaux appartient au maitre Tolkien, seule Laolyne m'appartient.

Quand Laolyne, une jeune fille de notre monde atterrit sur la terre du milieu, ça peux faire du grabuge! Mais est elle si normale qu'elle en a l'air ou possède elle vraiment un don qui pourrait influencer la guerre de l'anneau?

La télépathie des Valars

Chapitre 1:prologue

«Laolyne, concentre sur ton sabre, tu as la tête ailleurs aujourd'hui!»

«Oui, pardon coach, je vais essayer de faire mieux»

A peine la jeune fille eut elle prononcé ses mots que ses gestes devinrent plus souples, plus assurée et plus précis.

Son sabre réussi a percer les défenses de son adversaire et le bout de l'épée atteint la combinaison de son coach, Mathieu.

«bien joué Laolyne, tu fais des progrès quand tu te concentre, je suis fière de toi!»

La jeune femme lui répondit par un sourire qui l'a rendue encore plus belle, Mathieu la dévisagea car a chaque fois qu'elle souriait, ce qui était souvent le cas, elle n'en devenait que plus jolie, il ne pouvait s'empêcher de la regarder comme si il la voyait pour la première fois:

Laolyne du haut des ses 19 ans était grande, et était bien pour son age, ni trop mince ni trop grosse, ses cheveux roux qui ondulait jusqu'à son bassin était tiré en arrière, ce qui laissait apparaître ses oreilles pointus, chose si particulière qui la caractérisait tant, mais les deux choses les plus étonnantes, était sa voix mélodieuse mais surtout ses deux yeux d'un bleu azur qui captait l'attention de toute personne la regardant.

Laolyne qui avait capté son regard sur elle sentit le rouge monté aux joues et gênée, elle décida d'intervenir:

«Coach, le cours est finit?»

«Oui Laolyne et n'oublie pas, qu'à la fin de la semaine, il y'a la compétition nationale qui t'attend»

«ne t'inquiète pas, je n'oublierais pas! »

oh non, elle n'avait pas l'intention d'oublier, depuis le temps qu'elle suppliait sa mère pour la laisser participer.

Elle enleva sa combinaison et remit son pull et son manteau puis elle sortit de la rue