Salut, lectrices jolies et douces, lecteurs doux et gentils.
Voici la version révisée de mon "Pré".
Nouvelle forme: les mots n'ont pas changé (ou très peu); j'ai juste trouvé intéressant de supprimer les retours à ligne systématiques. Le Pré de vient un poème déguisé en prose. Ou de la prose apparente qui rime intérieurement.
Nouveau chapitrage: Regroupement de plusieurs "parties" sous un seul chpitre.
A l'avenir: Je continuerais à publier chaque nouvelle partie indépendemment, sous forme de poème, jusqu'à en avoir assez pour former un nouveau chapitre. Je reposterai ensuite le tout sous un seul chapitre, et sous la nouvelle forme sans retours à la ligne.
Une fois pour toutes:
(1) TOUTE RESSEMBLANCE AVEC UNE AUTRE OEUVRE DE FANFICTION, D'Où QUE CE SOIT, EST PUREMENT FORTUITE
(2) TOUS PERSONNAGES OU SITUATIONS RAPPELANT L'UNIVERS ORIGINAL DE LA SAGA TWILIGHT DANS LA PRESENTE HISTOIRE APPARTIENNENT BIEN EN PREMIER LIEU A STEPHENIE MEYER, ma maigre contribution ne se voulant qu'un hommage à celle qui nous a créés, sans intention d'usurper son trône Olympien, empiéter sur aucun de ses droits ni en tirer un quelconque avantage financier. Cette histoire est mon humble serment d'allégeance à notre Reine du Crépuscule, alors que je m'incline en gauche révérence.
Enfin, lisez et relisez donc, et puis Cliquez, cliquez, riviouvez donc!
N'ayez pas peur de ce satané bouton. Laissez couroux courrir, dégoût ou bien appréciation...
A vous de juger, jugez donc.
;) Blue
LE PRE DU BEAU-MILIEU
PROLOGUE
[Somewhere by B . Streisand]
PDV-E
En quelque où et quelque quand se trouve un pré.
Pourtant il n'est âme vive à présent – ainsi en est-il et il en sera à jamais – qui sache où le trouver
ou bien quand.
Et bien que jamais, de toute éternité, âme qui vive ne vit de ses yeux la lumière qui nimbe et fait vivre ce lieu, j'en connais, moi, pourtant, le où et le quand. Il existe vraiment et moi seul sait à présent où le trouver, ce pré où j'allai si souvent.
Car j'y suis bien venu, jadis, il y a longtemps. J'ai vu de mes yeux vu cet endroit de l'entant.
Un moi moins âgé que ne le suis à présent y parvint par hasard en chemin. Un moi moins aliéné que ne le suis maintenant trouva là calme après ire et chagrin. Le garçon que j'étais alors étendit son corps au nid qu'il se fit sur le doux matelas du gazon gras et odorant de ce pré-là.
Crâne tonnerre, maussade et boudeur Esprit, trouvèrent jadis, la paix en ce pré et Cœur de ténèbres
abandonné, étouffé, jusque là muet et sans vie un jour trouva là l'étincelle qu'il n'avait pas, un autre tempo pour donner rhytme à son pouls un chant, une voix pour l'oiseau nouveau-né battant des ailes au creux de son cou.
Cœur désenchanté enfin put donner de la voix dans ce pré, en ce temps-là. La, Oiseau muet put fredonner, chanter enfin les choses cachées et les secrets qu'Etincelle devait savoir et ne savait pas.