Cullen

Esmée POV:

Si quelqu'un m'avait dit, que cela pourrait arriver un jour, je n'en aurai pas cru, un seul mot. Depuis notre arrivés, les habitants de Forks nous félicitent pour notre courage et notre immense bonté. Le fait d'avoir ''adoptés'' Carlisle et moi, tout nos enfants, les soufflent littéralement. C'est vrai que pour un humain, 5 enfants c'est beaucoup. Surtout quand ils ne sont pas de vous; moi je trouve ça tout naturel et je ne comprend pas leurs aberration. Ce jour la, commença comme tout les autres. Carlisle était partit tôt à l'hôpital, et les enfants sont vite partit en cours, pour la journée. Sauf Edward qui traîna un peu des pieds, il s'ennuie et le fait de lire dans les pensées des jeunes filles du lycée le rend fou. C'est vrai que mon Edward est tout bonnement unique en son genre, même pour un vampire, il est vraiment très beau. Il est aussi un peu mon chouchou, le fait est qu'il soit encore seul, et souvent isolé, me brise le cœur, j'aimerai tellement qu'il trouve le bonheur.. c'est une âme torturé est je me dois d'être là pour lui, a chaque secondes, dès qu'il en a besoin, c'est un minimum..

Je me retrouvais donc seule, dans cette grande maison.

Je fis un peu de ménage et de lessive, ce qui me pris un peu moins de 20minutes.

Je lus un roman, offert par Carlisle, mais ma faim m'en sortit.

Je décidais de ne pas aller très loin, histoire d'être là au retour, de ma petite famille. A peine rentrée de ma partie de chasse, bien savoureuse, je fus surprise d'entendre le Chef de la police sonner à ma porte. Ce n'est que quand je fus prête à tirer la porte, que je remarquais, c'est jolie jeune fille, a ses cotés terriblement accablée, tête baissée et dos arqué. C'est interloquée que je dis bonjour.

_ Bonjour, Madame Cullen. Excusez moi de venir chez vous à l'improviste, j'espère que je ne vous dérange pas ?

_Non, ne vous inquiétez pas. Je souris sincèrement.

_D'accord.. est ce que je pourrais vous parlez à vous et votre mari ?

_Carlisle est à l'hôpital, mais que ce passe t-il ?

_Je sais que les choses ne ce font pas comme ça, mais.. est ce que, nous pourrions entrer une minute ?

Je les laissés entrer, et s'installer sur le canapé du salon. La jeune fille, avec le Shérif sentait la fraise, un vrai délice. Heureusement que je suis allé chasser.

_Shérif Aiden, que ce passe t-il ? Votre silence m'inquiète.

_Veuillez m'en voir désolé, mais c'est que c'est un sujet assez délicat a traiter.. Cette jeune fille s'appelle Isabella Swan et..

La jeune fille, voulut un instant dire quelque chose, mais ne prononça pas un mot. Elle semble tellement triste, que cela me brisait le coeur.

_ ..Jusqu'à hier, elle habitait chez sa mère à Phoenix, mais elle à été victime d'un accident, qui lui a couté la vie..

_Oh mon Dieu! M'exclamais-je un peu trop fort, ce qui fit sursauter Isabella. Au moins elle me regardait à présent, elle avait des yeux d'une immense beauté, d'un chocolat profond.

_ Je suis tellement désolé, ma Chérie..

Je la prit dans mes bras, de telle sorte qu'elle sente à quel point j'étais bouleversée pour elle.

_Perdre sa mère, c'est la plus.. horrible des choses. Lui chuchotais-je.

Le Shérif, pas vraiment ému, ce racla la gorge, histoire que je lâche Isabella et que je me tienne plus correctement.

_..De plus, à son arrivé ici à Forks chez son père.. Isabella à retrouvé son père inerte dans son lit. Mort d'une rupture d'anévrisme.

Je retenais mon cris avec mes deux mains, sur ma bouche. Orpheline en quelques jours.. elle a vraiment pas de chance. Elle doit s'en rendre compte car, sur ses mots, Isabella qui retenait ses larmes, éclata en sanglots. J'accourus à ses cotés pour la bercer, le temps que ses larmes ne sèchent. Je fus prise d'une violente colère à l'égard de ce Shérif, qui ne sait visiblement pas prendre de gants.

_ Etiez-vous vraiment obligé, de lâcher cela comme ça ? C'est encore trop récents pour elle, mon Dieu!

_Oui.. hum vous avez parfaitement raison, excusez mon manque de tacts mais je suis assez stressé à son sujet.

_Expliquez vous ?

_Et bien.. voici là raison de notre venu. N'ayant pas de famille aux États-Unis ni nulle part ailleurs. Et comme notre petite ville, ne possède pas de foyer sociale pour jeune mineur.. et connaissant votre grande bonté et le nombre d'enfants que vous et votre mari..

_.. OUI, bien sûr que OUI, nous acceptons de la garder, c'est évident.

Le Shérif souffla, comme si je l'avais débarrassé d'un poids énorme.

_C'est bien sur, provisoire. Rétorqua le Shérif après s'être reprit. Nous allons lui chercher une famille en attendant, pourriez vous, l'inscrire au lycée et bon.. vous avez l'habitude.

_Oui, comme vous dîtes. Merci de votre venu, nous allons bien nous occuper d'elle.

Me pressais-je de dire, tendit que le Shérif, heureux de s'être débarrassé d'elle, partait déjà.