Chapitre I

L'histoire se déroule au XIXème siècle, la comtesse Stateinfield et son époux son admiraient et respectaient dans tous les pays qui entourent notre bonne vieille Angleterre. Ils vivent heureux dans la fortune et la paix avec leur merveilleux enfant, la jeune comtesse Aurélia Claudia Francesca Stateinfield. Elle était née pas plus de trois ans auparavant et était mignonne à croquer. L'entourage de cette jeune lady était très restreint mais elle le vivait bien et s'adonner aux joie d'être un enfant insouciant.

L'horreur commença lorsqu'elle eut neuf ans. Le château était en flammes et aucune traces de ses parents ou de la gouvernante. Ce jour-là elle eut très peur. Mais la famille s'en sortit en parfaite santé et dut déménager. Qui l'eut cru ! La jeune comtesse, déménagé de la campagne de Scotland aux horizons désertiques de celle de Londres. Aurélia vécu très bien ce soudain changement de milieu et rencontra même de nouveaux visages sympathiques. Un certain Undertaker, si elle s'en souvenait bien. Il n'avait pas fière allure et était sans doutes, la personne la plus étrange qu'elle rencontra jusqu'alors mais était, sous ses airs de parfait sot, un adorable personnage...enfin peut-être. Sa nouvelle demeure fut encore une fois un château des plus majestueux. Sa forme comme un pentagone. Tous reliaient a un autre bâtiment centrale, par des passerelles de verre qui donnait sur la cour intérieure. Les environs du château était aussi entourée de végétation contenue et reformé comme en un splendide jardin où était disposé de la plus jolie des manières, des roses, des lys et toutes sortes de fleurs aux couleurs flamboyantes. Aurélia apprécia beaucoup la vitalité des couleurs et aima se promener dans ces parterres fleuris où régnait une ambiance magique.

L'innocence prit fin et la douleur apparut. Soudaine et terriblement effrayante. Une douleur lancinante à la cuisse droite. Les échos de leur rires ainsi que ceux des applaudissements de ces gens la réveilla. Elle avait très peur. Personne. Elle n'avait personne. Où étaient ses parents ? Et la gouvernante ? Où était-elle elle-même ? Un flash de lumière l'aveugla et elle sentit la lame froide et mal aiguisée lui déchirée la peau délicate de son abdomen. Mal. Dieu qu'elle avait mal ! Dieu ? Mais quel Dieu ? Un Dieu qui ne l'a pas sauvé n'est pas un Dieu ! Un Dieu qui n'a pas sauvé ses parents n'est pas un Dieu ! Et tandis qu'elle blasphéma le Tout-Puissant son sang coula et ses yeux doucement se refermèrent. Un mouvement à sa droite retint son attention et l'a força à se maintenir éveiller malgré la douleur qui lui foudroyé le corps tout entier. Une ombre s'approcha lentement d'elle. Pourquoi personne ne semblait la voir ? La réponse lui vint immédiatement, elle n'était pas humaine ! Une chose qui n'est pas humaine, n'est certainement pas envoyer par Dieu. Enfin, elle allait mourir, la douleur la fit grimacer. La chose approcha et d'une lenteur extrême, s'abaissa au niveau de son visage tordu par la souffrance. Le sourire que cet être d'ombre lui offrit, lui glaça le sang qu'elle avait encore. Elle lui murmura doucement :

« Quelle situation dégradante pour une personne de votre rang Comtesse. Devrais-je vous apporter mon aide ? Votre vie en échange de votre âme. Un échange équitable, n'est-ce pas ?

-Mon âme ?

-Une si belle âme comme on en voit pas tout les jours. Une merveille que je n'ai pas déguster depuis plus d'un millénaire. Alors, Comtesse que désirez-vous ? Dites-le moi...

-Je veux...je veux la vengeance ! Je veux leur mort ! Je désire voir leur sang se répandre sur le sol. Le voir repeindre les murs de cet couleur écarlate ! Je désire le pouvoir !

-Avec plaisir. Les humains sont si prévisibles. »

Et l'horreur continua. Les hurlements lui déchirèrent les tympans. Elle entendit très distinctement le son de leurs gorges qui se déchirent et leur sang coulant à flot, se répandant comme un long fleuve. Le cri de femme que l'on assassine, alors qu'elle tente désespérément de fuir ce lieu où règne l'enfer. La jeune comtesse écoutait, sourde à se spectacle horrifiant qui se dérouler sous ses yeux aveugles. Et es cris cessèrent. Plus un bruit, seul celui des pas de cet êtres démoniaque qui l'avait sauvé.

« Jeune comtesse, ouvrez les yeux et contemplait votre œuvre. »

La comtesse observa en silence la douce violence de ce rouge écarlate qui peignait désormais cette pièce où s'était déroulée toute l'horreur d'une vie en cette sombre nuit. Prudemment, la fillette se leva, tentant vainement de fuir cette scène qu'elle avait elle-même provoquer. Le démon, parce que c'est ce qu'il était, un démon, lui dit de son sourire éclatant de malfaisance :

« Regrettez-vous jeune maîtresse ? »

Elle n'hésita pas une seconde et lui répondit d'un regard impassible et dénué de tout sentiments.

« Aucunement. Le monde se portera mieux sans eux. »

Elle partit, titubant et trébuchant sous le regard amusée de ce démon rieur.

You survive at the first night...