Salut à vous ! Je rentre de vacances et donc je recommence à publier. Voilà la suite des aventures de Michelle, c'est en gros sa vie entre les deux guerres.
Cela sera plus drôle que le tome 2 et bien sûr on retrouvera Zoey et Queenie et les enfants.
Des bisous.
« Severus ? Severus ? » Je pousse légèrement la porte et elle n'offre pas de résistance.
Bon. Réfléchissons. Je dois réfléchir devant une porte entrebâillée. Je peux le faire. C'est mauvais signe que cette porte ne soit pas fermée, Severus n'est pas du genre confiant. Oh mon dieu ! Si ça trouve il lui est arrivé quelque chose… Je dois rentrer dans ce putain d'appartement. Juste, pousse la porte Michelle.
J'angoisse en présence des portes fermées. Et ce depuis ma libération de l'Ordre. Depuis qu'une simple porte représentait tellement. Je ne ferme plus les portes, du moins jamais à clé. Je me sens oppressée quand c'est le cas. Je suis peut-être légèrement devenue claustrophobe, mais essayez de vivre pendant presque 10 mois enfermée…
Allez Michelle, sois courageuse. Pour Severus, tu peux le faire. Sois courageuse… Après tout il aime les Gryffondors cet idiot…
Cela fait trente jours qu'il n'a pas mis un seul pied dehors. Depuis la mort des Potter en réalité. Enfin, celle de Lily surtout… Je pense qu'il était plutôt content de celle de James…
Mais aussi la mort de sa mère, deux jours après celle de Lily. Comment dire qu'il n'est pas bien, mais alors pas bien du tout.
Après mon retour héroïque avec mes deux enfants et l'évanouissement de Queenie, ainsi que la fête qui a suivie, ils ont enfin parlé du problème, celui que je sentais depuis que j'ai posé mon gros orteil au Manoir Malefoy. Car oui, maintenant ils font partie de notre bande d'amis, la famille Malefoy. Et en passant Lucius est toujours aussi séduisant… Il porte une canne aussi, sans raison médicale, mais c'est tellement phallique et sexy. Dès qu'il sort violemment sa baguette de sa canne, je ne peux m'empêcher de sourire… C'est vraiment sexy une canne. Bon, Fol-Œil en avait une mais lui… Enfin ce n'est pas le sujet.
Ils ont donc finalement mentionné le problème : Severus. Severus et son état catatonique, seul et enfermé dans sa maison miteuse. Vraiment, j'ai vu les photos, et le mot est encore trop faible. Même si pour moi cela ne faisait pas trente jours – merci Dumby de m'avoir oubliée dans ce QG miteux lui aussi – j'ai compris la gravité de la situation directement. Nous avons donc tenu un conseil de guerre, laissant les enfants aux bons soins des elfes de maisons – d'ailleurs il va falloir que je m'en retrouve un. Voir deux…
Ils m'ont raconté qu'ils ont tout essayé pour l'aider mais qu'il n'y avait rien à faire. Après avoir chacun narré ses multiples échecs, ils se sont tous retournés vers moi et, sincèrement, j'ai commencé à flipper. Une bande de Serpentard, Mangemort ou méchamment attiré par la Magie Noire, qui vous fixe, ce n'est pas très rassurant. Mais finalement ça a été. Ils voulaient que j'essaie. Ils disaient que c'était mon tour… Je les retiens sur ce coup-là… Je viens juste de sortir de mon emprisonnement avec deux bébés et ils veulent que je m'enfonce dans les tréfonds de la caverne glauque, minable, pitoyable et pathétique de ce que Severus ose appeler sa ''maison''.
Bien sûr Lucius n'a pas pût s'empêcher de rajouter perfidement que j'étais une des rares personnes à avoir établi un lien intime avec lui. Et son ton sur le mot ''intime'' ne laissait pas de place au doute. Oh, je l'aurai tué. En plus il ne nous a même pas laissé ragoter dessus – alors que j'aurai bien aimé parler de mes sentiments envers lui à mes copines, il y a moins le risque de s'embrasser comme avec Lupin.
On peut reprocher beaucoup de choses à Lucius Malefoy, mais c'est un ami sincère, parce qu'il sait comme on aime ragoter et il ne ferait jamais rien pour contredire sa femme. Sauf si son meilleur ami va mal.
Ne jamais être son ennemi, ce mec est l'archétype du Serpentard sournois.
Et voilà, après un argumentaire particulièrement bien construit – il aurait un très bon avenir en politique, je voterais peut-être pour lui s'il se présente comme Ministre de la Magie – je me suis retrouvée devant le logis de Severus Snape, lâchement abandonnée par mes prétendus amis. En même temps, le paysage est flippant… Une vieille lande anglaise brumeuse et fantomatique à souhait… Je me demande si ça faisait partie de la description sur l'annonce ?
Je vends maison nulle sur un terrain qui ferait passer Azkaban pour un parc de loisir…
Mouais, pas terrible.
Pas terrible.
Exactement comme ma situation en ce moment précis. Bon, on ne va pas tergiverser encore longtemps, je vais pousser cette porte.
Victoire ! Je suis rentrée ! C'est étrangement propre pour une maison dont le propriétaire n'est pas sorti depuis trente jours… Severus doit être une bonne fée du logis. Non, je dois supprimer ces images mentales, ne pas mettre des ailes pailletées à Severus...
MOUHAHAHA !
Arrête Michelle, ce n'est pas le moment. Pas du tout. Je ressortirai ces images dans un meilleur moment, plus adéquat dirons-nous.
« Severus ? Severus, c'est moi. Michelle. » On ne sait jamais s'il a oublié le son de ma voix… Non ça m'étonnerait.
En soupirant je range ma baguette, ce n'est pas terrible de venir chez son ami en le menaçant, je suis là pour l'aider. Et j'ose espérer qu'il ne me fera pas de mal, en souvenir du bon vieux temps.
« Snape ? » Je rétorque en sursautant en entendant un bruit derrière moi. J'ai inconsciemment posé ma main sur ma baguette, accrochée à ma ceinture, les réflexes ont la vie dure. Même quand je n'avais plus de baguette quand j'étais prisonnière j'avais ce réflexe.
« Severus ? » Je murmure en voyant une forme sombre et humanoïde avachie dans la pièce que je viens de découvrir. « Oh putain ! » Je m'exclame en mettant une main devant ma bouche.
L'odeur est fétide et la pièce est détruite, les murs sont en lambeaux et maculés de sang. Retenant un haut le cœur, je m'avance doucement, le cœur battant la chamade, pourvu qu'il ne lui soit rien arrivé.
Je bute contre quelque chose et je ferme les yeux. Je reconnais ce son et cette texture, j'ai de nombreuses fois buté dans ces choses-là. Un cadavre. Un cadavre qui n'est pas abîmé, juste mort.
Oh mon dieu ! Pitié pas ça…
Ce n'est pas l'idée du meurtre qui me répugne ni que Severus ait tué quelqu'un, mais l'idée que si le sang sur les murs n'appartient pas au cadavre, il ne peut appartenir qu'à mon ami. Oubliant toute précaution, je me laisse tomber par terre, avançant à tâtons. Finalement ma main touche quelque chose et je souris. Les cheveux gras de Severus. Sans lui laisser le temps de réagir – il déteste qu'on touche ces cheveux – je le prends dans mes bras, collant sa tête contre ma poitrine. J'ai remarqué que cela avait tendance à calmer les gens, le contact avec des seins. En même temps c'est confortable, j'ai déjà fait la sieste sur ceux de Zoey, et c'était la meilleure sieste de ma vie.
Le temps s'écoule sans que je parvienne à le mesurer. Je reste là, avec Severus. Lui murmurant des paroles rassurantes, en lui caressant le dos, mais pas les cheveux. Finalement après ce qui me paraît être des siècles, il s'éloigne lentement de moi et se relève. Je le suis du regard mais je ne me lève pas, j'attends de voir ce qu'il va faire.
Il me tend la main, une main pâle et fragile, une main merveilleuse. Il a toujours eu des très belles mains. Et on pourrait presque croire qu'il sourit… Le genre de sourire pour lequel il faut une loupe pour le repérer, mais j'ai eu le temps de l'observer.
« Ravie de te revoir Severus. » Je marmonne en lui saisissant la main. « Et si on allait dans le salon maintenant ? »
Sans lâcher ma main, nous allons dans le salon, où l'air est nettement plus respirable. D'un mouvement du pied, je ferme brutalement la porte. Le claquement semble faire sortir Severus de son hébétement et il se précipite dans la cuisine, marmonnant qu'il va faire du thé. J'aimerai bien des petits biscuits mais je ne veux pas en faire trop.
Hourra ! Il a amené des petits biscuits ! Je l'aime ce garçon.
« Je sais que tu aimes bien prendre des biscuits. » Murmure-t-il sans me regarder, concentré dans sa tâche : servir les tasses.
Je prends ma tasse et j'attends. J'attends qu'il me parle, qu'il s'ouvre un tant soit peu.
« Tu sais ? »
« J'ai eu le droit à un récit par Dumbledore en personne. » Je retiens le ''désolée'', essayons de ne pas lui rappeler ce qu'il a perdu. « Et les copains m'ont dit pour ta mère. »
Son regard se darde sur le mien et je le soutiens, je ne cille pas. Lentement, je le devine plus que je le vois, il redevient le Severus que je connais, froid et distant. Je suis sûre qu'il va tout me raconter sans sourciller, sans montrer la moindre émotion. Un génie.
Alors il me raconte, sans fards et sans tabous. Juste avec un air indifférent. Je sais que c'est contrôlé mais quand même. Ce n'est pas humain de retenir autant d'émotions sans exploser en larmes. Il me dit tout. Je pense qu'il ne s'est jamais ouvert à quelqu'un comme ça depuis son amitié avec Evans-Potter.
Il a voulu mourir après la mort de Lily, il ne cache pas ses sentiments, il sait que je sais. Mais qu'il n'a pas eu le courage et que Dumbledore lui a demandé de veiller sur l'enfant. Ce qu'il fera à regret. Il m'expose son plan prévoyant sa mort sans émotions. Il a tué un homme qui lui ressemblait – on ne voyait pas bien dans la pièce mal éclairée – qu'il voulait faire passer pour lui avant de disparaître. Bien sûr il m'explique qu'il comptait abîmer le corps plus que ça, pour que l'identification soit plus difficile. J'en connais un qui a bien appris ses leçons de Mangemorts, c'est le b.a.b.a. Mais il n'a pas réussi non plus. Pour une fois que ces échecs sont biens – parce que certains ont provoqué des catastrophes, c'est ça d'essayer de créer des potions quand on a que 12 ans – il ne peut pas abandonner ce qui reste de Lily, même si c'est un bambin baveux et braillard. Et il a des plans avec Dumbledore – il ne m'en dira pas plus mais je ne lui en veux pas – à propos du garçon, il ne le nomme pas, jamais son prénom.
Il me devance en m'expliquant le sang sur les murs. C'est bien le sien – je ne peux m'empêcher de frissonner et chercher sur son corps des traces de blessures, ce qui est inutile puisqu'il est habillé.
« J'ai bu Michelle. J'ai bu comme je n'ai jamais bu. Et… Et quand je bois comme ça, je deviens lui. »
Le dernier mot a été craché avec tant de haine froide et sourde que je sais qu'il parle de son père. Son sale connard de père moldu et violent envers lui et sa mère. Il m'explique qu'il a peur de lui, et que même si la mort de sa mère a été diagnostiquée comme une chute dans les escaliers, il sait que son père l'a tué dans un excès de rage.
Il s'en veut de ne pas l'avoir aidé plus. Il s'en veut de ne pas avoir été là. Tout comme il s'en veut de ne pas avoir pût empêcher la mort de Lily Evans.
Mon dieu, comment arrive-t-il encore à vivre avec tout ça ?
Accentuée par la perte des deux femmes qu'ils aimaient le plus au monde, sa haine envers son père a atteint son paroxysme, même James Potter serait son meilleur ami à côté.
Tandis qu'il parle de son père d'un ton haineux, des souvenirs me reviennent, une conversation eut à Poudlard avec Severus. Que nous deux dans la salle commune…
…
« Je le tuerai Michelle. Il mourra de ma main et je n'aurai aucun remords. »
« Je suis sincèrement désolée Severus. »
« Et je t'aiderai si tu veux. »
« Vraiment ? »
« C'est ce que font les amis. »
…
Je me rappelle de tout à présent et sans m'en rendre compte que me lève, forte et déterminée, sous le regard surpris de Severus.
« Michelle ? »
« Tu te rappelles la discussion sur ton père ? Salle commune à Poudlard ? Quand tu as parlé de le tuer ? » Je lâche sans précautions, après tout, tout ce qu'il vient de me raconter, il l'a dit sur le même ton que Queenie qui nous parle de son petit-déjeuner.
Je vois ses yeux qui s'écarquillent et je souris.
« Tu avais dit que tu pourrais le tuer. Et j'avais dit que je t'aiderai. Allons-y. Si tu veux. Mais sincèrement moi il me débecte au plus haut point. »
« Vraiment ? »
« C'est ce que font les amis. »
« Tu pourrais ? »
« Pour toi ? Oui. Cela dépend entièrement de toi. Si tu veux nous pouvons l'anéantir, lui et son immondice. Le faire disparaître à jamais. Et je ne suis pas à un meurtre près. »
« Moi non plus. » Rétorque Severus en se levant.
« On y va alors ? »
« On y va. » S'exclame-t-il en me tendant la main pour transplaner.
Nous atterrissons entre deux buissons, il m'indique que la maison est à quelques minutes de marche. Dans le silence nous marchons et je ne peux m'empêcher de pouffer. Il le remarque et s'arrête. Je me tais aussitôt, j'espère qu'il ne va pas le prendre mal…
« Qu'est-ce qui te fais rire ? » Me demande-t-il en me regardant.
Ouf, il n'a pas l'air en colère, juste légèrement surpris mais aussi légèrement souriant.
« Juste… C'est comme au bon vieux temps. Une petite mission… Un petit meurtre pour se remonter le moral. »
Ma justification semble lui convenir puisque son sourire passe de microscopique à minuscule.
« Tu te rappelles la fois où on s'est retrouvés face à ces sorcières armées de poupées vaudous ? » Souffle Severus alors que nous reprenons notre marche.
« M'en parle pas ! Mon dieu ! Will avait une peur bleue des aiguilles depuis ce jour-là… Et là fois où on a dût trouver le vieux fou qui vivait dans la forêt ? »
« Celui qu'on a poursuivi dans la forêt ? Et qui courrait nu ? »
« Oui ! Oh, qu'est-ce qu'on a ri… »
Nous pouffons ensembles dans le silence de la nuit – vive l'adrénaline pré-meurtre – jusqu'à ce que nous arrivons devant l'Impasse du Tisseur.
« On devrait s'assurer qu'il est bien là non ? »
« Tu as raison. Hominum revelio. » Murmure Severus.
« Merde… Il n'est pas tout seul… Tu veux faire quoi ? » Je chuchote en me tournant vers Severus qui a les sourcils froncés.
« Ce sont ces amis alcooliques. Ils n'étaient pas sympas avec ma mère eux aussi… » Grogne Severus entre ses dents.
« Allons-y alors. Comme ça je ne serai pas venu pour rien. Enfin si tu veux que je vienne avec toi… » Je rajoute précipitamment.
« Viens avec moi. Rentre. Mais laisse-moi mon père. »
« Tout ce que tu veux. » Je murmure en serrant sa main alors que je sens mes yeux s'embuer. Je retiens mes larmes.
Je ne pleure pas à cause de ce que l'on va faire mais parce que cette phrase n'a jamais été aussi vraie Je ferais vraiment tout pour lui. Et ça me brise le cœur.
« Merci Michelle. » Murmure-t-il en me lâchant la main avant de rentrer dans le jardin.
Je t'aime Severus.
…
Quand nous ressortons, la matinée est déjà bien entamée, alors nous transplanons directement, on ne veut pas être vus. Sans vraiment le chercher je nous fais atterrir devant le Manoir Malefoy.
« Ils étaient inquiets pour toi tu sais… » Je marmonne en réponse à son levé de sourcil.
« Il n'y a plus de raison maintenant. Tu avais raison tu sais. Un bon petit meurtre d'un monstre répugnant, ça remonte le moral comme jamais. »
« Apprête-toi à en prendre un coup dans le moral quand tu vas devoir nettoyer ta pièce… Oh ! Fait pas cette tête-là, je t'aiderai va ! Quoi que vu comment ta maison est arrangée, tu es une très bonne fée du logis. »
Il fait comme s'il ne m'avait pas entendu et redresse la tête pour traverser le portail magique du Manoir Malefoy.
« C'est très plaisant de t'avoir comme amie Michelle. » Lâche-t-il du bout des lèvres avant de sonner à la porte, se faisant accueillir à bras ouverts par nos amis.
Voilà, l'adrénaline post-meurtre est retombée
Je reste quelques secondes immobiles, profitant qu'ils sont tous focalisés sur Severus. Une amie… Je pense que Severus ne pourra jamais aimer quelqu'un d'autre que Lily Evans, et si c'est presque beau d'une manière très niaise, pour moi, ce n'est pas très agréable.
Mais je ne pleurerai pas. Il faut relativiser.
Il est là. On est tous là, tous réunis et heureux. Et surtout en vie. Et c'est vraiment tout ce qui compte.
Et puis, un chagrin d'amour n'a jamais tué personne. J'ai encore la carte Lupin sous le coude.
Quoi qu'il doit être dans un piteux état après les récents évènements.
Je pourrais lui passer une petite visite, je suis plutôt bonne pour sortir les gens de leur état catatonique, regardez Severus qui…ronchonne devant les enfants. Je suis sûre qu'il fait ça juste pour ne pas casser son image, il adore le petit Draco en réalité.
Ouais, je vais faire une visite à Lupin. Et s'il est dans un sale état, je le ferais sortir de cet état.
Juste, je ne pense pas que le meurtre soit une option envisageable pour lui. Peut-être que le sexe serait mieux… C'était ma deuxième option avec Severus, il faudrait voir ce que cela donne sur un Gryffondor trahi et seul. Je ne pensais pas dire ça un jour, mais en ce moment, Severus a plus de véritables amis que Lupin. Et c'est incroyablement triste. J'en pleurerai si je n'étais pas entourée de mes amis… Mon dieu, je suis vraiment à fleur de peau. Je n'ai pas encore pleuré une seule fois depuis mon retour. Pas une seule fois je me suis transformée en fontaine.
Et pourtant, ce n'est pas l'envie qui m'en manque…
Remarque, je peux pleurer, je sors d'une grossesse particulièrement éprouvante – le truc des hormones marche toujours, c'est un conseil de Narcissa qui a utilisé cette excuse – et je viens d'aider l'homme que j'aime éperduemment – et qui ne m'aime pas – à tuer son père, j'ai même carrément proposé l'idée…
Ouais, je suis en droit de pleurer.
Les chutes du Niagara n'ont qu'à bien se tenir, je viens d'entrer dans la compétition.
Voilà, n'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez et si vous avez des idées aussi.
J'ai fait une liste des moments que j'aimerai écrire. En pêle mêle :
Les retours de Severus et Remus, une description des enfants, des moments Severus et les enfants et Remus et les enfants, les mariages de Zoey (c'est canon, elle s'est marié 7 fois et chacun de ses maris est mort dans de mystérieuses circonstances en lui laissant plein d'argent), les relations amoureuses de Queenie qui n'arrive pas à oublier Regulus, les problèmes de Michelle qui joue un double jeu et les répercussions sur ces enfants...
Et vos encouragements me sont très bénéfiques.
Serpentardement vôtre
