Auteur : Sakura-okasan
Disclaimer : Les personnages de cette fic ne m'appartiennent pas, ils sont à Thomas Astruc.
Titre : Cha(t)lereux
Couple : Adrien/Marinette.
Rating : T.
Genre : Romance.
Bêta : Marjo76.
Bonne lecture à tous !
Il était là, sur ma terrasse, Chat Noir, mon partenaire, ou ne serait-ce plus que cela ? Il s'approche de moi, ses yeux verts brillants devant cette lune magnifique, son corps se mouvant tel un félin, en quête d'une proie. Il tendit le bras et de sa main, rapprocha nos tête et fondit sur moi, en un baiser doux et sucré. Je passai mes mains dans sa chevelure dorée, il en profita pour passer la barrière de mes lèvres. Trop surprise par l'avancement de la situation, je le laissai faire. Je sentis en moi monter une chaleur encore jamais connue et j'aimais ça. Tant et tellement que je me pressai contre lui. Il passa ses mains sous mon chemisier et vint caresser mes seins. Le plaisir que je ressentis alors, fit que mes jambes flageolèrent. Je butai contre le transat, où nous nous écroulâmes. Ce fut là, que j'ouvris les yeux, que je n'avais même pas remarqué avoir fermés. Surprise, je les refermai, en croyant rêver. Devant moi ne se trouvait plus Chat Noir, mais Adrien. Mon Adrien. Si c'était un rêve, je souhaitais qu'il ne se finisse jamais.
Adrien rompit notre baiser, pour en déposer d'autres dans mon cou. Je me sentis toute chose. La chaleur irradiait de tout mon corps. Je rapprochai nos corps encore davantage, pour sentir le sien, dur, frotter cette partie si sensible de moi, qui me faisait voir des étoiles. Lui n'était pas en reste. Je le sentis grogner et se frotter de plus en plus contre moi, n'épargnant aucun centimètre de ma gorge dévoilée. Puis, de nouveau, il reprit mes lèvres entre les siennes et m'embrassa farouchement, tout en continuant ses frottements divins, qui bientôt, me firent voir le paradis. Je l'entendis gémir à ma suite et laisser retomber sa tête dans mon cou, essoufflé. Épuisée par tant d'émotions, je sentis à peine quelqu'un déposer, sur nous, un plaid, que nous nous endormîmes, enlacés.
Fin !
