Raiting : M par précautions, je ne suis pas encore sure xD on verra !
Diclaimer : Les personnages ne m'appartiennent pas l'histoire elle si.
NDA : Coucou, ici Jeanna, et voici un one shot que j'ai eu l'idée d'écrire, il sera en deux parties, voir 4 on ne sait jamais xD sa dépendra de mon humeur, pas de panique au sujet de l'autre fiction, sa ne modifiera pas les délais d'1 chap toutes les deux semaines. Sur ce il est tard, je vous laisse kiss !

-Jeanna.

Aimer ou ne pas aimer ?

« C'est absolument hors de question.

- Ah ah ! Je savais que tu allais dire ça ! »

Je n'aime pas ce regard, mais alors pas du tout. Quand ce débile profond a ce genre de lueur aux fond des yeux, vaut mieux se carapater, et en vitesse !

« Donnnnnc, il fouille dans son sac à la recherche d'une feuille semble-t-il, Je t'ai fait signer ça ! »

Je sous-signé,

Stiles Stilinski,

M'engage à dire une des phrases suivantes à Derek Hale :

1. Qu'est-ce que tu disais ? Je me suis perdu dans l'immensité que sont tes yeux...
2. Tu as le plus beau de tous les sourires, il me rend tellement heureux !
3. Si tu me voyais comme je te vois, tu ferais de moi le plus heureux des hommes.
4. J'ai confiance en toi, tu as raison, tu as toujours raison ! Quelqu'un avec de si belles fesses ne peut pas avoir tord.
5. Tu crois que je devrais me mettre à la prière ? Non parce que ton cul est à damner un saint.
6. Fais moi l'amour. Sauvagement. Sur une table, sous une table, tous ce qui comporte une table je suis preneurs.

Mais pourquoi ? Pourquoi est-ce que je suis si con ?! Comment j'ai pu signer cette putain de..

Okay, calmons-nous, il me suffit de déchirer cette foutue feuille et tous sera terminé.

Je m'empresse donc de déchirer le bout de papier, et à en juger par les regards que me lancent les autres étudiants je doit avoir l'air d'un demeuré. C'est sûrement dû au fait que je suis dans le couloir à déchiqueter un bout de papier comme si je détruisait le plus grand mal que cette terre n'ai jamais habité justement...

Enfin, ça et mon rire aussi, le genre de rire qui vous fou les ch'tons...

« Désolé Stiles mais, ça c'était qu'une copie, Lydia a tenue à garder l'originale... »

Je relève mon regard vers mon pas-si-meilleur-ami-que-ça, qui tiens une dizaine d'autre feuilles identiques à la première. Mon visage ce décompose et je le voie tressaillir.

« Pourquoi ? Je nous croyais amis ... »

Il semble réellement compatir à mon sors, avant de se reprendre et d'afficher un air plus dur :

« Nous le sommes, et c'est pour ça que, avec l'aide de Lydia, on va mettre un terme à ton béguin stupide.

-Et comment tu comptes faire ça ? En me ridiculisant tellement que je ne pourrais plus jamais JAMAIS le regarder en face ?

-Bien non en fait je-

-Ah non ! Laisse moi deviner ! Tu vas le laisser me faire la peau, c'est ça ? Et une fois que je serais bien mort et que je recouvrirais le sol de l'entrepôt, tu me feras pipi dessus parce que ce sera une sorte de rituel de loup-garou stipulant que j'ai un jour appartenu à ta foutu meute de troufion du-

-STILES, hurle-t-il pour me stopper !Stiles stiles mon pote ! Calme toi.. »

Je suis essoufflé suite à ma tirade précédente et je le regarde comme si je venais de me faire courser par une mamie en colère. Ne riez pas, c'est vraiment terrifiant, une mémé en rogne...

« D'abord, on a aucunes preuves qu'il va te tuer. »

Je lui lance un regard totalement blazé avant de ramener une des feuilles sous mes yeux. Je prend une grande inspirations et je cite d'un ton monotone :

« Qu'est-ce que tu disais ? Je me suis perdu dans l'immensité que sont tes yeux...

- Oui Allison est un peu fleure bleue mai-

-Tu as le plus beau de tous les sourires, il me rend tellement heureux ? Sérieusement Scott ?

-Eh ! Attends, c'est pas moi qui l'ait écrite celle-là !

-Ah non ? Bien fait moi part de ton chef-d'œuvre dans ce cas, je suis tout ouïe !

-Moi j'ai écrite celle-ci, attends.. »

Il se penche au dessus de la feuille en plissant les yeux.
Il à l'air d'une taupe comme ça...
Je soupir en levant les yeux au ciel pendant qu'il parcourt la feuille du regard :

« Voilà celle-là ! »

Il me pointe la-dite phrase du doigt et je la lit à voix haute, tout du moins j'essaye :

« Tu crois que je devrais me mettre à la prière ? Non parce que ton cul est à damner un saint .. ? C'est ça, ta phrase ?

-Hm hm ! »

Il bombe le torse, fier comme un paon et je sens une colère sourde monter en moi.

« Je vais te tuer.. »


« C'est ridicule, je vais jamais y arriver. »

Nous sommes actuellement dans ma voiture. Par nous j'entends moi et Scott, Lydia avait je cite : « des choses plus importantes à faire »...

Je n'ai pas arrêter d'y repenser. De repenser à comment je ne boirais plus jamais parce que ça me fait faire des trucs con, et que ces trucs me foutent dans la merde -comme présentement-. Ou encore à comment Derek va me découper en petits morceaux, à où il va cacher mon corps. J'hésite encore, est-ce qu'il va le foutre dans un fleuve ou juste le brûler ?
Vu l'aversion qu'il entretiens avec l'élément j'opterai pour le fleuve. Ouais, y a plus qu'à espérer que je meurt dans les premiers coups de griffes -ou de dents, qui sait?-.

Je souffle pour me donner contenance mais j'échoue lamentablement. Je sens le stress monter encore, rapidement suivit par de l'angoisse. Scott doit le sentir aussi parce qu'il pose une main qui ce veut apaisante sur mon épaule :

« Sa va bien se passer tu vas voir !

-Ah ouais, t'en es bien sur ? Non parce que je veux dire, toi tu guéris tu vois ? Moi le trucs de super loup-garou bionique là...

-Mais dit pas n'importe quoi ! Il va pas te tuer pour ça Stiles ! »

Nouveau regard blazé de ma part.

« Aller regarde, essaye tu vas voir c'est facile ! S'exclame-t-il »

Il réfléchie quelque secondes avant d'en choisir une et de me tendre la feuille . Je regarde la suite de mots qui défilent sous mes yeux, une moue concentré collé au visage.

Quand faut y aller !

« Qu'est-ce que tu disais ? Je me sui- Non Scott désolé, c'était sympas et tout mais ça va pas le faire ! C'est dommage, on c'est bien amusé, mais même les meilleurs moments ont une fin ! »

Je m'apprête à démarrer quand Scott, si gentil Scott, attrape la clé et le casse en deux, littéralement.

« Mais t'es pas bien ?! Comment je rentre, moi, après ?! La voiture c'était ma seule échappatoire ! Il va me tuer là ! J'ai aucune chance à pied face à lui !

-Stiles, il me regarde dans les yeux, tu ne vas pas mourir. Tu vas t'humilier, il va te rembarrer avec un de ces regards de la mort qui tue et ensuite tu viendras chez moi là où un bon vieux star wars t'attendra. »

Je soupire -encore une fois- et je sors de la voiture.

Qu'est-ce qu'il peut bien m'arriver de toute façon hein ? Au pire je vais m'humilier devant lui, et alors ? Je le fais tous les jours ça, et puis c'est pas comme si il pouvait réellement me tuer, non parce que mon père c'est le shérif quand même.

Fort de ces convictions, c'est à grandes enjambées que je me dirige vers la demeure Hale.

Ça va faire bientôt 1 mois que je l'évite, parce que ce que je ressens pour lui est devenue bien trop fort.

Ça et le fait que sa nouvelle petite amie et lui vivent ensembles.

Je crois que le pire, ça a encore été le trucs de leurs brosses à dents dans le même verre.

Ça aurait été cool que Scott me dise un truc cliché du genre de : mais nan, c'est sa cousine qui avait disparu en mer au XIème siècle après J-C et elle est réapparut pour son 25ème anniversaire ! Elle a fabriqué un radeau avec des carapaces de tortues et a dresser des mouettes qui lui ont servis de voile !

En réalité, il n'a pas eut le temps de dire quoi que ce soit, Derek à parler pour lui.
Ils n'arrêtaient pas de roucouler, lui et sa pét- petite copine.

Elle lui caressait les cheveux, lui souriait, l'embrassait, et moi je sentais mon cœur se déchirer un peu plus à chaque fois.

Scott a dit qu'il l'avait senti, en fait tous le monde l'avait senti, sauf LUI bien sur. Parce qu'il était trop concentré sur Célia.

C'est ce soir là que j'ai annoncé mon béguin pour Derek au reste de la meute, ils ont fait serment de ne rien dire.

C'est aussi pour ça qu'ils ont monté ce stratagème stupide, enfin quand je dis ils, je parle de Lydia. Y a qu'elle pour monter un plan aussi foireux.

Peut-être pas foireux en fait, plutôt cruel. Oui voilà c'est ça, cruel.

Mon assurance c'est envolé comme de la poussière emportée par le vent. Il n'en reste rien.
On a fait en sorte que je vienne au moment où Célia est à l'hôpital -là où elle travaille-, histoire que je ne me ridiculise pas complètement.
Après tout Lydia doit avoir raison, il est temps d'oublier ce qui n'a jamais été réel.

Je n'ai pas le temps de frapper à la porte que déjà Derek se tient devant moi . Il a les pupilles dilatées, le souffle court et il semble passablement furieux. Ouais c'est décidé, j'vais claquer ce soir.

Je nierai toute ma vie avoir trouvé ça sexy, et surtout avoir couiné quand il m'a attraper par le bras dans un mouvement sec .
Il me pousse à l'intérieur avant de violemment claquer la porte d'entrée .
Il est dos à moi, je sais qu'il est en colère parce qu'il respire vite, fort et aussi qu'il se passe nerveusement une main dans les cheveux. Il fait toujours ça pour s'apaiser...

Elle lui fait toujours ça pour l'apaiser...

« Où est-ce que tu étais ? »

Je trésaille à l'entente de sa voix. Elle est grave, rocque et surtout le ton est dure et sec.
Je l'ai vraiment mit en rogne.

Comme je ne répond pas, il se retourne et me plaque contre un mur, comme il avait l'habitude de le faire.

Sauf que ce n'est plus comme avant.

Je veux que ça s'arrête.

Les endroits où il me touche me brûlent, je veux qu'il arrête, je ne veux pas qu'il me touche, plus jamais. Je veux oublier ce que je ressent, l'enfouir au plus profond de mon être, je veux l'oublier, l'oublier lui.

Je met mes mains sur ses épaules et je le repousse aussi fort que je peux, il recule à peine sous l'impact du choc mais me fixe perplexe.
Je ne m'étais jamais débattu avant.
Il fronce les sourcils et s'avance vers moi, il m'attrape les poignets :

« Stiles, qu'est-ce qu'il se passe ? Stiles ?! »

Le ton de sa voix est maintenant teinté d'inquiétude. Il semble perdu, mais je ne peux pas le regarder dans les yeux. C'est au-dessus de mes forces.
J'ai peur, peur que si jamais je le regarde dans les yeux, il lise ce que je ressens, et ça, c'est hors de question. Il ne mérite pas ça, de se sentir coupable parce qu'il ne peut pas m'aimer comme moi je l'aime, et je ne mérite pas de le voir se sentir mal parce que je ne suis pas assez bien pour lui.

« Stiles, regarde moi !

- Si tu me voyais comme je te vois, tu ferais de moi le plus heureux des ho- »

Ma voix se brise, mais ce ne sont pas à cause de larmes, non. C'est parce que je viens de comprendre, comprendre que je me suis déjà fait rejeter. Que je ne me suis jamais fait d'illusions.

Qu'il n'y avait rien à oublier.

Je me suis encore ridiculiser devant lui, je lui ai encore donner une raison de me détester.
Et je vais m'enfuir. Aussi loin que mes jambes voudront me porter.
J'ai à peine le temps d'entrevoir son expression aussi choqué que désemparé que je le pousse pour prendre mes jambes à mon coup.

Les heures qui défilent entre temps, j'ai du mal à m'en souvenir.
Je sais juste que je suis seul, assit sur le quai de la gare.
J'ai hésité longtemps à quitter la ville, m'enfin, après deux ou trois verres de vodka j'ai trouvé ça un peu extrême comme alternative.

Du coup je déprime seule sur mon banc comme un débile.

Il fait froid, le ciel est dégagée et il fait nuit depuis environs quatre heures.
J'avale encore une gorgée avant de me lever en direction des rails, je titube légèrement et je finis par arriver au bord du quai.

Je descends sur les langues de fers et je m'y installe. Fort heureusement Beacon Hills étant un trous plus que paumé, il n'ont pas le budget de les faire électrifiées.
Je regarde le ciel, je bois une gorgée et ainsi de suite. Je me conforte dans la solitude et le froid qui engourdis doucement mes membres. Mon dos me fait un mal de chiens et j'ai l'impression de peser une tonne, mais je m'en fiche.

Parce qu'au mois j'oublie la façon dont je me suis ridiculiser, celle dont il m'a regardé.

J'oublie que Scott est probablement aller voir si il ne m'avait pas vraiment tué vu que je ne suis pas retourné chez lui après coup.

C'est comme ci ma vie était terminée avant même d'avoir commencé.

Je ricane, on croirait presque que je suis suicidaire, moi qui suis toujours le premier à condamner ce genre de pratique.

Au bout de ce qui me semble une éternité, je me redresse, je remonte difficilement le long de la paroi en pierre et je rentre chez moi.

Et je ne suis même pas surpris d'y trouver Scott, par contre je ne pensais pas que le reste de la meute serait de la partie.

« Où est-ce que tu étais passé bon sang ?! »

Tiens, il a l'air en colère, lui aussi. Je soupire, pose ma veste sur le porte manteau, mes clés dans le saladier prévu à cet effigie, et je ne prête même pas attention à tous ce petit monde.

« Stiles ! Écoute moi quand je te parles ! Il faut qu'on ai une discussion, tous ensemble ! »

Il appui sur les derniers mots et c'est alors que je remarque que Célia et Derek font partit du lots. Bien sur, je m'attendais à voir Derek, mais l'autre morue là par contre, sa me reste en travers de la gorge.

« Ok, je passe une main sur mon visage, ouais, bien sur pourquoi pas ? On parlera demain dès que je serais levé, mais là je vais juste aller retrouver mon lit.

-Tu as bu ? »

C'est plus une constatation qu'une question en fait, et c'est Derek qui la pose. Je crois que j'ai sauté une étape dans le processus du deuil. La colère.

Je suis pris aux tripes d'une colère noire.

Il n'a pas le droit de me faire de reproches, il n'a aucuns droit sur moi d'ailleurs. Et comment Scott a pu le laisser entrer ? Et tout lui dire ? Parce que vu la tronche qu'il tire et la nervosité qui tend ses traits, il lui a forcement tous dit. I

lls lui ont forcement tous dit.

Je me sens trahis, salis. C'est stupide, je le sais, mais je ressent une haine sans bornes envers eux, je ne peux pas m'en empêcher.
Alors je lui souris, un sourire mauvais :

« Ouais, ouais j'ai avaler quand le mec m'a rempli la bouche. C'était pas très goûteux, j'dois t'avouer, mais bon, j'avais pas de monnaie pour la bouteille et en plus je me sentais seul alors tu sais, j'étais pas à une pipe près .

-Qu'est-ce que tu viens de dire ? »

Sa y est, il a enfin arrêter avec son regard rempli de pitié. Et je ne peux pas m'en empêcher, c'est plus fort que moi, je dois le mettre en colère. Parce que c'est la seul chose que j'ai jamais su faire ressortir de lui, l'agacement, la colère et la frustration.

« Quoi ? Pourquoi tu tires une tronche pareil ? Qu'est-ce que tu crois que je faisait avec Peter la dernière fois quand tu m'as laisser une après-midi avec lui ?

-Stiles... »

Sa voit résonne comme un grondement sourd, comme un avertissement. Mais moi je n'entends rien, je ne veux plus entendre.

« Au fait il me restais la phrase de Lydia à placer, tu sais, histoire de lui rendre hommage, vu comme son plan a fonctionné.

-Stiles, il articule, a.r.r.ê.t.e tout de suite. »

Si un regard pouvait tuer, je serais mort et enterré.
A la place je tend ma bouteille en direction de Derek et je gémis presque un :

« Fais moi l'amour. Sauvagement. Sur une table, sous une table, tous ce qui comporte une table je suis preneurs. »

Je finis en me léchant les lèvres de manière obscène.

Ensuite tous se déroule très vite, la seule chose que je sens, c'est la brûlure sur ma joue et le sang qui coule de ma bouche.
Si on m'avait dit qu'une gifle pouvait réellement vous faire voir les étoiles, j'aurais rit.
Là c'est la grande ours que j'ai vu, pas ces putains d'étoiles !

Le silence règne dans la pièce, plus personne n'ose dire un mot, et Derek n'a pas bouger d'un millimètre, il est comme figé sur place.

Je redresse lentement mon visage et je porte ma main à ma lèvre inférieure, récoltant un peu de sang rougeâtre.
Ça fait mal, et pourtant sa ne suffit pas à couvrir ce que je ressent au fond de moi.

La colère et la haine continue de couler dans mes veines comme un serpent vicieux asphyxiant sa proie.

Je souris doucement, l'air ironique :

« Mon dieu Derek, tu frappes comme une fille. »

Et quand je me redresse complètement, prêt à affronter son regard, je me sens mal. La culpabilité reviens au galop et je la sens me tordre le ventre.

Pourquoi est-ce qu'il me regarde avec ces yeux là ? Il n'a pas droit de faire ça, c'est pas juste ! Je ne peux pas.. Il n'a pas le droit de me regarder comme-ci .. Comme-ci quoi en fait ?

Je ne veux pas y penser, je veux oublier, alors je monte aussi vite que je peux dans ma chambre et je m'y enferme à clés, espérant les dissuader d'entrer. Je me cache, sous ma couette, comme un gamin de 6 ans qui bouderait après qu'il ait fait une bêtise.

J'ai mal et puis j'ai froid aussi.

Je les entends se disputer en bas, c'est à cause de moi, j'ai encore merdé. Et je ne fais que me plaindre, de moi moi et encore moi.

Je suis vraiment égoïste...

J'ai froid.

Voilà voilààà merci de laisser une petit review, sa fait toujours plaisir et à bientôt (d'ailleurs je ne sais toujours pas si je fais une ''bonne fin'' ou une ''mauvaise'' même si je pourrais argumenter sur 15 pages pour vous expliquer que de mon point de vue sa n'existe pas vraiment et qu- ok je me la ferme xD. Allez kiss ! Merci d'avoir lu !