Salut salut ! Je publie encore une fois une "petite" histoire sur la relation entre Zoro et Chopper ! Une amie me l'avait demandé il y a loooooooooongtemps, elle me fusillait du regard à chaque fois qu'elle me demandait comment j'avançais xD et je vous raconte pas quand je lui répondais que j'étais toujours au même point 8D enfin bref ! Comme j'étais un peu trop inspiré j'ai décidé de le couper en deux pour faciliter votre lecture ~ (vous avez vu ce que je fais pour vos beaux yeux~)
Sans plus attendre je vous laisse à votre lecture :3
Histoire effrayante sur un navire effrayant
Un navire était isolé au milieu de l'océan. Ca rappelait aux chapeaux de pailles l'histoire avec Brook et Thriller Bark. Sauf qu'il n'y avait pas d'île bateau aux alentours. Il faisait nuit et les pirates étaient sur le pont quand ils avaient remarqué ce navire abandonné. Luffy avait voulu l'explorer mais Nami l'avait intercepté dans son action pour en parler plus amplement. Pour le capitaine c'était déjà décidé, il fallait y aller. Zoro voulait voir s'il n'y avait pas des ennemis de taille à l'affronter. Il mourrait d'envie de manier ses lames. Il n'avait pas eu l'occasion d'essayer ses nouvelles techniques à l'île des hommes poissons.
Pour Ussop, c'était tout simplement hors de question. Beaucoup trop dangereux. Si ça se trouve, le navire était hanté. Des fantômes viendraient les posséder et ne les quitteraient plus jamais. C'était peut être ce qu'il était arrivé à l'équipage de ce bateau. Il avait été confronté à cette même situation ? Non. Pour le tireur d'élite, il était préférable de tracer leur route. Tout comme Chopper, il tremblait déjà de peur. Il s'était d'ailleurs réfugié dans les bras du bretteur. Bretteur qui le tenait avec le bras gauche, pendant qu'il soulevait un altère du droit. Les pirates décidèrent de tirer à la courte paille. Chacun tira à son tour et finalement, l'équipe qui allait explorer le navire était composé de Luffy -qui sautait déjà partout-, Robin -qui avait hâte de découvrir l'histoire de cet équipage-, puis Ussop et Chopper -qui s'étaient déjà cachés chacun de leurs côtés-.
- Ca tombe toujours sur moi ! Se plaignit Ussop.
- Aller ! Ca va être amusant, se réjouit le capitaine.
Chopper, bien décidé à ne pas bouger, s'accrochait désormais à une jambe de Zoro et pleura à chaudes larmes pendant qu'il continuait à soulever son altère. Finalement, les peureux n'avaient pas eu le choix et furent forcés par Luffy et Robin qui les avaient emmenés contre leur gré. Le renne ne quitta pas ses amis des yeux, il avait bien trop peur pour ça. Même si Ussop tremblait toujours, il avança avec les autres, plus assuré que le médecin de bord. Ils traversèrent rapidement le pont pour entrer dans ce qu'il semblait être la cabine du capitaine.
- Regardez ! Fit Luffy que le groupe avait perdu le temps d'une minute.
Il était arrivé avec un squelette qu'il tendait juste devant Ussop. Ce dernier hurla de peur bien entendu, et se mit à courir dans toute la pièce pour fuir son capitaine qui ne cessait de tourner autour de lui, gesticulant sa trouvaille dans tous les sens. Chopper s'était déjà réfugié sous une table et les regarder courir.
- Senchou-san où as-tu trouvé ça ?
- Là-bas, répondit le capitaine en désignant une porte à gauche.
- LÂCHE-MOI ! Hurla Ussop.
Luffy finit par s'arrêter et lança le squelette à travers la pièce qui tomba malencontreusement sur Chopper, qui pris de panique, essaya rapidement d'enlever le tas d'os. Il ne cessa de gigoter dans tous les sens et d'hurler pour finalement réussir à sortir de ce piège et rattraper ses amis.
- Et bien Chopper, qu'est-ce que tu faisais ? Sourit Luffy.
- Je me débarrassé du squelette que tu m'as jeté dessus !
- Shishishi désolé !
Ils reprirent leu exploration, aussi tranquillement que possible en s'enfonçant de plus en plus dans le navire. Luffy jouait sans cesse avec ses nouveaux trésors. Tandis que ses compagnons essayaient de trouver la cause de la mort de ces pauvres malheureux. Comme désormais les chapeaux de pailles se trouvaient dans la cuisine du bateau, ils avaient eu le droit à une flopée de cadavres, déjà à l'état de squelettes. Robin en profita pour fouiller les lieux.
Elle voulait savoir la cause du décès. C'était impossible que tout un équipage ait péri en un simple claquement de doigt. Surtout, qu'en regardant plus amplement, elle remarqua qu'il restait assez de vivres pour tout le monde. Et un autre équipage n'aurait pas pu faire ça. Il n'y avait pas assez de dégâts et le navire paraissait toujours en état de marche. C'était illogique. Elle essayait d'avoir un raisonnement censé mais rien ne venait. Tout ça lui rappelait une vieille légende, qui au fond, n'avait jamais pu exister.
Luffy avait à nouveau quittait le champ de vision des trois chapeaux de pailles. Alors que Chopper et Ussop s'en inquiétaient, l'archéologue continuait ses recherches. Elle était bien la seule à fouiller cette pièce. Les deux peureux de l'équipage étaient recroquevillés dans un coin. Elle alla voir le renne, qui s'était caché sous une table ayant le regard fixé sur un cadavre. Elle le prit dans ses bras et alla s'installer dans la pièce d'à côté qui était le dortoir du navire. Elle s'installa au bord d'un lit et mit Chopper à côté d'elle. Ussop avait prit place par terre, en face de ses amis.
- Robin… qu'est-ce qui leur est arrivé ? S'inquiéta le médecin de bord.
- Je ne sais pas trop. Mais ça me rappelle une vieille légende.
- Qu'est-ce que c'est ? Demanda Ussop, à la fois curieux et anxieux.
L'archéologue, confortablement installée, commença alors à raconter cette légende oubliée, dont personne ne voulait en connaître le dénouement. La lune l'éclairait parfaitement bien. Chaque
« Il s'agissait d'un ancien commandant de la Marine qui avait trahi l'amiral pour devenir pirate. Apparemment la Marine avait caché la mort d'un Dragon Céleste et de sa famille, dans des circonstances étranges. Il n'était pas un véritable pirate à écumer les mers à la recherche d'or. Il s'était déclaré pirate juste pour la forme. »
- Dans des circonstances étranges ? S'interrogea Ussop en claquant des dents.
« L'île entière avait été touchée, une île qui pourtant était prospère dans le temps, se retrouvait dans cet état lamentable. Ses hommes, bien qu'ils l'avaient suivi jusqu'ici, n'étaient pas prêt pour accoster sur cette terre. Plusieurs d'entre eux, une grande majorité, préféraient rester sur le navire. Seuls trois de l'équipage acceptèrent. Ils partirent alors en direction de la demeure des Dragons Célestes. Seulement sur le chemin, les pirates découvrirent des maisons détruites, dépouillées de leurs biens et aucun cadavre dans les parages.
Ce qui parut étrange au commandant qui avait eu vent du rapport établi sur cette affaire, et il se souvenait du nombre de victimes parfaitement. Il savait également que la Marine n'aurait pas risqué la vie de ses soldats en les envoyant sur cette île dont il ignorait absolument tout. Une maladie étrange qui avait dévasté tout un pays. Même les scientifiques n'étaient pas curieux à ce sujet, et ne voulait pas risquer leurs peaux pour quelques découvertes qui pourraient dépasser la logique. »
- T-tout un pays ? Demanda le renne.
- Oui. Il n'y a eu aucun survivant, fit Robin en restant impassible.
« Ils avancèrent prudemment, craignant d'être attaqués. Par qui ? Même eux l'ignorèrent. Et là, devant eux se dessinait le manoir des Dragons Céleste. Le capitaine ravala sa salive et finit par y pénétrer. Un de ses gars resta devant les portes pour monter la garde. L'idée de se séparer n'était même pas envisageable. Ils commencèrent par inspecter le rez-de-chaussée. Mais rien. Et pire encore. Tout était parfait. Chaque meuble était resté à sa place.
Ils avaient eu l'impression qu'ils avaient atterrit dans un autre monde. Tout leur semblait irréaliste. Ils allaient en perdre la tête. Ils se mirent alors à fouiller chaque recoin pour trouver la cause du décès, décès s'il avait eu lieu. A leur première impression, c'était comme si les Dragons Céleste étaient partis dès le début de l'épidémie. Mais s'agissait-il vraiment d'une épidémie ? C'était le diagnostic logique que la Marine avait eu. Et s'il était question de tout autre chose ?
Une épidémie n'aurait pas fait disparaitre tous les cadavres. Surtout si personne ne s'était aventuré sur les lieux. Qui prendrait le risque de voyager dans ses eaux ? Un Log Pose ne reconnaissait même plus les champs magnétiques de cette île. Pour la trouver, le capitaine avait dû prendre une carte marine, et faire le trajet à l'ancienne. L'Eternal Pose ne servait plus à rien. Heureusement qu'il avait eu à sa disposition ceux des autres îles qui entouraient celle-ci. »
- M-minute, minute ! Paniqua Pipo. C'était p-pas une é-pi-pi-pi-pi-dé-mie ?
- HEEEEE ?! M-même un Log Pose ne p-pouvait pas le trou-trouver ? S'affola Chopper.
« Les pirates continuèrent leur exploration et montèrent à l'étage. Cependant, au même moment, celui qui montait la garde entendit des bruits. Main sur son arme, il s'approcha à pas de loup vers ce mys- »
- NE REPRENDS PAS L'HISTOIRE COMME CA ! Hurla Ussop à pleins poumons.
- Désolé, rigola Robin. Mais je dirai rien, je termine mon histoire d'abord.
Toujours avec le sourire, l'archéologue regarda ses compagnons, qui finalement avec un regard échangé, décidèrent de ne plus l'interrompre.
« Il s'approcha à pas de loup vers ce mystérieux bruit. Le vent soufflait fort cette nuit-là, et les étoiles brillaient de leurs éclats. Le pirate ne s'était pas rendit compte qu'il s'était autant éloigné du manoir. Alors qu'il avait l'impression de faire seulement dix pas, le voilà de retour au village. Il devait rentrer. Maintenant. A toute allure, il se précipita vers le manoir. Puis, un autre son vint à ses oreilles. Une voix. Il regarda à droite, puis à gauche, et de nouveau à droite. Un cri retentit mais hélas, personne ne pouvait l'entendre. »
Et il n'en resta plus que trois
« Les autres pirates étaient à présent au premier étage. Il n'y en avait que deux. Le capitaine décida alors de rejoindre le deuxième et de laisser ses hommes gérer celui-là. Les deux autres se séparèrent également. En fin de compte, ils avaient préféré ne pas s'éterniser. Ce lieu leur foutait la chair de poule. Un de ses hommes se trouvait dans la chambre qui semblait appartenir à une jeune adolescente. Il y trouva des bijoux d'une valeur inestimable. Mais il ne devait pas craquer. Ce n'était pas la raison de leur venue. Seulement ils étaient si beaux. Et personne n'allait venir les récupérer après tout.
Ils étaient là, sur la coiffeuse, étincelant et hypnotisant. Il craqua. Il se dépêcha de les mettre dans ses poches et se mit à fouiller le reste de la pièce. Il y avait probablement d'autres richesses qui ne demandaient qu'à être volées. Puis un grincement. Au début il crut qu'il s'agissait de son ami. Il n'en fit rien et continua son exploration. Puis il comprit très vite qu'il ne s'agissait pas de son ami. C'était comme une aura qui vagabondait dans l'air. Il entendit le bruit du vent qui vint claquer les volets. Il cligna plusieurs fois des yeux, se répétant sans cesse qu'il s'agissait de son imagination. Mais quand il se retourna, il comprit que ce n'était pas un rêve, mais que c'était bel et bien la réalité. »
Et il n'en resta plus que deux
« Le troisième se trouvait dans le bureau du père de famille. Il y avait tout un tas de document sur son bureau. Il inspecta de plus près et constata qu'il s'agissait des recherches. Il avait enquêté sur ce qu'il se passait sur son île ! Mais son écriture devenait de plus illisible. Il y décrivit sa santé, aussi bien mentale que physique. D'après lui, les premiers symptômes étaient une perte partielle de la mémoire. Il écrivit qu'il devait à chaque fois relire ce qu'il avait marqué dans son journal pour pouvoir continuer son enquête. Le deuxième symptôme était une perte de l'appétit.
Le sujet commençait à devenir maigre, vomissant à chaque fois qu'il tentait de se nourrir. Et le troisième était l'analphabétisme. A partir de là, il n'avait plus réussi à écrire. Alors que le pirate cherchait d'autres indices, il trouva des articles de journaux qui empiraient selon les jours, détaillant le nombre d'infectés, la porte qu'il jurait avoir laissé ouverte se retrouvait fermé quand il leva la tête. Surpris, il décida de voir s'il ne s'agissait pas d'un de ses compagnons lui faisant une mauvaise blague. Il l'ouvrit mais rien. Quand il se retourna, un murmure parvint à ses oreilles, et la température de la pièce descendait rapidement. Quand il voulut sortir, il était déjà trop tard. »
Et il n'en resta plus qu'un
« Le capitaine se retrouvait dans la salle à coudre. Il y avait un tas de poupées qui décoraient la pièce. Des cadres ornaient les murs. Il s'y approcha et constata qu'il s'agissait de la famille des Dragons Céleste. Les parents, leur fille de seize ans et leur fils de sept ans. La mère était d'une élégance à en faire tomber plus d'un. Sa robe à dentelles était mauve, et si longue qu'on ne pouvait distinguer ses pieds. Mais il n'était pas là pour admirer des photographies. Il inspecta les lieux et y trouva le journal de la mère. Elle n'avait pas décris les symptômes de cette mystérieuse maladie comme son mari mais parlait plutôt d'une malédiction. Elle avait écris son arrivé avec son mari sur ces terres.
Comment ils avaient fait pour faire revivre l'île et comment ils avaient finalement eu envie d'y restait, plutôt que de vivre sur leur île natale. Mais leurs premières nuits avaient été dures. Elle entendait à chaque fois des cris provenant du sous-sol. Chaque jour, elle avait des cauchemars et les détaillaient dans son carnet. Et puis un jour plus rien. Tout ça avait disparu. Elle y raconta également qu'un beau matin, elle avait voulu tout abandonner. Elle voulait prendre leur fortune cachée et partir de cet endroit maudit mais son mari avait ignoré sa crise et en déduisit qu'il s'agissait d'une folie passagère. Mais les jours qui suivirent, cette mystérieuse maladie apparut. Ce n'était pas une coïncidence. Et il le savait très bien. Mais à présent ils ne pouvaient plus partir. Le capitaine lut la dernière ligne et regarda dans le coffre où il trouva l'or que la femme avait laissé.
Il fouilla pour y trouver un quelconque indice mais rien. Puis tout d'un coup, l'air devenait asphyxiant. Une voix le fit sortir de ses pensées. Il se retrouva nez-à-nez avec le spectre de l'épouse du Dragon Céleste. Il ne chercha pas à réfléchir et prit les jambes à son cou. Il courut dans les escaliers, criant le nom de ses compagnons mais aucune réponse. Il ne faiblit pas et sortit de ce manoir, la femme à ses trousses. Il trébucha dans l'escalier, le spectre en profita pour attraper sa cheville. Mais il ne se laissa pas faire, il dégaina son katana et attaqua le spectre avec. Certes, ça allait la traverser mais il ne pouvait rien faire d'autre. Et là. Surprise. Le katana s'enfonça dans sa chair. Elle lâcha l'emprise qu'elle avait sur lui et retira l'arme de son corps. Mais le capitaine en avait profité pour prendre la fuite et se trouvait à l'extérieur du manoir.
Il continua jusqu'à son navire. Elle ne l'avait pas suivie. Elle était bloquée dans sa propre demeure. Et c'est ainsi qu'ils reprirent leur route. Il ne voulait plus jamais en entendre parler, il voulait simplement rentrer chez lui. Hélas, sur le chemin du retour, au bout milieu de la nuit, la femme avait réapparu et tua chaque membre de l'équipage. Quand elle se retrouva en face du capitaine, qui tenait fermement son katana, elle s'approcha lentement de lui, posa sa main blanche et maigre sur sa joue puis dit… »
- Je vous ai retrouvés !
Chopper et Ussop hurlèrent de peur quand il vit une ombre sur le sol. Cette ombre portait une longue robe et ils n'avaient pas besoin de plus pour détaler comme des lapins pour trouver une cachette. Robin les regardèrent partir alors que l'ombre avança vers elle.
- Senchou-san qu'est-ce que tu fais dans cette tenue ?
En effet, Luffy avait retrouvé la robe de la fameuse morte et avait décidé de l'enfiler pour voir si ça lui allait bien. Il rigola quand il vit son amie le contempler avec un sourire aux lèvres.
- Y'a rien d'autre sur le navire j'ai fouillé partout. Mais j'ai trouvé ça je le garde ! Chopper, Ussop on s'en va ! Avertit le brun.
Toujours en robe, Luffy quitta le navire en compagnie de son archéologue. Brook et Nami leur demandèrent ce qu'ils s'étaient passés, et s'interrogèrent sur la tenue de leur idiot de capitaine. Robin fit un rapide résumé et avertit qu'ils avaient perdus Chopper et Ussop mais qu'ils les avaient prévenus de leur départ. Tous reprirent leur activité habituelle. Sur le bateau hanté, Pipo, décidé de ne pas finir ses jours ici, prit son courage entre ses mains et quitta le navire lentement. Il marcha sur ses pointes, se méfiant de chaque bruit. Il entendit comme quelque chose qui venait de tomber par terre. Il hurla et finit par courir pour retourner sur le Sunny. Il avait sauté sur Robin dès qu'il l'avait vu, pleura à chaudes larmes.
- POURQUOI VOUS M'AVEZ TOUS LAISSER DERRIERE ?
- Tu avais l'air de t'amuser, sourit Robin.
- Jgethethethe nkiykyggeede m'amgetghetuhhtsturtgrahetdsit pkuiyhghas ! (Je ne m'amusais pas !)
Pendant que le tireur d'élite se remettait de ses émotions, Sanji avait préparé le dîner et pouvait à présent le servir. Les chapeaux de pailles se rendirent à la cuisine, dont un qui avait l'eau à la bouche. Quand Zoro arriva, parce que, oui il avait fait la sieste et n'avait pas entendu ce saleté de sourcil en vrille l'appelait pour le repas. Mais heureusement, Luffy n'avait pas encore tout mangé.
- Où est Chopper ? Demanda le vert.
- Il doit être dans l'infirmerie. Il est bien rentré avec vous ? Enchaîna Ussop en regardant Luffy et Robin.
- Non il a couru avec toi dès que vous m'avez vu. Répondit le capitaine.
- C'ETAIT TOI ?!
Et le repas tourna vite en catastrophe quand Pipo sauta sur Luffy pour l'étrangler. Il avait fait voler plusieurs assiettes qui avaient atterrit par terre, déclencha la colère de Sanji, qui s'ajouta à la bagarre. L'épéiste sortit de la pièce avant de se montre des dégâts collatéraux. La rousse le suivit.
- Où tu vas ?
- Le chercher.
