Voilà ma nouvelle fanfiction je prévoie...environ 40 chapitres pour la 1ére partie et aux alentours de 20 pour l'acte final.

C'est le 1er chapitre je tiens préciser que j'ai changé certaines choses, comme par exemple si les shinigamis ont habituellement une espérance de vie d'environ 2300 ans au grand maximum je l'ai ultra augmenté à 25 000 ans mais pas de panique je préciserai les changements physiques.

ATTENTION SPOIIIIIILLLL dans cette histoire !

Rating : K+ T pas de lemon

Action : BENNNN OUI Bleach sans action c'est pas Bleach

Romance : oui j'aurai beaucoup d'Oc mais j'en aurai 2 principaux Fille et Garçon Oc et Oc.


_Commençons_

La Soûl Society a essuyé de nombreux ennemis, Les Quincies, les Bounts, les Arrancars, Aizen, Les zanpakutos, Shusuke Amagaï, L'enfer, Sojirô Kusaka, Les fullbringers, et encore Les Quincies pour enfin arriver à de la tranquillité, tranquillité qui durera 180 ans environ

Le Seiretei était dévasté, les bâtiments brûlaient, des nuages de fumés se mêlaient au ciel, une odeur nauséabonde se mêlait à l'air ambiant. A quelques endroits, on pouvait voir les restes de flaques de sang séché mal nettoyé. C'était le champ d'une bataille finit depuis peu. Au milieu de tout cet enfer Jushiro Ukitake contemplait avec tristesse les ruines encore fumantes d'une partie de sa division. Il sentit soudainement une présence familière se glisser à ses côtés.

- Shunsui.

- Jushiro ! Content de voir que t'est pas mort !

- De même.

N'ayant rien à se dire ils restèrent silencieux devant ce spectacle de désolation. Le capitaine de la huitième ne payait pas mine, la récente bataille l'avait aussi beaucoup affaibli. Les yeux cachés par son chapeau conique, Kyoraku soupira longuement.

- Je n'aurais jamais cru les revoir un jour. A vrai dire je les croyais mort.

- Oui comme la plupart.

-Pff... Allons... ça a l'air de bouger là-bas, on devrait y aller sinon le vieux va nous taper sur les doigts.

-Mmf, en effet.

PLUS LOIN

Debout, entourés des capitaines et vice capitaines plus ou moins en état, deux hommes se faisaient face, d'un côté se tenait l'homme considéré comme l'un des plus puissant du monde des esprits Genriyusaï Shigekuni Yamamoto qui toisait son opposant avec une étrange lueur à la fois féroce et nostalgique.

De l'autre côté, un autre homme lui faisait face. Grand, brun, peut-être un peu moins de la trentaine selon les années humaines, il était vêtu d'une simple chemise bleu marine au manches retroussées jusqu'aux coudes et d'un simple pantalon noir. Il portait également une paire de gants noir avec un étrange symbole brodé dessus, il tenait dans sa main droite un grand katana et dans son dos un nodachi était solidement gainé.

Son physique était plutôt ordinaire, des cheveux coiffés vers l'arrière indémêlable et indiscipliné, cheveux d'un brun cendré, si foncé que dans la nuit l'on les dirait plutôt noir, sa plus grande particularité était de loin ses yeux, cet homme avait des yeux effrayant, des yeux rouge, rouge comme le sang.

À première vue cet homme paraissait assez simple si ce n'est qu'il dégageait une aura impressionnante. Etrangement, il ne semblait pas être une particulièrement tendu face à l'homme le plus puissant de la Soul Society

Finalement ce fut le vieil homme qui prit la parole en premier.

-Cela fait longtemps, Altaïr. Oô... Mon fils.

Un malaise parcourut les rangs des shinigamis. Ils connaissaient les rumeurs, mais justement selon elles le fils du commandant général est mort il y a des millénaires dans de mystérieuses conditions. Et quand bien même il ne devrait pas avoir l'air si jeune.

Le jeune homme balaya tous ces chuchotements d'un mouvement de bras et dit :

-Oui longtemps. Honnêtement je n'aurais jamais cru vous revoir dans de circonstances si déplorables. En fait je ne prévoyais pas du tout de vous revoir ni maintenant ni jamais. ... En y réfléchissant. C'est fou, nous nous sommes « séparés » dans des circonstances presque similaires. Si ce n'est que c'était moins démolit.

Yamamoto ignora royalement la pique.

- Pourquoi est-tu là.

- Nous sommes également ravis de te voir. répondit-t-il avec sarcasme

- Nous ? Demanda le vieux capitaine indécis.

Une voix féminine et claire retenti :

- Et oui je suis là moi aussi...

Une jeune femme qui en apparence devait avoir vingt-cinq / trente ans tout comme le jeune homme brun en face de lui apparu en shumpo. Vêtu d'une chemise blanche et d'un pantalon semblable à ceux des shinigamis, ses minces mais solides épaules étaient recouvertes d'un grand et lourd manteau gris, elle avait de longs cheveux blonds paille au reflet auburn et des yeux gris foncé qui donnaient une impression de dégradé gris clair.

Le capitaine général souffla de façon presque inaudible un nom.

- Aëzel ...

Quelque part dans le cœur du capitaine général quelque chose se serra... Aujourd'hui le destin avait était cruel avec lui, son fils et celle qui considérait comme sa fille, des êtres qui autre fois l'avait soutenu, ceux qu'il avait tant cherché se tenaient devant lui et ne ressentait ni bonheur ni joie de le retrouver et bien que il ne l'avouerai jamais à voix haute. Ils avaient effectivement de bonne raison de ne pas l'aimer.

Mais le commandant général avait appris à ignorer ces futiles sentiments, le bien du roi passe avant tout le reste, même avant la famille. Il avait d'ores et déjà écrasé toute sorte de sentiments comme le regret.

- Ça fait longtemps, vieil homme.

- Je répète. Pourquoi êtes-vous là ?

Avec un calme Olympien Altaïr répondit.

- Nous sommes venus éviter au jeune suppléant, une mort atroce et douloureuse.

Encore ce gosse...

- Il n'est plus suppléant. Vous n'auriez pas dût, il a choisi une vie de Shinigami, alors il aurait dût mourir comme tel .

- Tch..Toujours aussi dédaigneux envers ce qui ne suit pas tes règles ?

Le général ne répondit rien mais ces yeux habituellement fermés s'ouvrirent soudainement.

- Vous n'avez rien à faire ici. PARTEZ !

- Laisse nous t'expliquer.

Les deux jeunes se toisèrent un moment comme s'ils parlaient entre eux puis d'un regard entendu ils disparurent pour ré apparaître devant le vieux capitaine, à deux mètres de distance.

Sasakibe et les capitaines réagirent en un clin d'œil. Kuchiki, Komamoura et Soi Fon apparut et formèrent une sorte de mur devant l'ancien. Alors qu'ils allaient dégainer leurs sabres pour le protéger, le capitaine Général les arrêta d'un signe de main.

Aëzel eut l'air indignée elle s'avança et dit :

-Voyons, Chòjiro qu'a-tu cru ? Que nous allions attaquer ? Et...puis... ... ... Il t'a bien endoctriné...

- Toujours aussi calme. Altaïr prit la parole.

- Tu as libéré les monstres de leurs chaines. Tu nous as tous condamnés. A quoi pensais-tu ?!

- Pour vaincre un monstre j'en ai utilisé d'autres.

- Pour vaincre UN monstre, tu en as libéré TROIS, bien pire. Et que tu ne contrôle pas.

- Je n'ai rien à apprendre de lâches qui ont fui leurs responsabilités.

- Pauvre fou, les massacres d'il y a 6000 et 4000 ans ne t'ont pas suffi. Tu n'apprends dont jamais ! Si tu t'obstines tout ce que tu a connu et que tu connais sera détruit !

Et vous ! Il se retourna vers les gradés qui les écoutaient, interdit. Vous aussi, bougez-vous avant qu'il ne soit trop tard ! Tout ceci, il pointa le paysage désolé, aurait dû pouvoir être évité par votre bon sens !

-ATTENDS !

Altaïr et Aëzel se retournèrent, ils avaient déjà reconnu leur interlocuteur grâce à sa voix.

- Que ce passe-t-il Kempachi Yachiru ? Ou... devrions nous t'appeler Retsu Unohana maintenant.

- Aëzel ! Altaïr ! Que s'est-il passé ? POURQUOI êtes-vous partit !

Altaïr fronça les sourcils. Il avait l'air indécis et légèrement en colère. Aëzel, la blonde répondit à Unohana.

- Navrée Yachiru... tu as perdu ton principal adversaire, lorsque je suis partie. Mais il me semble que tu as trouvé ton digne successeur. Elle lança un discret regard de biais vers Kempachi Zaraki.

Altaïr prit la parole.

- Quand a la raison de notre départ, je trouve totalement affligeant que mon père ne vous ait rien expliqué.

- ... Quoi ? Tu racontes n'importe quoi Altaïr ! Je vais te faire redescendre sur terre ! Elle saisit son Zanpakuto, Minazuki et d'élança vers le duo.

Mais avant qu'elle ne puisse faire quoi que ce soit qui nuise à Altaïr ou Aëzel, elle dut soudainement repousser de sa lame un inconnu, puis d'un deuxième. Très vite elle se retrouva dans une position bien fâcheuse. Trois hommes trois hommes avaient surgit d'on ne sait où et l'arrêtèrent, deux hommes la menaçaient de face avec des Nagitana et une femme menaçait ses arrières avec un katana. La femme s'exprima alors.

- En venir aux mains ne va rien résoudre capitaine, vous devriez le savoir.

Chez les shinigamis la pression monta subitement avec l'apparition de ces inconnus. Unohana en colère s'exprima.

-Qui êtes-vous !

- Nos identités ne vous apporteront rien Durant cette guerre. Néanmoins nous pourrions être alliés si nos chefs respectifs le souhaitent.

Le capitaine général reprit la parole.

- Vos chef... Combien de choses vous cachez encore vous deux ?

Aëzel la blonde répondit.

- Qui sait...Néanmoins ma subordonnée à raison. Une alliance peut encore être sauvée.

- Alliés ? Avec vous ? Deux inconnus et une poignés de « subordonnés » ? Quel genre d'alliance vous voulez ?

Aëzel continua:

- Une alliance pour survivre. C'est simple non ? Ou est-ce un principe qui t'est inconnu. Oô grand capitaine général.

La tension entre les deux camps augmentait au fur et à mesure que le temps passait si bien qu'elle en devenait palpable.

Après être sûr que personne ne viendrait s'approcher trop près de leurs chefs les trois inconnus ayant menacé Unohana retournèrent derrière Aëzel et Altaïr. Altaïr, l'homme aux yeux rouge prit alors une décision.

- Nous partons. Le suppléant est en sécurité, et visiblement nous ne parviendrons pas à un accord à l'amiable. Mais sache vieil homme que la proposition d'alliance tient toujours.

- Nous n'aurons pas besoin de votre aide.

Aëzel répliqua.

- He bien... Qui vivra verra.

Et tour à tour les inconnus disparurent.

Un silence de mort régnait dans la Soul Society. Mais tout le monde avait compris quelque chose c'est que la venait bel et bien de commencer et que il y avait de forte chance pour que quel qu'en soit l'issue. Ce soit la dernière guerre.

Quelque part caché, un homme était assis sur un large fauteuil, l'on ne voyait que ses lèvres qui souriaient diaboliquement, le reste de son visage était ouvert par de l'ombre mais l'on pouvait voir ses habits, blanc uni, pur, un pantalon de toile et une chemise de toile, sa main gauche soutenait sa tête qu'il n'avait pas l'intention de tenir droite et sa main droite venait de placer une pièce sur l'échiquier...La Reine.

L'homme siégeait dans une immense salle dallée de marbre blanc veiné de noir, des pas retentissait sur la pierre blanche et dure, une jeune femme avançait vers celui qui semblait être le maître du jeux, arrivé auprès de cet impressionnant personnage elle posa un genou à terre, baissa la tête et dit :

Ils ont commencé à bouger mon seigneur. Tous se passe comme vous l'aviez prévu.

Un sourire sombre vint se coller sur le visage de cet homme. D'un geste il balaya l'échiquier puis il clama :

《QUE LE JEU COMMENCE ! 》

La Guerre commence. Préparez-vous elle arrive mais avant laissez-moi vous raconter l'origine de tout ceci car sinon vous ne comprendrez rien. Prochain chapitre : 4200 ans plus tôt


L'histoire démarre véritablement à partir de là et avancera jusqu'à la situation ci-dessus.

Oui je sais la fin fait terriblement cliché.

Alors je suis SUUUREEE que vous êtes largués. Alors expliquons sous forme de points. Attention je vais spoiler.

- Dans cette histoire La soul Society Réussi à vaincre Ywacht.

- Unohana n'est pas morte

-Zaraki n'est toujours pas TOTALEMENT Kempachi.

Voilà mon petit aide pour comprendre !