"Cet os est écrit pour un jeu du FoF, il fallait le rédiger sur le thème "poussière" en une heure. Pour plus de précisions vous pouvez m'envoyer un mp."


Poussières…

Il est 9 heures. Le soleil se couche. Mais barricadés dans la cabane, Liam, Maddy et Sal ne le voient pas. Enfin pas encore. Bob, l'unité de soutient, souleva le lourd rideau de fer, et ils observèrent avec fracas les gravillons et rochers recouvrant les ruines de New-York. Cette vague temporel avait beaucoup affaibli Sal, qui restait allongée dans son divan. Maddy questionna immédiatement bob-l'ordinateur sur la frise chronologique. Rien de suspect, à part un canon à ion datant de la préhistoire. Le truc habituel quoi. Bob et Liam se précipitèrent dans les bassins déjà amorcés. 10 secondes. Le temps parait une éternité. Les murs tremblent. 9 secondes, des nuages de poussières se soulèvent dans un fracas retentissant. L'air est irrespirable. 5 secondes. Des hommes en tenue de nanotubes déboulent dans le « garage ».3 secondes. Ils ne peuvent plus faire demi-tour. Un tremblement, et Liam et Bob se retrouvent dans un désert de poussière.

Le soleil est chaud, et mais les nuages de cendres mêlées à la poussière l'étouffe. De grandes tours d'aciers s'effondrent dans un bruit inimaginable. C'est le chaos. Mais au milieu de ce tumulte infernal, un homme, un seul se tient debout. Dans un tenue flamboyante, il se tient le dos droit, avec un sourire satisfait accroché au bout de ses lèvres. Et il crie pour se faire entendre :

« Voyez-vous ? L'Humanité était condamnée depuis le début ! Je ne l'ai fait qu'avancée ! »

« Mais pourquoi ? rétorqua-t-il, déjà rougissant à la seule pensée de Maddy, Il y a toujours une chance de la sauvée! »

« Je leur ai donné le savoir. Regarde ce qu'ils en ont fait. De la poussière. L'Homme est un brute sans cœur. »

Alors dans un dernier soupir, ils entrèrent dans le portail du retour.

Dans le garage c'est le bazar. Les hommes, avant de disparaitre (merci bob-l'ordinateur et le cercle de béton…) ont procédé à une perquisition. C'est le seul jour ou l'entrepôt est le mieux rangé songea Sal. Alors, dans une vibration de l'air, Liam réapparu. Il était fatigué. Tous ces voyages… Mais il souhaitait en faire un dernier. Il le programma pour la préhistoire. J'y vais, et dans un ultime adieu, il disparut.

Le paysage, la poussière, les ruines et les cendres laissèrent place à une jungle, puis un océan, et pour finir à de grandes tours, NEW-YORK. Il avait réussi, mais à quel prix. Son corps tout tremblant, il réapparu et déclara :

« Moi, m'appelant maintenant Foster, veux un héritier. » dit Liam.

Et dans un dernier soubresaut, il s'effondra.