Auteur : Carina
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Titre : Des anges parmi les hommes
Origine : Gundam Wing
Disclaimer : Les G-boys ne sont pas à moi, je l'avoue. Mais que voulez-vous, je les aime trop pour les laisser tranquilles.
Genre : Romance, surnaturel
Couple : Pour le moment, aucun
Remarques #1 : les marquent la séparation de l'histoire d'avec mes notes. Les ------ indique un changement de place ou de personnage. Les -blablabla signifient que ce sont des conversations. Si j'ai oublié quelque chose, dites-moi le. Bonne lecture !
Quel ennui, ce travail. C'est toujours la même chose. Que répétitions, rien de plus. Mais c'est le seul emploi que j'ai réussi à obtenir depuis que mon père a fait faillite. Vraiment, travailler dans un casse-croûte n'a rien de fascinant. Heureusement, quand il n'y a pas de clients et que j'ai du papier et un crayon, je peux m'adonner à mon loisir favori : écrire. J'adore écrire. De la poésie, des contes, n'importe quoi. Mais je préfère tout de même écrire des contes. Hier, ma patronne m'a surpris à écrire et elle m'a engueulé comme une bonne 1.
- Monsieur Winner ! Où vous croyez-vous donc ? Vos écrits n'ont pas leur place ici ! Retournez immédiatement à l'ouvrage !
- Mais madame…
- Il n'y a pas de mais !
- Bien madame.
Malheureusement pour moi, mes doigts me criaient de les poser sur un crayon et l'appel des doigts fut plus fort que celui de ma conscience. Je me remis donc à écrire.
- Quatre Raberba Winner !
Oups, je me suis fait coincer.
- Vous êtes encore en train d'écrire ! Je ne vous paie pas pour ça !
- Excusez-moi madame mais j'ai tout nettoyé et rempli. De plus, il n'y a pas un seul client. Je me suis dit que je pourrais écrire au lieu de me tourner les pouces.
- Il y a toujours quelques chose à faire ! Monsieur Winner, j'en ai assez. Vous êtes renvoyé.
- Quoi ?!? Mais…mais…
- Pas de mais. Voilà votre paye. Et ne revenez plus ici.
Voilà, j'ai perdu mon boulot. Qu'est-ce que je vais faire maintenant ? Je n'ai pas vraiment d'autres choix que je m'en trouver un autre. Arrivé à mon appartement minable, j'aperçu une notice sur ma porte.
- Expuls ?
- Oui, vous n'avez pas payé les 3 mois précédent. Je ne veux pas de quelqu'un qui ne me donne pas mon argent.
- Laissez-moi une chance !
- Prenez vos affaires et allez vous-en.
Ouin, finalement, c'était vraiment une journée de merde 2. Je n'aurais jamais dû me lever ce matin. Je pris mon cartable de feuilles, mon étui à crayons, quelques vêtements, mon argent et m'en allai. Sapristi de journée de merde !!! 3
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J'ai faim ! Je n'ai pas encore mangé aujourd'hui. Wufei m'a dit que je devais ramener au moins un portefeuilles si je voulais manger. Messant avec moi le boss. soupir Oh ! Que vois-je devant moi ? La cible idéale. Un garçon d'environ mon âge, les cheveux blonds, le teint clair, les yeux pâles, un visage incarnant l'innocence même, qui semble être désemparé. Parfait ! Il va être trop occupé avec ses problèmes pour watcher 4 son argent. Bein quoi ? C'est mon travail. Il avance justement dans ma direction. À bien y regarder, il ressemble vraiment à un petit ange désespéré. Il fait presque pitié à voir. Mais dans la rue, il ne faut pas se laisser attendrir ou sinon, on vous plonge un poignard dans le dos. C'est mon Hee-chan qui me l'a appris. Ok, il ne sait pas encore qu'il est à moi mais anyway, il le saura bientôt. Je m'approchai de ma future victime. Mais pour pouvoir mieux me saisir de son portefeuille, je devais être derrière lui. Je m'enfonçai donc dans une ruelle et en ressortit derrière le petit blondinet. Trowa l'aurait bien aimé. C'est son style de mec je crois. Oui, vous avez bien entendu, Trowa aime les mecs. Mais ce n'est pas vraiment le moment de penser à ça. Il ne me restait que quelques centimètres à franchir quand :
- Prends-le si tu veux ; moi, je n'en ai plus besoin.
Je restai sur le cul. Comment avait-il fait pour savoir que j'étais là et en plus, que j'allais voler son argent ? Je m'arrêtai bêtement au milieu de la rue. Ma victime continuait d'avancer de quelques mètres, s'arrêta et se retourna vers moi. De magnifiques turquoises me fixaient. Moi qui pensait que j'avais des yeux uniques, me voilà en compétition. Améthyste contre turquoise. Le jeune homme soupira et dit :
- Alors, il faut que je te le donne dans les mains maintenant ?
Il s'approcha de moi. Mon instinct me disait de m'enfuir, au cas où ce serait un piège mais une autre partie de moi, mon ventre, me disait de rester pour recevoir l'argent. Mon ventre avait toujours été le plus fort sur ma conscience. Le garçon s'arrêta juste devant moi et fouilla dans sa poche arrière. Il en sortit un petit portefeuille.
- Tiens, ça va moins te compliquer la vie comme ça, me dit-il en le déposant dans mes mains.
- Bein, merci man mais, au juste, pourquoi est-ce que tu me le donnes ? T'as l'air aussi fauché que moi. T'en as besoin de cet argent !
- Non, plus maintenant. Je n'en aurai plus besoin dans quelques temps.
Dans quelques temps……J'avais déjà entendu ça quelque part. C'est Solo, mon ancien amoureux, qui m'avait dit ça avant de se suicider. Donc, ce petit ange avait envie de mettre fin à ses jours ?
- Bon bein, j'y vais. J'espère que cet argent pourra t'être utile un peu plus que pour moi.
- Attends ! Si tu veux vraiment en finir, viens avec moi d'abord. J'aimerais te présenter quelqu'un. On ne devrait pas gaspiller quelqu'un avec ton physique. Alors, je t'explique. Mon copain est dire…ok, je vais être direct. Il est frustré sexuellement. Alors, si tu pourrais avant de mourir, le soulager, ce serait bien.
- Tu veux que j'aille me donner à quelqu'un que je ne connais pas juste parce qu'il a besoin de cul ?
- Bein…oui. Tu dis que tu t'en vas, alors, ça ne devrait pas déranger ce que tu fais en dernier avec ton corps, non ?
- ……Tu as sans doute raison. Conduis-moi à lui alors.
- Très bien. C'est quoi au juste ton p'tit nom ?
- Appelle-moi Quatre.
- Quatre ? Bizarre comme nom. Moi, c'est Duo. Duo Maxwell. I may run, I may hide but I never tell a lie.
- Qu'est-ce que ça veut dire?
- Je peux courir, je peux me cacher mais je ne dis jamais de mensonges. Tel est ma devise.
- Ah bon.
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Nous arrivâmes dans le repaire. Wufei y était et Trowa devais être dans sa chambre. Les autres devaient être parti chercher de quoi manger.
- Eh! Les mecs! Je vous ai ramené quelqu'un!
- Pas une autre bouche à nourrir j'espère!
- Nah, il restera pas longtemps. En tout cas, je pense. Viens Troman, j'ai à te parler. Wuffi? Tu peux t'en occuper?
- C'est WUFEI! Et je ne suis pas une garderie!
- Je savais que tu allais accepter! Merci beaucoup mon Wuffinet que j'adore!
- MAXWELL!!!
Je montai dans la chambre de Trowa. Lui et moi, on a des choses à discuter.
- Eh! Troman!
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Oh non! Quelles manigances Duo a-t-il encore imaginées? Je suis sûr qu'il veut encore me caser. Mais le dernier qu'il m'a présenté n'a pas tenu plus de 2 jours. J'espère que ce n'est pas ce qu'il veut me dire. Je l'imagine déjà d'avance. Troman! Je t'ai trouvé quelqu'un de charmant. Celui-là est le bon! Tu vas l'adorer! Puis, il va me montrer un homme qui semble viril mais dès que l'on devra affronter un ennemi quel qu'il soit, il va s'enfuir en pleurant comme un gamin pour qu'on lui épargne la vie. Pitié, pas encore. J'en ai assez!
- Troman! Je crois que je t'ai trouvé quelqu'un. Tu vas l'adorer. Il……
- Non Duo, j'en ai assez! Je n'en veux plus. Mêle-toi de ta vie sentimentale et laisse la mienne tranquille.
- Mais, t'en as même pas!
- Justement, je n'en veux pas!
- Attends au moins de le voir! Celui là est……
- Le bon, je le sais, tu n'arrêtes pas de dire ça.
- Non, celui là est différent.
- Aller, avec toi, même pas la peine de discuter.
Tout heureux de son coup, Duo m'entraîna à sa suite. Dans l'entrée, attendant sagement que quelqu'un lui dise de s'asseoir, se tenait un adolescent de notre âge avec des cheveux blonds tout ébouriffés.
- Eh Quatre! C'est de lui que je te parlais!
Le gamin leva son regard vers moi. Des lagons! De magnifiques lagons tristes. Il semblait tellement désemparé. En me voyant arriver, le rouge lui monta aux joues. Duo avait raison, il était différent des autres. Il semblait gêné, peu sûr de lui, pas à sa place. Il osait à peine faire un mouvement de peur de se faire réprimer tandis que les autres hommes que Duo lui avait présentés étaient tous des montagnes de muscles prêts à l'impressionner. Le petit bout d'homme qui se tenait debout près de la porte semblait quant à lui vouloir faire ses preuves. «Je vais bien m'amuser» pensa Trowa. Il avait clairement dit à Duo qu'il ne voulait voir personne d'autre mais l'américain entêté ne semblait pas avoir compris. Ce serait à ce petit ange de payer. Que venait-il de penser? Lui, un ange? Nah, il déraillait.
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Je n'osais pas bouger. Duo était parti au deuxième étage et il était revenu quelques minutes plus tard avec un autre garçon, sûrement celui qu'il voulait me présenter. L'adolescent avec les cheveux bruns et courts mais une grande mèche lui cachait la moitié du visage. Il était plus grand que lui et Duo et avait des yeux pâles. Je ne saurais dire de quelle couleur ils étaient exactement à cause de la trop grande distance qui nous séparait. Mais il avait un physique avantageux, ça, je pouvais le dire avec certitude. Qu'est-ce que je raconte? Moi, aimer les hommes? Si ce n'est pas le cas, qu'est-ce que je fais ici? Le brun s'approcha de moi et me regarda sur tous les angles. Quand il passa derrière moi, il me donna une petite claque sur les fesses. Pas assez pour me faire mal mais tout juste pour me faire avancer de quelques pas vers l'avant pour m'éloigner de lui.
- Duo…
- Vi Trowanounet ?
- T'es vraiment con.
- De kessé?
- Regarde le! Où as-tu été le pécher? Il est gêné, nerveux et il n'a rien d'un homme.
- Bah, je me disais que comme les autres qui ressemblaient à la description contraire n'ont pas toffés longtemps, je devais t'en emmener un qui était différent. De plus, il dit qu'il n'a plus rien à perdre et il a voulu me rendre service avant d'aller rejoindre Solo.
- Je vois.
- Et bien, qu'attends-vous? Allez vous amuser les enfants!
- Maxwell, je ne parlerais pas d'enfant si j'étais toi.
- Eh! Arrête d'être messant avec moa, mon tit bébé dragon d'amour adoré!
- ARGH! Maxwell! Tu vas payer pour cette humiliation!
C'est avec stupeur que je vis le chinois qui venait d'arriver courir à la poursuite du Duo avec une grande épée chinoise. Une épée traditionnelle je crois. Je ne sais pas si ça a un autre nom mais en tout cas. Je restai seul dans la pièce avec Trowa. Il ne m'aimait pas, ça se voyait. On aurait dit qu'il me prenait pour une espèce nuisible. Que voulez-vous? Ma malchance me poursuit partout.
- Tu viens où il faut que je t'emmène moi-même?
Je n'avais pas vu qu'il avait commencé à gravir les escaliers qui menaient sûrement à sa chambre.
- Oui, j'arrive.
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Il a une belle voix. Non, ne pas se laisser attendrir. Il veut coucher avec moi? Et bien, je vais m'assurer qu'il n'oubliera pas de sitôt avec qui il a couché. Nous sommes arrivé dans ma chambre. Il la regarde intensément, sûrement pour savoir quel genre de gars je suis. Je le laisse faire et vais m'étendre sur le lit, à plat ventre, tout en fermant mes yeux sans me préoccuper plus de lui. Soudain, je sentis des mains se mettre à masser mes nerfs tendus. Que ça faisait du bien! Ces mains dénouaient habillement chacun de mes muscles. Elles balayaient tous mes soucis. C'était comme si elles étaient magiques. Balivernes! Mais s'il continuait comme ça, j'allais finir par m'endormir 6. Il finit tout de même par s'arrêter quand je commençais tout juste à m'endormir. Je me retournai vers lui, surpris. Pourquoi s'était-il arrêté? Je le regardai et vis le doute dans ses yeux. Il ne savait pas s'il devait continuer, ça se voyait.
- Qu'est-ce qu'il y a maintenant?
- Je…je ne sais plus…je…Trowa, c'est la première fois que je vais le faire.
- La première fois? Et tu voulais t'enlever la vie!
- Je n'ai jamais dit ça!
- Mais c'est ce que tu voulais, n'est-ce pas?
- ………oui
Je me levai et m'approchai de lui. Il gardait les yeux baissés et n'osait pas redresser la tête. Arrivé près de lui, je lui pris doucement le menton et le forçai à me regarder. Il leva ses magnifiques turquoises vers moi et attendit.
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J'avais peur. Oui, je l'avoue. Tout ce qui m'arrivait m'était venu à l'esprit et je me rendais compte que je m'avançais sur un terrain inconnu. Je m'étais donné sans même me soucier de ce qui allait arriver par la suite. De plus, une autre question me tracassait : puisque c'était la première fois que j'allais le faire et que j'étais donc sans expérience, est-ce que ça allait lui déplaire et qu'ensuite, il ne veuille plus me voir? Qu'est-ce que je raconte là moi? Il n'y aura pas d'après. Je le satisfais, peut-être pas amplement mais un peu au moins et ensuite, je disparais. Mais au fond de moi, j'espérais que ce ne serait pas la première et la dernière fois que je le verrais. Je dois me l'avouer, il me plait beaucoup. Il a un sal caractère mais il me plait.
Plongé dans mes pensées, je ne le vis pas s'approcher de moi. Je reviens à la réalité quand il prit mon menton et qu'il l'emmena à sa hauteur. Je n'osais pas le regarder. Il était tellement pur dans le fond. Je ne voulais pas le souiller. On aurait presque dit un ange. Mais il n'en est pas un. Je le sais, j'ai déjà vu des anges. Mais ça remonte à quelques temps maintenant. Ils me manquent. Cependant, le moment était mal choisi pour devenir nostalgique. Puis, à ma grande surprise, ses lèvres vinrent s'appuyer doucement sur les miennes. J'aurais cru que notre premier baiser aurait été rude et rapide puisqu'il voudrait en finir le plus vite possible mais non, il m'embrassait doucement, avec lenteur pour que ce moment ne s'envole trop rapidement. Sa langue tenta de s'introduire entre mes lèvres. Comme je ne savais pas vraiment comment m'y prendre, j'entrouvris la bouche et le laisser faire. Sa langue s'approcha de la mienne et se mit à danser autour d'elle. C'était une sorte de ballet comme on voyait à la télévision ou dans les livres. Ce que c'était agréable. Cela ne m'étonne plus quand le monde passe leur temps à s'embrasser.
Puis, son bras entoura mon dos tandis que la main qui me tenait le menton s'approcha de ma nuque et se mit à se promener dans mes cheveux mal coiffés. D'un mouvement oh combien sensuel, il m'attira vers lui. Pas une fois nous nous arrêtâmes pour reprendre notre souffle. Nous nous contentions du souffle de l'autre. Moi, personnellement, je n'en avais pas vraiment besoin mais lui oui. Mais il ne s'arrêta pas. Je ne voulais pas rester inactif alors, je mis à mon tour mes bras derrière son cou. Nous étions si près l'un de l'autre. Je sentais toutes les parcelles de sont corps contre le mien. Un instant! Qu'était-ce cette bosse contre ma jambe? Je mis fin au baiser et baissai les yeux. Puis, distinguant la cause de ma curiosité, je ne pus m'empêcher de rougir. Il du voir ma gêne car il me regardait avec une petite lueur moqueuse au fond de ses yeux.
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Ce qu'il était mignon avec cette petite rougeur aux joues. Oui, je l'avoue, il est mignon. Duo connaît bien mes goûts quoique j'ai toujours eu un faible pour les blonds. Peu importe, le petit blondinet me faisait de l'effet et c'était assez visible. Alors, qu'attendions-nous? Je le tournai dos au lit et le poussa doucement vers l'arrière pour qu'il tombe dessus. Première phase réussie. Il va s'attendre à ce que je sois doux avec mais ça, ce n'est que le début. Moi? Tendre? Ne me faites pas rire! Il resta quelques instants surpris et ensuite, il s'allongea sans retenu sur le lit, totalement à ma merci. J'adore être le dominant. Ce sentiment de puissance m'excitait encore plus. Quatre, quand à lui, semblait tout indiqué pour être sous ma domination. Je le rejoignis et m'allongeais sur lui. Doucement, je commençais à lui mordiller dans le cou. Mes dents furent remplacées par mes lèvres, ensuite par ma langue. Je sentis un frisson de plaisir lui traverser le corps. Je souris tout en continuant de lui lécher chaque parcelle de peau de son cou. Puis, je me mis à descendre vers son torse en mordillant ci et là des morceaux de chair et en embrassant son corps enflammé.
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Tant de sensations m'envahissaient. Mon corps devenait brûlant et demandait plus aux lèvres qui le torturaient. Je voulais partager ce sentiment avec Trowa. Je me mis donc à caresser son dos, ses cheveux, en fin compte, tout ce que mes doigts atteignaient. Tiens, monsieur est sensible sur la nuque. Il avait arrêté son parcours et frissonnait. Le plaisir sûrement. D'un bon coup de bassin, je me retrouvai sur lui. Je me savais faible et timide mais je découvrais une nouvelle facette de moi-même. Dans un lit, j'étais plus sûr de moi et je ne me laisserais pas contrôler sans rien faire. Il voulait être sur le dessus? Il n'a qu'à gagner sa place.
1 Une expression de chez moi qui veut dire qu'elle chiale beaucoup, qu'elle fait tout une crise.
2 Il devient vulgaire le tit Quatre.
3 Ok, de pire en pire.
4 Watcher, un mot moitié français, moitié anglais. Ça veut dire surveiller. On utilise souvent ce mot là chez moi.
5 Merde, moi qui voulait couper là, je viens de me rendre compte que ça ne fait que 3 pages. soupir Je vais devoir continuer.
6 Les rimes ne sont pas faites exprêt. Et en passant, est-ce que quelqu'un a remarqué que je suis rendue à ma 6ème page ? Félicitez-moi ! C'est la plus longue fic que j'ai écrite !
Je coupe ici. Je sais, je suis méchante. Mais il était quand même temps, je suis rendue à 8 pages !!! Mon plus grand exploit ! Bon bein, je vous laisse et on se revoit bientôt si je reçois quelques reviews, pleaseuh !!!!
