« Je ne me rappelle plus qui m'a offert ce journal, peut-être ce couple qui venait me visiter de temps en temps, ou peut-être que je l'ai depuis que je suis arrivé ici. Peu importe la manière dont il est entré en ma possession, il est a moi, et cela, cela seulement n'a d'importance a mes yeux.

J'ai besoin de me libérer du poids de tous ces secrets, j'ai besoin d'écrire ce qui se passe dans cette maison de fou, les horreurs qui y sont commise quotidiennement et ce, depuis trop longtemps.

L'autre jour j'ai lu cet article dans un quotidien de Londres. « L'orphelinat St Odrick, établissement des plus respectables, recueille une grande parti des orphelins de Londres, louer pour son personnel plus que compétant, et sa clientèle raffinée. » Un établissement respectable...

Laisser moi rire ! La façade de cette immense immeuble qu'est l'orphelinat St Odrick est bien la seule chose qu'elle possède de respectable. C'est a ce demander si ces fichus journalistes ont jamais posé ne serais-ce que le bout de leur pied a l'intérieur de cet endroit maudit !

Personnel compétant ? Le directeur, M. Garrison, semble choisir ces employés en fonction de leurs vices et non de leurs compétences. Du concierge au pasteur, tous semble prendre un malin plaisir à tourmenter les pensionnaires, des plus jeunes aux plus âgés.

Nous devons nous soumettre, les punitions sont parfois cent fois pires que le traitement lui-même. La majorité d'entre nous n'ose en aucun cas défier l'autorité, mais ceux qui s'y sont risqués, ne s'en sont pas remis facilement. Les rebelles sont vite matés à St Odrick.

Mais de toute manière, si jamais l'idée de dénoncer les traitements que nous subissons, venait à l'esprit de l'un d'entre nous, qui croirait un orphelin ? On dirait simplement que c'est un acte de rébellion, que ce sont les fausses accusations d'un esprit dérangés par le manque d'affection du a son statut d'orphelin.

Je n'arrive plus a porter le poids de toutes les atrocités que j'ai vu depuis que j'ai été transféré dans cet établissement, au début, j'ai cru que c'était mon imagination, mais les regards terrorisé des autres pensionnaires ne mentent pas, j'ai du ouvrir les yeux, non je n'imaginait pas tout ces cris et sanglots déchirants.

Je me présente a toi journal, Tom Jedusor, nous somme le 2 juillet 1943, et je viens d'avoir 11 ans. »

Tout d'abord avant de publier quoi que ce soit, j'aimerait savoir si le concept vous intéresse, je préviens que la suite est troublante, voir carrément dérangeante. Ce que je voudrait savoir si cette fic suscite l'intérêt ou si elle va sombrer dans l'oubli comme mes autres écrits et si ce n'est pas du déjà vu. Alors, sur ce je vous laisse le champs libre, donner moi votre opinion, ça compte beaucoup pour moi.

Bien a vous,

Marine & sa fidèle conscience Sarcastique