Titre : La potion de Jouvence
Auteur : Yummy-Nani ( It's me ! Yeah, I'm bilangue )
Époque : Époque des Maraudeurs ( Ils sont en 6° Années )
Personnage : Sirius Black, Remus Lupin, Peter Pettigrew, James Potter, Severus Snape.
Disclamer : Harry Potter et son univers appartient à JK Rowling, je ne fais que jouer avec ( Niark Niark ). Seul quelques OC sortent de ma tête.
Rating : K+, c'est léger, il n'y aura pas de cadavres ( Pour une fois ^^' )
Note d'Auteur : Hello ! Voici le prologue de ma fanfiction original ( Hein, quoi ? ) sur Sev et les Maraudeuuuuurs ^_^# Comme je suis quelqu'un de ( pas du tout ) bilingue, je comprends absolument tout de Fanfiction, du coup ma fic sera absolument parfaite * par en sifflotant*
Bonne lecture ! Et oubliez pas les reviews, c'est ma drogue !
Prologue
Enfant : 1. Être humain dans l'âge de l'enfance.
2. Personne qui a conservé dans l'âge adulte des sentiments, des traits propres à l'enfance.
« Cette forêt est vieille. Très vieille. Pleine de souvenirs... et de colère. Les arbres se parlent entre eux : ils ont des sentiments, mon ami. Et cela grâce aux Elfes. Ils ont réveillé les arbres et leurs ont pris à parler. » - La Communauté de l'anneau
Aillant eut vent de l'histoire, il avait juré, craché, méprisé ses persécuteurs de tout les maux de la Terre, de tout les malheurs que l'on peut supporter, promettant Merlin, Morgane, et tout ceux qu'il ne connaissait même pas qu'il sera là, responsable, et de loin, de la descente en Enfers des Maraudeurs ; et puis, quelques jours d'intense colère et de rancune tenace, il s'était dit qu'il était préférable de trouver un remède pour ne pas subir la potion.
L'un dans l'autre, sa paranoïa s'était aggravé. Il ne se passait pas un jour sans qu'il ne dégaine sa baguette ; souvent de manière injustifié qu'une respiration derrière lui dans un couloir désert ou des bruits de pas précipité tard dans la nuit. Stresse ou nervosité, peut être bien les deux qu'importe, il avait commencé à dormir avec sa baguette au creux de son poing, a vérifier la nourriture qu'il avalait, les substances qu'il effleurait. Il gardait toujours les Maraudeurs dans son visuel, et si, par un tour mal avisé il les lâchait du regard, alors il était évident qu'il était à l'exacte opposé d'eux dans le château. Il ne se ferait pas prendre pour cette fois.
Il avait confectionné sa fiole à remède dans une pièce abandonné des cachots : tapis dans l'ombre, à l'abri des indésirables, inaperçu aux yeux de tous. Il en avait bavé pour la faire, cette potion de sauvegarde laborieuse et longue ; une horrible attente qui ne faisait que accentuer son irritation, sa nervosité qui inquiétait légèrement McGonagall alors qu'elle ne lui avait jamais apporté la moindre attention jusqu'alors.
Il ne savait pas exactement à quel moment les Maraudeurs y sont parvenus. Ils avaient bien compris que Severus avait appris l'imminente connerie qu'ils allaient faire où ils ne l'auraient pas laissé languir aussi longtemps. Un mois pour finalement l'attaquer lorsqu'il ne s'y attendait plus. Il pouvait concéder, au demeurant, avoir baissé sa garde lorsqu'il a avalé son remède ( ses potions fonctionnaient toujours ! ) et que le temps qui s'était déroulé inexorablement n'a pas aider. Il aurait dû le savoir. C'était logique, en y pensant bien.
Pendant toute la journée il a senti un fourmillement désagréable le long de sa colonne vertébrale. Une sorte de chatouillement constant et horripilant d'une telle envergure qu'il a un instant songé à Pomfresh - puis, aussitôt, s'est ravisé. Il avait croisé le regard moqueur de Black ; c'est à ce moment qu'il n'a pus douter de l'innocence de son symptôme. Il a avisé le sourire en coin de Potter - et, n'aillant pas causé à Lily, était totalement injustifié. Comme il n'avait pas remarqué le moment où il en avait reçu, il s'est senti traqué et sali, l'horrible sensation d'être mis à nu devant les Maraudeurs. Humilié.
Et alors, il fut pris d'une intense fatigue. Il ne tenait presque plus sur ses pieds. Il tanguait, chancelant à chaques pas. Ça le prit d'un seul coup, dans la matinée du même jour, comme vidé de toute énergie en quelques secondes. De façon anormal ; pas mystérieuse. Les Maraudeurs, forcément. Un effet secondaire de la substance ?
La fatigue s'accrut le midi, de telle façon qu'il ne songea pas à vérifier ce qu'il avala. Il atteignit son paroxysme en Métamorphose, en commun avec les Serdaigles. Il s'est sentit partir, et il n'y avait plus qu'un long tunnel de lumière devant lui. Se fut les dernières choses à laquelle il vit.
Quant il se réveilla à l'infirmerie, il y avait des éclats de voix.
Eeeeeeeeeet je décerne le prix du prologue le plus court à Yummy-Nani ! Vraiment, vous avez fait fort, ce prologue donne vraiment envie de lire la suite bravo. * le journaliste tousse dans sa manche et part avant que de dire plus de connerie *
