Le sacrifice de Patmol
Disclaimer : Je ne possède aucun des personnages et tout le reste. Tout ça c'est sorti de la tête de J.K. Rowling.
Note : Les temps de verbes ne seront peut-être pas bons, mais j'ai de la misère avec ce petit détail. (Oui, même si le français est ma langue première!)
C'était une belle journée d'automne et non une journée sombre comme on imagine toutes les journées d'enterrement. Le Soleil brillait dans le ciel bleu et le temps n'était pas trop frais.
Harry maudit le beau temps tandis qu'Hermione lui parlait sur un ton réconfortant. Il ne l'entendait pas, car il était trop occupé à se demander pourquoi LUI il était vivant. Pourquoi LUI il avait toujours la possibilité d'apprécier de si belles journées. Ça aurait dû être lui qui soit tuer, pas Sirius.
Harry c'était retrouvé une fois de plus face à face avec Voldemort, mais cette fois il n'avait pas sa baguette magique. Sirius avait tenté d'attirer l'attention du sorcier sur lui, mais ce dernier c'était contenté d'ordonner à ses Mangemorts de s'en occuper.
Ils avaient fait ce que leur maître avait ordonné et Sirius gisait sur le sol, inconscient. Les Mangemorts avaient retourné leur attention sur Harry et Voldemort, qui était dos à Sirius. Queudver, qui se tenait proche de lui, regardait anxieusement la scène et tenait l'épée que son que son maître avait utilisé pour tuer un Auror, dont le corps gisait un peu plus loin.
Comme Voldemort avait commencé à prononcer une incantation, Sirius s'était levé, avait pris l'épée des mains de son ancien ami et avait frappé de toutes ses forces. Voldemort, qui s'était retourné, fut frappé dans au visage. Il hurla de rage et pointa sa baguette sur l'autre sorcier. Quedver recula devant la fureur de son maître.
« Adavra Kedavra!!! »
Harry avait fermé les yeux dès qu'il avait entendu ces mots. Quand ils les avaient rouverts, Voldemort se tenait devant lui. Il paraissait un peu désorienter (juste un peu) et une coupure barrait son horrible visage. Elle partait d'en haut de son œil droit et finissait sous son gauche, passant entre ses deux yeux.
« On se reverra, Harry Potter. » avait-il-dit avant de transplaner.
Le garçon avait tourné son regard vers l'endroit ou s'était tenu son parrain et vit son corps étendu sur le sol et immobile. L'épée qui venait de blesser Voldemort au point de sûrement laisser un cicatrice était à son côté.
Harry fut tiré de ses pensées par Remus qui posa une main sur son épaule. Il regarda l'homme et lui sourit faiblement pour lui faire comprendre qu'il irait bien. Toutefois, il aurait à vivre en se rappelant que Sirius avait donné sa vie pour la sienne. Chaque nuit, pour encore longtemps, la vue de son corps sans vie hanterait ses rêves, mais celle du même homme frappant Voldemort l'accompagnerait.
Harry était encore triste, mais une pensée heureuse lui vint. Son parrain, Sirius Black, avait blessé Lord Voldemort au point de lui laisser un cicatrice. Une marque qui montrerais à tous les sorciers qu'il pouvait être blessé, donc tué. Sirius n'avait pas seulement sauvé son neveu, mais il avais aussi donné un nouvel espoir au monde.
Disclaimer : Je ne possède aucun des personnages et tout le reste. Tout ça c'est sorti de la tête de J.K. Rowling.
Note : Les temps de verbes ne seront peut-être pas bons, mais j'ai de la misère avec ce petit détail. (Oui, même si le français est ma langue première!)
C'était une belle journée d'automne et non une journée sombre comme on imagine toutes les journées d'enterrement. Le Soleil brillait dans le ciel bleu et le temps n'était pas trop frais.
Harry maudit le beau temps tandis qu'Hermione lui parlait sur un ton réconfortant. Il ne l'entendait pas, car il était trop occupé à se demander pourquoi LUI il était vivant. Pourquoi LUI il avait toujours la possibilité d'apprécier de si belles journées. Ça aurait dû être lui qui soit tuer, pas Sirius.
Harry c'était retrouvé une fois de plus face à face avec Voldemort, mais cette fois il n'avait pas sa baguette magique. Sirius avait tenté d'attirer l'attention du sorcier sur lui, mais ce dernier c'était contenté d'ordonner à ses Mangemorts de s'en occuper.
Ils avaient fait ce que leur maître avait ordonné et Sirius gisait sur le sol, inconscient. Les Mangemorts avaient retourné leur attention sur Harry et Voldemort, qui était dos à Sirius. Queudver, qui se tenait proche de lui, regardait anxieusement la scène et tenait l'épée que son que son maître avait utilisé pour tuer un Auror, dont le corps gisait un peu plus loin.
Comme Voldemort avait commencé à prononcer une incantation, Sirius s'était levé, avait pris l'épée des mains de son ancien ami et avait frappé de toutes ses forces. Voldemort, qui s'était retourné, fut frappé dans au visage. Il hurla de rage et pointa sa baguette sur l'autre sorcier. Quedver recula devant la fureur de son maître.
« Adavra Kedavra!!! »
Harry avait fermé les yeux dès qu'il avait entendu ces mots. Quand ils les avaient rouverts, Voldemort se tenait devant lui. Il paraissait un peu désorienter (juste un peu) et une coupure barrait son horrible visage. Elle partait d'en haut de son œil droit et finissait sous son gauche, passant entre ses deux yeux.
« On se reverra, Harry Potter. » avait-il-dit avant de transplaner.
Le garçon avait tourné son regard vers l'endroit ou s'était tenu son parrain et vit son corps étendu sur le sol et immobile. L'épée qui venait de blesser Voldemort au point de sûrement laisser un cicatrice était à son côté.
Harry fut tiré de ses pensées par Remus qui posa une main sur son épaule. Il regarda l'homme et lui sourit faiblement pour lui faire comprendre qu'il irait bien. Toutefois, il aurait à vivre en se rappelant que Sirius avait donné sa vie pour la sienne. Chaque nuit, pour encore longtemps, la vue de son corps sans vie hanterait ses rêves, mais celle du même homme frappant Voldemort l'accompagnerait.
Harry était encore triste, mais une pensée heureuse lui vint. Son parrain, Sirius Black, avait blessé Lord Voldemort au point de lui laisser un cicatrice. Une marque qui montrerais à tous les sorciers qu'il pouvait être blessé, donc tué. Sirius n'avait pas seulement sauvé son neveu, mais il avais aussi donné un nouvel espoir au monde.
