Disclamer : Rien n'est à moi, je vous assure.
Résumer : Et si tous les dieux n'étaient pas amoureux de Yui? Si celle-ci voulait aider deux dieux pas très débrouillards à ouvrir les yeux? Si tous les autres dieux, trop heureux d'avoir des adversaires en moins, si mettaient aussi?
Pairing : Loki/Takeru
Cette histoire m'est venue parce que j'ai remarqué un truc: il n'y a QU'UNE SEULE fic Kamigami no Asobi en français dans la romance. Donc, en voici une autre, tout droit sortit de mon esprit tordu. Ayez pitié des pauvres dieux tombés entre mes mains!
Les opposés s'attirent
chapitre 1: déroutantes sensations
Loki regardait son meilleur ami, Balder, courir après la seule humaine de l'école. Il ne comprenait vraiment pas cette réaction. Certes, Yui était gentille, il était facile de lui faire des blague, mais pourquoi le dieu de la lumière semblait-il tellement empressé de l'avoir à ces côtés?
Décidant d'aller faire une blague à quelqu'un pour se changer les idées, le dieu du feu parti en exploration dans l'école. Bientôt, il trouva ce qu'il voulait. Un dieu s'était endormi sous un arbre, et ce n'était pas Thor. Riant d'avance, le dieu facétieux s'approcha doucement et découvrit Totsuka Takeru, le dieu de la mer japonais.
Il regarda un moment celui-ci dormir, le trouvant étrangement adorable, et finit par s'assoir à côté de lui pour le contempler tout à son aise. Au bout d'un moment, il décida de voir si ces lèvres étaient aussi douces qu'il n'y paressait, et quel meilleur moyen pour se faire que de les embrasser? Il se pencha doucement, mais à quelques centimètres de son but, le japonais bougea dans son sommeil, ramenant le blagueur sur terre. Trop confus, celui-ci en oublia de faire sa blague et s'en fut chercher une oreille attentive.
Pressé, il ne remarqua pas que l'objet de son attention s'était réveillé depuis longtemps. Celui-ci avait décidé de faire semblant de dormir pour savoir ce que le dieu nordique allait faire. Takeru avait été surpris de l'entendre s'assoir simplement à côté de lui. Puis il l'avait sentit se rapprocher, ne comprenant pas pourquoi, jusqu'à sentir son souffle sur ses lèvres. Il avait alors frémit d'anticipation, mais le dieu du feu avait semblé prendre cela comme un signe d'inconfort. Le dieu japonais écouta les pas de son voisin s'éloigner, puis se redressa, confus. Que venait-il de se passer exactement?
Il décida de remettre ses questions à plus tard. Son frère, Tsukito, l'attendait sûrement quelque part. A part l'humaine, personne ne faisait vraiment attention à lui. C'est pourquoi il appréciait cette fille, entre autre. Ça et le fait qu'elle ait prit sa défense.
Alors qu'il cherchait le dieu de la lune, Takeru entendit une conversation, d'où son nom s'échappa. Il regarda autour de lui et constata que seuls Loki et Yui étaient aux alentours. C'étaient donc eux qui parlaient de lui. Il s'approcha sur la pointe des pieds pour pouvoir entendre exactement ce qu'ils disaient.
-Mais tu vois chaton, j'avais pas envie de l'embêter, juste de l'embrasser. Je suis bizzare, hein? Enfin, c'est peut-être de la jalousie, supposa le dieu.
-Jalousie?
-Mais oui! Toi, tout le monde te veut, je suis sûr que Takeru aussi. Alors pour t'embêter, j'ai voulu te piquer un de tes admirateurs!
-Je ne crois pas que ça soit ça, répondit la jeune japonaise. Et puis tu sais, je ne pense pas que Takeru fasse partit de mes admirateurs, comme tu dis.
-Tu crois? Et puis, qu'est-ce que t'y connais, toi, d'abord, hein?
Sur cette phrase vraissemblablement pleine de colère, le dieu nordique partit à grand pas alors que la pauvre jeune fille tendait la main, sans doute dans le but de le rappeler. Takeru, lui, réfléchissait à ce qu'il avait entendu. L'embrasser? Etrangement, cette idée ne lui déplaisait pas du tout. Il se demanda ce qu'il n'allait pas chez lui tout en continuant son chemin, tombant sur le dieu qui semblait être partout ce soir-là, Loki. Celui-ci ne l'avait pas remarqué et s'apprêtait visiblement à prendre un bain dans une mare, car il était nu. Le dieu des océans se surprit soudain à avoir très chaud. Déglutissant, il décida qu'il avait juste de la fièvre et fit demi-tour, refusant d'écouter la petite voix qui lui criait de sauter sur le nordique.
C'est court, non? J'y peux rien, c'est juste pour débuter l'histoire, les prochains seront plus longs, promis!
La review est le carburant de l'auteur, faîtes le plein pour moi, s'il vous plaît!
Merci d'avance, bye bye!
