Prologue.

Je me réveille sur un sol froid, presque glacial, dur et humide.

Je me redresse d'un coup et regarde autour de moi mais ne vois rien, juste du noir et un petit point lumineux au-dessus de moi, je me lève et le tâte du bout de mes doigts c'est une ouverture vers l'extérieur...un fin rayon de lumière dans ce noir infini.

Je force sur mon bras encore valide et donne un coup de poing dans ce plafond de noirceur, la lumière et mon espoir s'élargissent alors que je continue de frapper avec acharnement les contours de ce léger trou, qui devient bientôt une fente dans laquelle je peux passer mon bras. A ce moment-là j'aurais dû me dire que c'était trop beau, que ça me semblait trop irréel, mais tout espoir parait irréel dans des cas tel que ceux-là...