Titre : La première de nous deux qui…
Auteur : ylg/malurette
Base : Love my Life
Couple : Eri x Ichiko
Genre : coquin
Gradation : R / M
Légalité : propriété de Yamaji Ebine, je ne cherche ni à tirer profit ni à manquer de respect.
Thème : « gageure » d'après 31 jours
Prompt : Femslash Day
Nombre de mots : 300
oOo
« Faisons un pari, suggère Eri : celle qui perd aura un gage.
- Mais perdre quoi ?
- La course au plaisir.
- Le plaisir c'est pas une course ! » proteste Ichiko.
Pour elle le sexe se doit bien d'être un jeu, amusant, agréable et excitant, mais elles ne devraient pas se mettre la pression pour l'accomplir, au point qu'il devienne une corvée. Mais comme justement, avec Eri, elle adore toutes les variations qu'elles peuvent inventer, elle accepte les règles et l'enjeu.
« Et donc ?
- La première qui jouit devra un baiser à l'autre… pour l'aider à finir.
- Bien sûr ! »
Elles s'étendent côte à côte, chacune une main nichée entre les cuisses de l'autre ;
« Je ne vais pas m'empêcher de jouir, ni de t'embrasser, » prévient Ichiko en commençant ses caresses et ondulant des hanches pour accueillir celles d'Eri.
Tout viendra à son rythme pour l'une comme pour l'autre. Le contrôle de soi ne leur servira qu'à renforcer le plaisir quand il arrivera, pas à faire un concours ridicule. Pourquoi essayer de se retenir, quand elle fait l'amour à sa chérie si sexy ? Ça semble mission impossible. Impensable. Et inutile.
D'autant que dans cet étrange défi personne n'y perd après tout : le baiser promis à la fin ça se fait à eux.
Mais bon, maintenant que l'idée est lancée, autant essayer juste pour voir ce que ça change, ou pas ? Si ça se trouve, d'avoir attendu multipliera vraiment le plaisir…
Et ensuite, après une courte période réfractaire, elles pourront toujours recommencer une seconde manche ! La plus rapide la première fois le sera peut-être moins la seconde, qui sait ?
Mais pour leur prochain pari, suggère Ichiko, elles pourraient plutôt décider de se donner des orgasmes multiples et les compter. Si elles arrivent encore à compter alors…
