Titre: Plus rien que le vent...
Disclaming: rien ne m'appartient, malheureusement, mais le jour arriveras où vous écrirez des fanfics avec mes propre personnages, bande de sales petits morve- /*SBAF*/
Pairing: ... SebastienxCiel, mais vraiment, c'est même pas du shonen-ai cette merd- /*SBAF*/
Rating: K V.V
Note: Attention! Cette fic contient quelque chose de terrible! d'horrible! de monstreux! (genre Tonka qui sort de la douche, pour les connaisseurs!) oui, vous avez compris: SPOILER!
(episode 24 de l'anime plus précisement, c'est à dire the end of the black butler (ou plutôt de Shieru-kun (Ciel, je saiiis) vu que c'est là qu'il doit, normalement m- (si vous n'avez pas vus et que vous ne voulez pas savoir, allez voire mes autres fics =D)
Une mer devant la porte de l'univers des humains.
Un île dans le couloir entre les mondes.
Des ruines, représentants le chaos des Hommes, un chateau branlant qui ne tarderas pas à s'écrouler.
-Est-ce que ça feras mal?
Tu penches la tête de côté, l'air quelques peu désolé. Mais je sais que tu es impatient. Je t'ais déjà trop fait attendre.
-Oui, un peu. Mais j'essayerais d'être aussi doux que possible.
Je lève la tête, te regarde dans les yeux.
-Non. Fait moi mal, autant que tu peux. Grave la douleur de ma vie dans mon âme.
Grave la trace de ton existence au plus profond de mon esprit, jusqu'à que même quand je ne serais plus qu'un rien éternel, je puisse me souvenir de toi...
Tu parais surpris, mais tu souris quand même. Comme toujours.
-Yes, my lord.
Tu enlève ton gant du bout des dents, t'approche de moi lentement. Tes doigts nus caresses doucement ma joue, enlève le tissus noir devenu inutil. Je ferme briévement les yeux, savour ce contact pour la dernière fois.
Il tombe à terre dans un bruit sourd.
Je te regarde de nouveau. Tes yeux brillants me fixes, regardent tout au fond de moi-même. Mais tu es ailleurs... Loin, si loin de moi...
Tu approche ton visage, tes lèvres effleurent les miennes dans un geste qui à l'air si naturel. Pourtant, c'est comme une cassure à l'intérieur de mon être. J'ai mal, si mal que je voudrais crier. Mais je ne peut pas. Tes lèvre m'en empèchent. Tes lèvre perfident qui me tuent de l'intérieur.
Ta langue qui caresse délicieusement mon âme. Ton souffle qui m'aspire tout entier. J'essaye de la retenir, instinctivement.
Mais je n'y arrive pas. Je n'y arrive pas. Je la sens sortir de ma potrine, cette âme salie qui griffe mon coeur sur son passage. Qui emporte mon sang et celui de ceux dont j'ai provoqué la mort. Elle ramene avec elle mes souvenirs, ceux qui ne m'appartiennet déjà plus. Elle emporte mes sentiments à la lumière de tout, au ténèbres du démon que tu es. Que tu es devenu par je ne sais quel moyen.
Et dans mon âme, avec tes yeux meurtrier, tu peint ton image. Je te regarde, la douleur à disparu. J'ai l'impression de regarder cette scène depuis les cieux. Et il ne reste dans mon existence que cette douceur où ton visage, ton soi-disant visage resort avec splendeur. Et je te regarde, je te regarde m'avaler tout entier. Des larmes coulent sur un visage qui autrefois a été mien. Je pleure, de douleur, de joie. Je ne sais pas.
Je ne fait plus qu'un avec toi. L'ange avait raison, rien n'est mieux que de ne faire plus qu'un avec celui que l'on aime. L'amour. Idioties.
Mon âme est en toi. Je dois être mort, n'est ce pas?
Et pourtant... et pourtant je te vois de nouveau devant moi, debout sur les même dalles que tout à l'heure. Tu souris, te lèche les lèvres.
Et ces images disparaissent dès qu'elles entres en moi. Aucun souvenir. Pas de mémoire. Je ne suis plus rien. Plus rien. Mon corps tombe sur le banc de marbre.
Et tu part, laissant ma coquille vide derrière toi, sans un seul regard. Tu disparais à jamais.
Je ne sais même pas qui tu es vraiment... Sebastian.
(the end, même si je sais que cette version est fausse, héhé)
