Des personnages sont tirés de mon imagination, d'autre pas, une fanfic quoi!
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Chapitre 1 : Une mise en bouche

Une journée presque normale.

Ennuyante, longue avec l'unique espoir de la sonnerie de libération.

Enfin, une journée normal pour quelqu'un d'anormal.

Max faisait partie de ces 7% de la population qui avait des pouvoirs paranormaux. Les mutants.

C'était un cours d'histoire géographie. La prof aurait pus être sympas si elle n'avait pas une trouille bleue des mutants. Cela se sentait car dès que quelque chose d'anormal se passait, elle poussait des cris de souris terrifiée.

Max rigolait intérieurement et se gardait bien de révéler sa vrai nature. Seul ses parents et sa famille proche le savaient.

Ses parents étaient divorcés depuis cinq ans et sa mère habitait le Massachusetts avec son grand frère et sa petite sœur. Elle avait dus déménager chez son père un an auparavant, lorsque accidentellement dans son ancienne école, elle avait montré son pouvoir. Elle ne le maîtrisait pas bien à cette époque, la moindre émotion pouvait déclencher ce mécanisme. Des longues griffes sortaient de ses doigts, ainsi que ses canines grandissaient.

Au début, le changement qui avait opéré était infime. Elle voyait loin, entendait mieux,… Puis petit à petit, elle voyait dans le noir, pouvait suivre quelqu'un avec son odeur.

Elle se transformait en bête sauvage…

Un jour, un professeur très cynique commença à critiquer ses origines germaniques. Cela avait commencé par quelques remarques sur la pureté variétale, les bons à rien, (Bons Aryens) et cela c'était transformé en attaque cinglante et systématique au cours de l'heure.

-« Mais c'est pas possible, ce peuple ne peut pas se passer du tatouage. Il avait attraper la bras de max ou elle s'amuser à dessiner des étoiles, et il l'avait montrer à toute la classe. Schneider, il manque plus qu'à vous raser les cheveux ! ».
Personne n'avait réagit dans la classe.

Pour soutenir ses propos, il fit semblant de prendre des ciseaux et de lui couper une mèche.

Mu par un instinct sauvage, Max c'était retourner, les griffes en dehors et lui avait griffer la jambe.
L'incident n'eu pas de répercutions car elle n'avait réussi qu'à déchirer le pantalon, bien que la volonté de lui couper la jambe y été. Le prof n'avait pas porté plainte et il y eu une discussion entre quatre yeux. Il s'excusa pour ses paroles, elle s'excusa pour la déchirure. Mais l'irréparable avait été commis. Tout le lycée était au courant que c'était une mutante et par conséquent, les élèves eurent peur d'elle.

C'est ainsi qu'elle partis pour l'Oregon.

Grande contré sauvage, peu habité mais magnifique avec ses grandes forêts de séquoia et ses plages désertes. Son père habitait dans une maison en bois perdu au milieu de la forêt de sapin. A trente minutes de voiture, on atteignait l'océan, et dans le sens opposé, à environs une heure, elle atteignait son nouveau lycée.

Max se plaisait dans ce décor sauvage, il lui correspondait.

Elle avait ce côté fille de la forêt avec des cheveux blonds tout le temps ébouriffés et des yeux noisette qui lui donner un côté terre à terre.

Ce jour là, donc, était le plus normal du monde, quand au milieu du cours d'histoire, un militaire entra. Il avait une liste de personne qui devait le suivre. Etonné, voir même choqué, la prof voulu connaître le motif de cet appel. Le militaire répondit par un mot magique : Secret défense.

Quelques jeunes, au courant de l'actualité savaient qu'il s'agissait d'une espèce de traque pour les mutants.

Max fut la seule à être appelé. Elle aurait imaginé qu'ils étaient un ou deux mutants de plus dans sa classe, mais elle était seule. Les chuchotements allaient bon train quand elle atteignit la porte pour sortir. Le militaire noir l'amena jusque dans une salle de cours déserte. Un gradé attendait dans cette salle, avec trois hommes.

Putain, c'est quoi ce comité d'accueil ?...

« Maximilia Schneider ? » demanda le gradé. Il était d'une stature imposante. Pas très grand, mais costaud.

Oui.

Je suis le colonel Carter. Il fit une pause.

Et alors ?

Max, nous savons que tu est une mutante, et que tes pouvoirs son dangereux.

Vous faites erreurs, j'ai le contrôle total de mes dons. Elle tenta de garder un air calme et de contrôler sa respiration, « Mes intentions sont moins dangereuse qu'un mec qui se balade avec un couteau dans la poche ».

Toujours sur la défensive, elle remarqua :

Et comment vous pouvez le savoir ? Sa m'étonnerais que vous aillez des preuves !

Détrompe toi, dit le colonel avec un sourire mauvais. Il balança un dossier sur la table de classe ou était assise Max. Un gros tampon rouge ''Mutant'' se tenait à côté du nom de Max. Elle ouvrit le dossier et parcourus la première page des yeux.

Un rapport détaillé sur sa vie, son type de pouvoir basé sur des témoignage, et même une photo de très mauvaise qualité d'elle transformé.

Elle compris que c'était un espèce d'enfoiré anti-mutant.

Vous m'espionnez ? son ton était blasé, celui d'une adolescente difficile, mais elle réfléchissait à toute vitesse.

Sors toi de là, et vite…

Max, il faut qu'on te protège, de toi et des autres, tu vas nous suivre.

Elle n'entendit pas la fin, elle c'était levé brusquement, avait couru entre les tables jusqu'au fond de la classe, et passa la tête la première par la fenêtre.

Elle atterrit dans une roulade dans l'herbe. La salle était au rez de chausser, tant mieux pour elle.

Elle se mit à courir vers l'arrêt de bus. La chance lui souriait, son bus était sur le point de partir. Elle montra sa carte et s'assis au fond. Elle mis sa capuche sur la tête pour faire semblant qu'elle dormait, mais elle regardait en réalité de lycée. Des militaires sortaient en courant du bâtiment, mais ils n'avaient pas l'air de la poursuivre. Le colonel était sur les marches devant le lycée, il ne vit pas Max, mais elle le fixa à s'en faire mal aux yeux jusqu'à ce que le bus tourne à l'angle de la rue.

Le trajet se fit dans le stress. Elle surveillait à l'arrière voir si le bus était suivis. A tous les coins de rue elle avait peur de voir débarquer un camion militaire.

Très vite, le bus se vida de ses passagers et sortit de la ville pour s'engouffrer dans la forêt.

Son père ne serait pas encore rentrer. Elle ne savait pas si il fallait qu'elle l'attende où qu'elle parte avant que les militaires soient là. Elle n'avait aucune envie de finir sa vie enfermée dans un camp de l'état.

Le bus l'a déposa à l'avant dernière arrêt. Elle marcha en silence pendant quelques minutes sur le chemin de terre qui l'amenait chez elle. Le chemin de terre au milieu de la forêt déboucha sur une grande clairière ou une maison en rondin se dressait.

Chez elle…

Max était à peu près calme, quand elle eut la désagréable sensation d'être observé. Elle s'arrêta un instant, regardant tout autour d'elle dans la forêt. Tout lui paraissait normal, mais la sensation persistait.

Elle s'engouffra chez elle en trombe. Il fallait qu'elle fasse vite. Elle pris un sac de randonner assez petit et de couleur discrète. Elle y fourra un pull, une paire de chaussette, une culotte, un briquet pour le feu. Elle attacha son couteau de chasse que son père lui avait offert à la ceinture. Dans la cuisine, elle pris de la ficelle, des barres énergétiques. Elle gribouilla un mot pour son père qu'elle laissa sur la table de la cuisine : « Problème avec militaire, pars pour quelques jours, reviens quand sa sera calmé ». Elle ajouta un « Bise Max ».

Elle sortit de chez elle par la porte de derrière. La forêt qui s'étendait derrière chez elle était une réserve naturelle, elle pourrait s'y cacher pendant quelques jours.

La sensation d'être observer la repris. Elle traversa le près, passa la barrière et s'engouffra dans la forêt.

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Accroché? C'est juste pour vous mettre en appétit!
Pour ceux qui n'aurait pas compris, les phrases en gras sont les pensés de notre héroïne.

Si y'a des moments de flou, mal décrit, pitité laisser un commentaire, que je progresse dans l'écriture. (pour les fautes d'orthographes aussi)

Maintenant, c'est aussi le p'tit moment coup de gueule. Le moment ou le prof critique Max, il m'est arrivé exactement la même chose et même si j'ai pas des griffes, j'lui aurait bien cassé la gueule à ce connard. (mille excuses pour le vocabulaire). Sauf que ce n'était pas à Max de se défendre, c'était aux autres élèves de réagir!

J'assasinerais bien ce prof par écrit, mais il ne mérite que notre mépris.

Mais on s'en fout! bientôt la suite!!