Moi : Hello ! Pour ceux qui lisent la section Beyblade, vous me connaissez et vous connaissez très bien mes pitits discours avec des persos de série ou de fic, nan ? Je suis ravie de vous retrouver ou de vous accueillir dans mon premier fic sur Harry Potter et Fullmetal Alchemist. J'espère que ça vous plaira. Bien que ce fic soit surtout porté sur Sirius (mon chouchou) et une OC.

Sirius : Chouette. Et tu vas bosser un peu plus dessus ou tu vas mettre 8mois à mettre la suite ? Comme pour tes autres fics ?

Moi : Sais pas. On verra. Et au fait, cette fic est un SiriusxOC, un crossover avec Fullmetal Alchemist (c'est venu comme ça pendant que j'écrivait), un spoiler du tome 3 et un texte dans les sections Romance, Action/Aventure et Angst parfois. J'espère que ça vous plaira Maintenant…Postons là !

Harry Potter et les amants d'Azkaban

Chapitre 1 : Melissa

Flash-back

La nuit tombait sur Poudlard. Un magnifique chien noir et une chatte blanche tachetée de noir et de roux marchait à ses côtés. Quelques élèves les regardèrent passer d'un air étonné. Mais continuèrent leur marche. Une fois la nuit tombée, le chien se transforma en humain. Un jeune homme très séduisant aux cheveux noirs assez longs. Il avait des yeux sombres comme la nuit, était assez pâle et plutôt grand. Musclé, il était l'un des plus beau de l'école. La jeune chatte se transforma en une humaine. Elle avait des yeux d'un brun noisetté, des cheveux mi-longs et auburn, elle était plutôt grande elle aussi. Contrairement à la plupart des filles de sont âge dans cette école, elle avait peu de poitrine mais des jambes à faire fondre n'importe quel garçon. Elle avait une peau mate qui contrastait avec le jeune homme à côté d'elle.

Ce dernier était habillé d'un pantalon noir et d'une chemise blanche dont la cravate rouge et or qui retenait le col fermé était détachée. La jeune fille portait une jupe noire dévoilant ses jambes qui rappelait au jeune homme les tropiques. Une chemise blanche ainsi qu'une cravate argentée et verte. Ils se sourirent mutuellement. La jeune fille rougit quand le jeune homme l'attira contre elle à cause d'un frisson dû à la fraîcheur de l'air. Elle lui sourit tendrement et lui prit les deux mains s'amusant à courir de part le parc. Il ris en voyant ce magnifique sourire et s'amusa à marcher méticuleusement dans ses pas. Soudain, elle trébucha. Il la rattrapa de justesse. Les cheveux habituellement bien attachés de la jeune métisse laissèrent quelques mèches s'échapper de sa queue de cheval. Ils rirent tendrement.

- Melissa ? Ca va ? lui demanda le jeune homme

- Oui Sirius, tant que tu es là, je sais qu'il ne peux rien m'arriver, lui répondit l'intéressée.

- Viens. Suis moi. J'ai quelque chose à te montrer. Ou plutôt, regarde bien où on va arriver.

Au même moment, il la souleva et la porta dans ses bras. Ils tournèrent ensemble, autour du lac. Jeunes, insouciants et décoiffés. Il la déposa par terre et elle l'embrassa sur la joue. Ils rougirent tout les deux sur le coup. Ils se trouvaient loin dans Poudlard à présent. Sirius sortit quelque chose de sa poche, un tapis miniature qu'il s'empressa d'agrandir sous le regard interrogateur de Melissa. Le dit tapis s'éleva à quelques centimètres du sol. (NDA : Si vous connaissez Disney, je vous conseille la chanson « Ce rêve bleu » c'est vraiment magnifique avec)

Viens. Lui dit Sirius en tendant sa main vers la jeune fille.

Elle lui prit timidement la main tandis qu'il l'aida à monter sur le tapis. Elle s'y assit, il la rejoignit et le tapis décolla vers la ouate de cristal. Elle était partagée entre la peur et l'émerveillement. Le vent frais leur fouettait le visage tandis qu'ils s'élevaient vers les milliards d'étoiles que contenait à présent le ciel.

Wow ! Sirius…C'est…

Magnifique, n'est ce pas ?

Le mot est faible. C'est…merveilleux. Nous sommes ensembles, sur un tapis volant, seuls.

Oui. Comme les éternels gamins que nous avons toujours été.

Sous un ciel de cristal. J'ai l'impression de vivre un rêve.

Moi aussi.

Sirius… Promet moi que rien ne nous séparera et surtout pas ce mage noir qui prend de la puissance.

Melissa…

Promet le moi !

Je…

Je t'en pris…

Je te…le promet.

Merci…

Melissa…

Il passa sa main sur la joue de l'adolescente pour y essuyer une larme qui coulait. Elle le regarda tendrement.

Tu sais, lui dit-elle, à part avec toi, je ne serais jamais montée sur un tapis.

Pourquoi ?

Je souffre de vertige.

Pardon ! Je n'en savais rien.

Tu n'as pas à t'excuser. Je crois que j'en suis débarrassée grâce à toi. Merci Sirius…

Mely ?

Elle sursauta. C'était la première fois que Sirius l'appelait par son surnom.

Oui ?

Je ne veux plus te quitter. Je t'aime Mely.

Moi aussi…

Tout se passa doucement. Tendrement. Ils sentirent leurs lèvres s'attirer. Il n'y avait plus que quelques centimètres les séparants.

Fin du flash-back

Toc toc toc

Ma rêverie fut interrompue par une jeune fille qui passa la tête à travers l'entrebâillement de la porte. Elle avait des cheveux châtains très bouclés, presque ébouriffés. Ainsi que des yeux bleus.

Excusez nous de vous déranger. Est-ce qu'on peux s'asseoir avec vous dans ce compartiment, madame ?

Bien sur, mais à une seule condition : appelle moi mademoiselle ou encore Melissa.

Elle parut étonnée mais me répondit.

Très bien mademoiselle Melissa.

Quel est ton nom ?

Hermione Granger. Vous êtes professeur ?

En effet.

De défense contre les forces du mal ?

Non, j'assure un tout nouveau cours : l'alchimie.

Wow ! J'ai lu tout le livre et j'ai vraiment hâte de suivre votre cours !

Merci.

Excusez moi, je vais chercher mes amis.

Va y, tu es toute excusée.

Merci. HARRY ! RON ! C'EST BON ! J'AI TROUVE !

Un jeune garçon roux et au visage constellé de taches de rousseur entra accompagné d'un garçon aux cheveux noirs en pagaille et aux yeux verts. Je sursautais et me leva

James !

Ils sursautèrent tous en entendant ce que je venais de dire. Mais quelle idiote ! James et Lily sont décédés ! Ces yeux…ce sont ceux de Lily ! Et ce garçon est la copie conforme de James ! Alors il ne peut-être que…Mes yeux se posèrent sur sa cicatrice pour ensuite et rapidement retourner vers ses yeux.

Excuse moi Harry. Je…tu ressembles tellement à ton père ! Dis-je en bredouillant.

Euh merci. Vous avez connu mon père professeur ?

Oui. Beaucoup même. Mais baissons le ton. Votre nouveau professeur de défense contre les forces du mal a besoin de repos. Beaucoup.

C'est lui ? dit Harry

Oui, répondis-je.

Il montrait mon vieil ami. Il avait bien changé. Mais il me rappelait toujours mon « grand frère » Lupin de l'école. Il avait quelques mèches grises dues au surmenage sans doute mais ses cheveux châtains dominaient encore ces dernières. Il avait retenu ses cheveux comme il le faisait autrefois quand on était à Poudlard : en queue de cheval tombante. Des cernes que je ne lui avais jamais connus semblaient ne faire plus qu'un avec son visage. Je soupirais et me retourna vers mes désormais élèves. Le rouquin que je supposais être Ron s'adressa alors à Harry.

Alors, qu'est ce que tu voulais nous dire Harry ?

Le fils de James me regarda.

Allez y. Je n'ai pas pour habitude d'écouter les conversations des autres, répondis-je.

Ils me jetèrent un regard soupçonneux et baissèrent la voix tandis que je retournais à ma lecture et ma musique. Qu'est ce qu'une prof d'alchimie peux bien écouter ? Du jazz. Louis Armstrong et sa chanson « What a wonderful world » sont mes choix de musique préférés. A travers les notes et la voix du vieux jazzman, je perçu le nom de Black. Cela ne m'étonna pas. Son nom était sur toutes les lèvres en ce moment. Tout ça depuis que ce dernier c'était évadé d'Azkaban. Mon regard s'assombrit en y pensant.

Qu'est ce que c'est que ce bruit ? demanda Ron

En effet, une sorte de sifflement métallique provenait d'une des valises.

Ca vient de ta valise Harry, dit Ron qui se leva et alla jeter un coup d'œil dans les bagages.

Un instant plus tard, il sortit de la valise de Harry un strutoscope de poche. L'objet tournait à toute vitesse dans sa paume en émettant une lumière brillante. Rassurée, je me replongeais dans mon livre. Tout en laissant les « djeunes » reprendre leur conversation en jetant un œil à Lupin. Un minuscule sourire apparut sur mes lèvres. C'est pas un strutoscope qui réveillerait mon vieil ami.

Quelques minutes plus tard, j'entendis une dispute entre Ron et Hermione. Relevant les yeux, je vis une forme orangée ressemblant à un chat sortir d'un panier. Ron pesta contre l'animal. Je décidai de m'en mêler.

Quel est son nom ? Demandais-je

Pattenrond, professeur, répondis Hermione

Pattenrond... murmurais-je

Le chat sembla m'entendre car il tourna brusquement la tête et sauta sur mes genoux. Ils me regardèrent bouche bée tandis que je leur répondait par un sourire radieux.

Vers le milieu de l'après-midi, alors qu'une apaisante pluie tant espérée commença à tomber, nous eûmes une visite bien étrange. Trois élèves firent leur entrée dans le compartiment. Un blondinet portrait craché d'un collègue de Serpentard avec des cheveux plus court entourés de deux gorilles comme l'était autrefois son père Lucius Malefoy. Cela ne m'étonnerait pas que ce jeune garçon se comporte comme son père à son âge.

Tiens, regardez qui voilà ! Potter et son poteau, fit -il sans me remarquer.

J'avais raison. Le portrait craché de son père. Pff…Dire que je l'aurais comme élève. C'est désespérant. Un Lucius miniature. Seigneur…Qu'ais-je donc fais pour mériter ça ?

Il continua tandis que ses gorilles, Crabble et Goyle, qui n'aurait pas reconnus leurs fils. Je vis Ron se lever suite à une remarque particulièrement déplaisante de Malefoy. Il était temps que je commence mon boulot.

Monsieur Weasley, je vous pris de vous rasseoir immédiatement, dis-je d'un ton sec qui me rappela celui de ma prof de métamorphose, McGonagall. Quant à vous 3…Vous devez être le fils de Lucius je suppose… ?

Drago, en effet. Répondis le jeune homme les yeux fixés sur mon décolleté trop plongeant.

Et vous deux, vous devez être…Messieurs Crabble et Goyle. N'est ce pas ?

Les deux gorilles acquiescèrent.

Maintenant que nous nous sommes présentés, à vous de faire la même chose madame, répondit Drago d'un air sournois.

Pour vous ce sera mademoiselle ou professeur, répliquais-je sèchement.

Bien mademoiselle. Et qu'enseignez vous comme matière ?

Une toute nouvelle qui commence à partir de cette année. J'enseigne de la 3e année à la 7e. J'espère que vous êtes doués en potions car c'est un dérivé d'une discipline y ressemblant.

Vous ne répondez pas à ma question.

L'alchimie, Drago. Maintenant, veuillez sortir en silence, votre nouveau professeur de défense contre les forces du mal à besoin de repos. De beaucoup de repos. Je vous pris donc de sortir dans le calme à moins que vous ne vouliez que je ne vous fasse une petite démonstration d'alchimie comme je le faisais il y a des années avec votre père. Et croyez moi, il s'en souvient !

Bien professeur, dit-il d'une voix traînante en sortant du compartiment.

Je revins m'asseoir. La pluie abondante à présent accompagnait mes pensées tandis que mes élèves reprenaient leur conversation. Beaucoup plus tard, quand la nuit était tombée, le train ralentit soudainement. Je retira mes écouteurs et fit signe à mes élèves de rester là. Je sortit enfin du compartiment et remonta le couloir. Soudainement, les lumières s'éteignirent.

Qu'est ce qui se passe ici !

Je ne pouvais faire un pas sans me cogner. Et consentit donc à me transformer discrètement en chat. J'arpentais les couloirs sombres, ma baguette entre les crocs. Et soudain… Je les vis. D'immondes créatures encapuchonnées montèrent dans le train. Ils semblaient flotter au dessus du sol. Les choses prirent une longue inspiration et produisirent un râle effrayant. On aurait dit un chant funèbre. Me rappelant soudain mes élèves, pas question de perdre le fils d'un de mes meilleurs amis simplement en voulant jouer les héroïnes, je repartis en détalant vers notre compartiment. Voyant une source de lumière sans doute produite par Lupin, je fis irruption dans le compartiment sous forme de chat.

Un détraqueur était déjà présent. Harry était tombé évanoui. Je ressortis et reprit discrètement une forme humaine, à ce même moment, je commençait à ressentir l'effet de leur terrible pouvoir. J'entendis Lupin dire au détraqueur de s'en aller. Comprenant qu'il ne bougerait pas, et connaissant leur point faible, je me battis contre mes démons et prononça d'une voix ferme et forte la formule pour nous sortir de là.

Spero patronus ! Fit ma voix mêlée à celle de Lupin.

Je vis un loup argenté se jeter sur le détraqueur. Devinant que c'était celui de Lupin, je sourit, il n'avait pas changé. Je vis une tigresse argentée, elle aussi, le rejoindre. Ils se jetèrent sur lui. Le faisant détaller. Malheureusement, il passa devant moi pendant un court instant qui me parut durer des heures. A cet instant, un horrible souvenir me revint à la mémoire.

Flash-back

Elle était seule. Agonisant sur le sol froid et dur de sa prison de pierre. Il n'y avait aucune lumière aucune issue. Seulement elle, son corps meurtri et le silence…

Angoissant, obsédant.

Non…murmura-t-elle. Pas les murs…Je vous en prit…Pas les murs…Non…S'il vous plait…Non…

Le corps en sang, à bout de force, sa claustrophobie augmentée par le noir, la pièce et sa douleur elle se mit à délirer.

Je…n'arrives plus…à respirer…je vous en prit…Arrêtez…Arrêtez ça…Arrêtez !

Des larmes brûlantes laissèrent des sillons douloureux sur sa peau mate. Une vieille femme entra et se mit à rire d'un rire rappelant le diable. Elle était accompagnée par un homme habillé d'un uniforme bleu. Avec un bandeau noir sur l'œil cela le rendait encore plus inquiétant. Ils furent rejoints par un drôle d'être à l'apparence androgyne avec une coupe en palmier qui sourit sadiquement en la voyant.

Alors Melissa…Vas-tu nous fabriquer cette pierre ? demanda d'une voix douce et violente à la fois la vieille femme.

Ja…mais…

Soit…Envy…

Avec plaisir…

L'androgyne lui donna un coup de pied dans le ventre, elle cracha non pas du sang mais de minuscules cristaux de ce même rouge.

La transformation est presque parfaite… Il ne lui reste plus qu'à lui imposer les marques, murmura l'homme au bandeau

Et bien pourquoi perdre du temps…dit la vieille femme

Puis-je m'en charger Dante ? Demanda Envy. Je n'ai pas encore pu m'amuser avec elle.

Va y. Considère ça comme un cadeau…

La dénommée Dante et l'homme au bandeau sortirent. Envy s'empara de l'adolescente et l'attacha à des chaînes au fond de la salle. Il lui fourra un bâillon dans la bouche et lui souleva le visage.

Dommage de devoir abîmer un si beau corps. J'aurai aimé encore m'amuser avec toi…lui murmura-t-il en léchant la joue couverte de cicatrices en sang de la jeune femme.

Elle n'avait pas la force de le repousser. Il se retourna quand il entendit des bruits de pas. Une femme aux longs cheveux noirs et bouclés très bien formée accompagné par une sorte de gros bébé géant, sourit en déposant un récipient rempli de charbon brûlant. Le « bébé » se prénommait Gluttony. Il donna à Envy deux morceaux de fer ayant une forme précise. Envy les laissa dans le feu durant de longues minutes se tourna vers la femme.

Lust ?

Hum ? lui répondit-elle

Quel nom a-t-il été décidé de lui faire porter ? demanda t-il en désignant Melissa

Je l'ignore je crois que ce sera un équivalent de la colère. « Anger » je crois.

Très joli.

Je pense que ça doit être bon.

Oui. J'avais hâte de commencer, ricana t-il

Il se rapprocha de Melissa, qui devinant son sort trembla de toutes parts. Ses yeux lançaient des regards suplicateurs vers Lust et Gluttony mais ils sourirent en croisant son regard apeuré.

Envy la tourna violemment face au mur et dévoila la peau mate des omoplates de l'adolescente. Elle se mit à genoux et serra les dents en attendant le fer brûlant qui allait lui incruster des marques éternelles dans la peau.

C'est dommage qu'il ne faut pas déranger tout le monde. J'aurai aimé entendre ses hurlements de douleurs, ricana Envy, c'est bien dommage. Surtout que tu as une jolie voix, n'est ce pas Melissa. Dommage…Oui…Dommage…Et puis je ne vais pas te faire attendre plus longtemps. Allons y. Que le spectacle commence…

Il approcha le fer et le déposa sur la peau nue. Il prit un plaisir sadique à le laisser dessus plus de temps que nécessaire. La douleur était plus qu'intense malgré le bâillon qu'elle avait dans la bouche, un horrible cri déchira la nuit plus son supplice se prolongeait.

Je savais bien que tu allais accepter de me faire plaisir Melissa… marmonna t-il sensuellement.

Il retira le fer laissant apparaître enfin le symbole des alchimistes celui du « péché ultime », celui de l'orgueil. Celui faisant croire que l'on était l'égal de dieu. Il était encore rougeoyant et lui transperçait le corps d'une douleur atroce.

Magnifique…Tu n'auras pas souffert pour rien. Tu es contente ? Ce pour quoi tu as tant travaillé depuis des années est enfin là, à jamais gravé sur ta peau. Tu es actuellement reconnue comme une alchimiste à part entière. Tu devrais être contente non ? murmura Envy en ricanant sarcastiquement. Merci encore d'avoir aidé à ramener l'un des nôtres à la vie…

Si c'était ça être alchimiste, elle n'aurait jamais dû essayer. Des larmes désormais froides coulèrent silencieusement sur ses joues. Brûlant ses plaies encore ouvertes. Elle retomba lourdement, n'ayant plus la force de quoi que ce soit. Envy reposa le fer chaud et retourna la jeune fille face à lui. Devinant la suite elle se rétracta. Ils durent lui attacher les pieds et tendre son corps au maximum pour pouvoir lui imposer la dernière mais la plus terrible des marques. L'ouroboros.

Où cela te ferait-il le plus mal, où aucun homoncule n'a d'ouroboros ?

Il passa son regard sur le ventre et les hanches découvertes de la jeune fille et son regard s'arrêta à côté de son nombril. Elle le vit et le supplia de ne pas faire ça.

Mais si, mais si… C'est parfait… Ne t'inquiète pas. Tu peux porter ces tatouages avec tout.

Il attrapa le second fer qui était à présent chauffé plus qu'à blanc et…l'imposa sur la peau nue du ventre. Provoquant encore plus de douleur que celui du dos. Le bâillon tomba de sa bouche et un cri encore plus chargé de douleur et beaucoup plus aigu que le précédant déchira la nuit orageuse.

A suivre…

Moi : Vala Et n'hésitez pas à m'envoyer une tite review pour me dire ce que vous en pensez !

Sirius : Salut !