Salut!

Alors dois-je vraiment vous dire que les personnages, ainsi va pour la série elle-même, ne m'appartiennent pas? Mais le site étant très conforme aux règles de sécurité, ce qui me convient parfaitement, me doit de le confirmer.

Alors, non, ni NCIS, ni les personnages, ne m'appartiennent. Je les emprunte tout simplement pour mon plus grand plaisir sans aucun but lucratif là-dessous.

Mais j'avoue que jouer les GG en mode Moi c'est assez plaisant.

Il en va de soit que j'apprécierais, si certains d'entre vous qui se serez perdu ici accidentellement ou non, lise ceci, oui la chose qui suit, me laisse un commentaire pour je ne sais pas, pourquoi pas connaitre votre avis sur le sujet.

Enjoy!


"Vous puez le chient mouillé.
-Mais il en avait un, ici sous ce banc quand je suis arrivé. Je les mis sous le kiosque.
-Et pourquoi c'est pas vous qui y êtes ?
-Ce chien put c'est une horreur.
-Alors pourquoi vous ne l'avez pas laisser... Non laissez tomber"

Fornell & Gibbs.


L'agent Tobias Fornell –irritable et impatient comme sa réputation le précédait- poussa son badge accrédité du FBI devant le visage du contrôleur –visage impassible devant ce raz de marée de mécontentement, tout simplement trop habitué à cela.

Et c'est toujours avec la même attitude - le grognement en plus qui s'échappa du fond de sa gorge, me direz-vous- que l'agent bourru enleva insigne, montre ainsi que arme. Les déposa sans aucune nonchalance dans le panier désigné à cet effet pour passer l'arche de contrôle magnétisé. Une procédure tout à fait habituelle dans le processus de sécurité du bâtiment fédéral, MAIS, qui ne l'empêcha pas de l'hériter du plus haut point. Une perte de temps de plus, inutile à ses yeux –du moins en ce qui le concerne- tout le monde ici le connait, non ? Mais haute sécurité oblige –ainsi va pour lui.

Et c'est sans grande surprise –comme à chaque fois- qu'aucun signal d'alerte ne se déclencha à son passage –en même temps, comme si l'assassin fou qui voulait tuer tout le monde, allait s'embêter à passer la sécurité !

Bref- l'agent de sécurité, dont le nom sur son badge l'indiquait comme étant M. Lewis, lui remit ses affaires – affaires qu'il s'empressa de remettre en place tout en se dirigeant vers l'ascenseur. Un bouton d'appel, un index, vive les avancées humaines – il appuya, une, deux, trois fois- oui c'était sans doute nouveau, plus on appuie, plus l'ascenseur arrive vite- ben voyons.

- Dépêche, dépêche… murmura-t-il devant les portes obstinément close de ce foutu ascenseur qui ne comprenait rien. Jusqu'au joli petit –digne- significatif de son arrivé.

- Enfin, dit-il en s'engouffrant dans la cage d'acier, grise, froide, sans aucun miroir de courtoisie pour arranger sa cravate ou vérifier si on n'avait rien entre les dents -quelle honte!

De nouveau des boutons –avec des chiffres cette fois-ci- on fait plouf-plouf, non- on écrase durement le bouton désignant le numéro d'étage de sa destination –là, si l'ascenseur ne comprend toujours pas qu'il est pressé, où va le monde ?

Mais, attendez, que vois-je ? Une paire de gambettes fines, surélevées par des talons aiguilles, le tout subtilement mis en valeur par une mini-jupe. Bien entendu, cela appartenait à la jeune femme qui va avec, qui courait vers lui –non, attendez, qui trottinait, ne pouvant pas faire de grandes enjambées. Une jeune femme –au regard de Chat Potté, pov' bichette- et sa petite voix mielleuse du, s'il vous plait, attendez-moi; retenez les portes – qui aurait refusé ?

Bingo, vous avez devinez, lui ! Bon, on plaisante, on est méchant, en temps normal, l'agent du FBI se serait fait joie d'assouvir les besoins de cette demoiselle en détresse, sûrement très en retard à un rendez-vous – et oui, fallait passer moins de temps devant le miroir ma belle- mais aujourd'hui, de toute évidence, n'était pas comme les autres jours.

Se redressant de toute sa hauteur, il regarda les yeux abasourdis –oui plus de Chat potté sauf si vous venez juste de le voir se coincer la queue- de la jeune femme lors de la fermeture des portes juste devant son nez, refait de surcroît – Désolé chérie !

Mais d'autres préoccupations -bien plus importantes que son manque de galanterie du jour- je vous assure- l'empêcheront de dormir correctement ce soir, de nouveau – ainsi va pour vous quand vous saurez la chose.

Et c'est toujours mangé par le manque de patience – oui, l'ascenseur n'a vraisemblablement pas compris- qu'il se mit à tapoter du pied dans une frénésie incontrôlable pendant cette longue, mais longue attente silencieuse qui se trouvait être la montée des étages.

En tout, quatre-vingt-dix-sept secondes, une éternité – ne rigolez pas, si vous saviez pourquoi il est pressé, vous trouverez vous aussi que ce chapitre ne va pas assez vite, et là, vous n'irez pas dire que je ne vous avais pas prévenu !

Enfin passons ! Les portes s'ouvrent de nouveau. Un autre -digne- serait-on dans un centre commercial? Non, bien au NCIS. Oui, oui NCIS, comme dans NCIS et non FBI. N.C.I.S. Alors vite, il presse le pas pour en sortir. Passe devant les bureaux sans aucun regard pour leurs occupants.

Voir le directeur, voilà sa priorité du matin -priorité qu'il se serait bien abstenue de faire. Mais, malheureusement c'était ainsi et pas autrement – ahlala !

Les informations qu'il a -ou du moins qu'il n'a pas vraiment- oui bon c'est compliqué- se doivent d'être partagées rapidement pour qu'une mise en place d'enquête prioritaire se fasse dans les plus brefs délais –point à la ligne.

C'était tout simplement une question de vie ou de mort – oh mon dieu !

Et Tobias Fornell en est 'T'cho' formel.