Bonjour les filles,

Me revoici sur FeuFeu après plusieurs années d'absence. Je suis en train de terminer "Je l'aurai, Miss Granger", mais les prochains chapitres étant assez noirs, j'ai décidé de ne pas les poster tout de suite vu les circonstances. La mort d'Alan Rickman nous a toutes bouleversées et nous avons besoin de retrouver un peu de légèreté dans nos lectures. Je tenais à lui dédier cette petite fanfic sans prétention (qui fera 4 ou 5 chapitres maximum)...

Ce n'est pas grand chose, juste un hommage à tout ce qu'il nous a apporté pendant ces nombreuses années en incarnant Severus. A son talent incommensurable, à sa gentillesse, à sa simplicité, à sa voix fascinante qui a éveillé la sensualité de plus d'une fan, à son regard sévère qui nous électrise, à la douceur de son sourire, à tout ce qui le rend si particulier à nos yeux... à un grand homme, tout simplement.

Tu nous manques, Alan. Repose en paix.

Kawaii Shina

Ndla : l'histoire se passe après la guerre, Severus est vivant et a été réhabilité.


Exceptionnellement cette année-là, Hermione avait décidé de passer ses vacances de Noel à Poudlard. Anticipant un second quadrimestre plus que chargé, elle souhaitait pouvoir s'avancer au calme et préparer ses cours… d'autant que ses parents étaient partis deux semaines à Paris pour fêter leur anniversaire de mariage. Cela faisait maintenant un an et demi qu'elle était professeur d'Arithmancie et elle prenait son travail très au sérieux. Harry était également très occupé par son travail au Ministère...Depuis la fin de la guerre, il y avait mille et une chose à faire et bon nombre de procès à mener. Quant à Ron, il venait tout juste de se marier et avait décidé de partir en lune de miel au soleil. Aucun intérêt pour elle de perdre son temps seule loin de Poudlard. Ils se retrouveraient tous pour passer le réveillon de nouvel an ensemble, et c'était bien suffisant au vu du planning chargé de chacun.

Il y avait à peine une poignée d'élèves et de professeurs présents à Poudlard, mais peu lui importait…au moins elle travaillait efficacement.
Ses journées étaient rythmées par l'étude et les recherches à la bibliothèque. Elle aimait travailler seule dans ses quartiers mais retrouvait toujours avec bonheur l'atmosphère féérique de la grande salle en période de fêtes.

Peu avant Noel, elle se rendit à Pré au Lard pour finaliser l'achat de ses derniers cadeaux. Un calendrier des Canons de Chudley pour Ron, un sac sans fond pour Harry, des spécialités de pâtisseries sorcières pour ses parents,… Elle avait enfin tout ce qui lui fallait. Il ne lui restait plus qu'à expédier le tout par hibou dès son retour à Poudlard.

D'ailleurs, il était temps qu'elle rentre car ses chaussures avaient commencé à percer dans la neige épaisse et le blizzard de fin d'année lui piquait douloureusement le visage. Lorsqu'elle atteignit les grilles du château, elle était frigorifiée et trempée de la tête au pied. Elle rentra dans ses quartiers, alluma un feu de cheminée et se débarrassa de ses vêtements glacés et humides pour plonger dans un bain chaud. Elle fit l'impasse sur le repas du soir dans la grande salle et se coucha de bonne heure.


Au réveil le lendemain matin, elle se sentait fiévreuse et avait l'impression qu'un étau lui enserrait la poitrine. Elle se traina toute la journée avant de se décider à aller trouver Mme Pomfresh à la tombée de la nuit. Après l'avoir examinée, Pompom décida de la garder à l'infirmerie jusqu'au lendemain matin, histoire de voir comment son état allait évoluer.

Le lendemain au réveil, Hermione se sentit encore plus affaiblie et plus endolorie que la veille. Elle toussait sans arrêt et sa poitrine la faisait atrocement souffrir. Sa respiration s'était faite sifflante et sa fièvre avait encore grimpé. Elle ne pensait même plus aux cours qu'elle devait préparer…c'est dire.

Pompom avait diagnostiqué un début de pneumonie et restait à ses côtés nuit et jour pour lui administrer des potions et lui appliquer des onguents. Chaque soirée était consacrée à l'ingestion d'affreuses potions (à se demander si le professeur Rogue voulait la soigner ou la tuer) et au massage de son dos et de son thorax avec des onguents apaisants. Au bout de 5 jours, son état commençait à s'améliorer. Elle devait rester alitée et sous surveillance, mais elle était en voie de guérison.

A la veille de Noel, Pompom se trouva fort embêtée : la plupart des membres du corps enseignant étaient partis pour réveillonner et il se trouva justement que ce fut la date que choisit sa fille Lilian pour accoucher.

Contrariée, elle alla trouver celui le plus à même de continuer à soigner Hermione : le professeur de Potions. Elle alla le trouver dans son bureau, cape sur le dos et valise à la main, prête à transplaner. Trois coups à la porte plus tard, elle se tenait devant sa table de travail. Il était plongé dans ses corrections et avait l'air plutôt maussade. Mais Pomfresh n'avait pas d'autre choix.

-« Severus, ma fille vient d'accoucher… je dois quitter le château en urgence, lui dit-elle, peux-tu continuer la confection des potions et onguents pour Miss Granger »

Le maitre des potions leva à peine les yeux de ses parchemins et se contenta d'un grognement approbateur.

-« Il y a autre chose… , continua-t-elle un peu gênée, je te serais infiniment reconnaissante si tu pouvais t'occuper des trois derniers jours de traitement »

Il leva un sourcil réprobateur avant de soupirer et de lancer :

- « Autre chose ? »

Poppy Pomfresh fut étonnée qu'il accepte si facilement.

- « Non, rien. Je t'ai indiqué la posologie et la marche à suivre ici. », dit-elle en lui tendant un papier.

Il le prit sans broncher et elle le remercia avant de quitter la pièce à la hâte, avant qu'il ne change d'avis.

-« Poppy ? », dit-il lorsqu'elle fut arrivée dans l'embrasure de la porte. Elle se retourna, anxieuse.

Sans esquisser un sourire, il lui dit simplement :

-« Félicitations…et reviens vite avant qu'une épidémie ne frappe le reste de ces cornichons »


Tous les professeurs "femmes" étaient absents. Chourave en diner de famille, Mc Gonagall en voyage on ne sait où, Trelawney introuvable…Il avait espéré en convaincre une de le remplacer à l'heure du dîner mais n'avait trouvé personne à part Hagrid à la table des professeurs. Par Merlin, il allait devoir s'occuper lui-même de sa collègue la plus insupportable... Granger. Ca lui apprendrait à faire confiance à Pomfresh...

En entrant dans l'infirmerie, il prit une profonde inspiration pour se préparer à la tâche qui l'attendait.

En arrivant à hauteur du lit, il tira les rideaux situés de part et d'autre et découvrit une Hermione totalement endormie. Il poussa un soupir de soulagement.

Elle dormait sur le dos, il pouvait entendre sa respiration difficile et voir son front perler sous l'effet de la fièvre. Un charme de réchauffement avait été posé tout autour d'elle afin que le froid ne l'affaiblisse pas davantage. Ses épaules dépassaient de la couverture et elle portait un de ces infame pyjama bleu en molleton de l'infirmerie. Premier obstacle... Il était donc obligé de la réveiller.

Il se dirigea vers la table de nuit où se trouvaient les potions. Ce faisant, il dit de la voix la plus posée possible :

- « Professeur Granger, c'est l'heure de vos soins. Mme Pomfresh est absente pour quelques jours et je suis malheureusement le seul à même de vous soigner »

Elle remua un peu en gémissant mais se rendormit aussitôt.

- « Granger ! Je ne vais pas y passer la nuit ! » vociféra-t-il en s'impatientant.

Hermione ouvrit brusquement les yeux et se redressa pour tomber nez à nez avec son pire cauchemar. Immédiatement, elle remonta les draps, surprise, et écarquilla les yeux à la vue de son ancien professeur de potions. Il lui tournait le dos et s'affairait à préparer les potions sur la table de nuit.

Reprenant peu à peu ses esprits, Hermione l'interpela, malgré la fièvre qui l'assommait toujours, en lui demandant :

-« Professeur… Vous remplacez Mme Pomfresh ? Elle est absente ? »

Severus, toujours le dos tourné, continua un moment sa préparation avant de répondre d'une voix grave et posée :

-« De toute évidence, Miss Granger. »

Hermione savait qu'il ne servait à rien de lui poser d'autres questions. Il se retourna vers elle, froid et distant, son visage légèrement crispé.

-« Ouvrez la bouche, Granger. »

Elle connaissait les soins par cœur et ne se posa aucune question. Elle ouvrit la bouche, en le fixant dans les yeux et avala la potion. Immédiatement, elle sentit la pimentine réchauffer son œsophage et la fièvre s'estomper.

Sentant son malaise grandir à l'idée de ce qui allait suivre, Hermione ne put s'empêcher de demander:

- "Vous allez également...heu...je veux dire...c'est vous qui allez appliquer l'onguent?"

Severus était mal à l'aise. Réponse courte et simple, ne laisser paraître aucun trouble..

- "Malheureusement oui, Granger...Cela ne me plait pas plus qu'à vous, mais avons-nous le choix? Je ne peux décemment pas vous laisser mourir le soir de Noel"

Elle avait les joues en feu à cause de la pimentine et du stress. Quant à Severus, il était spécialiste dans l'art de dissimuler ses émotions et avait l'air aussi froid et distant qu'à son habitude.

Sans ménagement aucun et avec une voix grave et froide, il lui demanda :

-« Vous savez ce qu'il vous reste à faire Granger? Je me retourne. »

Habituée au rituel, elle hocha la tête et s'exécuta. Elle déboutonna le haut de son pyjama. Ses mains tremblaient et glissaient sur les boutons de la chemise. En retirant son soutien-gorge, elle avait presque les larmes aux yeux en pensant à ce qu'elle allait devoir endurer. Elle se coucha sur le ventre et lui lança d'une voix anxieuse:

-"Voilà..."

Severus, toujours le dos tourné, se débarrassa de sa cape et du haut de ses robes pour se retrouver en pantalon et chemise blanche. Hermione entendit le froissement des étoffes et se demanda ce qu'il était en train de faire. Elle osa un regard par dessus son épaule et découvrit son collègue comme elle ne l'avait encore jamais vu. Une sensation étrange la parcourut en le voyant vêtu de sa chemise blanche. Elle eut vite fait de détourner le regard alors qu'il se retourna vers elle en retroussant ses manches à hauteur du coude. Elle l'entendit s'approcher et ne pu s'empecher de retenir son souffle.

- "Détendez-vous, Granger, vous savez que la respiration est importante lors de l'application de l'onguent. Vous et moi n'avons aucune envie que l'application échoue et que nous devions recommencer".

Severus était nerveux, mais il ne laissa rien paraître. Il fit glisser délicatement la couverture jusqu'à la taille de la jeune fille, dévoilant son dos laiteux et parsemé de quelques points de beauté. Elle tremblait.

Tentant de n'y prêter aucune attention, il s'empara de l'onguent qui était posé sur la table de nuit et en réchauffa une noisette entre ses mains. Doucement, il appliqua la potion sur le haut de son dos et massa jusqu'à ce qu'elle pénètre. Il n'aimait pas les contacts humains, il les détestait. Il n'aimait pas toucher, ni être touché. Mais la sensation de cette peau douce et chaude contre la paume de ses mains le fit frissonner bien malgré lui. Il pouvait percevoir la respiration saccadée de sa collègue. Ses muscles étaient tendus. Elle était sans nul doute effrayée.

Il se sentit obligé de dire :

-« Détendez-vous , Granger, je ne vais pas vous tuer »

Elle soupira et se détendit un peu.

- "C'est juste...bizarre..." dit-elle.

- "A qui le dites-vous", dit-il dans un souffle.

Sentir les mains puissantes de son collègue sur son dos était une sensation étrange...Elle oscillait entre la gêne, la peur et le plaisir. Ses mains étaient certes un peu rugueuses, mais elles étaient grandes et fortes , contrairement à celles de Poppy. Elle sentait que le massage était plus efficace...et plus agréable aussi.

Severus continuait à faire pénétrer la pommade qui devait l'aider à pouvoir respirer. Ce n'était pas si simple car les gestes se devaient d'être précis et de suivre une certaine chorégraphie pour que l'onguent soit efficace. Il se concentra sur les mouvements de ses doigts sans prêter attention à la jeune femme qu'il était en train de masser. Cela faisait tellement longtemps qu'il n'avait plus touché une femme qu'il ne pouvait s'empêcher d'avoir le ventre noué par le stress...il ne devait rien laisser paraître.

Au bout d'une dizaine de minutes, il pouvait sentir qu'elle se détendait et s'apaisait sous ses doigts. La respiration d'Hermione se fit plus douce, moins sifflante. Il l'entendit gémir et soupirer à de nombreuses reprises, ce qui le mit très mal à l'aise. Il essaya de ne pas y prêter attention et continua sa besogne.

Hermione était à moitié endormie et se laissait aller aux sensations qui la submergeaient. La fièvre s'apaisait, ses douleurs musculaires semblaient avoir disparu. Elle ne sentait que les mains puissantes qui la massaient, peu importe à qui elles appartenaient (d'ailleurs, elle avait oublié), elles lui faisaient un bien fou.

Severus était extrêmement embarrassé par la réaction de la jeune femme. Elle semblait avoir oublié sa présence et semblait maintenant se laisser aller totalement sous ses doigts. Ses soupirs le troublaient… La douceur de sa peau le troublait... Le dos de la jeune femme était si frêle, il pouvait sentir ses côtes. Ses épaules étaient étroites, sa taille fine et il pouvait deviner la courbe de ses hanches sous cet affreux pyjama bleu. Jusque là, Granger était juste...Granger...l'insupportable Granger. Mais le fait qu'elle était aujourd'hui une femme, certes une jeune femme de 22 ans, ne lui avait jamais traversé l'esprit avant cet instant très embarrassant. Il détourna les yeux et commença à fixer une araignée qui tissait sa toile devant le vitrail de la fenêtre en face de lui.

Il parvint à se ressaisir et à maitriser ses pensées au bout de quelques minutes et s'écarta alors de la jeune femme… Il lui sembla que ses doigts étaient aussi brulants que la peau d'Hermione.

Le moment le plus délicat était arrivé. Nerveux, il lui ordonna de se coucher sur le dos.

- « Miss Granger, sur le dos. Je n'ai pas que ça à faire ».

Sa voix n'était pas aussi acérée qu'à son habitude et il espérait que la jeune femme n'avait pas remarqué que son timbre avait moins d'assurance que 15 minutes auparavant.

Hermione émergea de sa torpeur et sembla réaliser à nouveau que Severus était dans la pièce. Elle se retourna, et s'assit dans le lit, non sans maintenir les draps sur sa poitrine. Gênée et inquiète, elle demanda:

- "Professeur, j'imagine que cette partie des soins ne se déroulera pas exactement comme avec Poppy...?"

Il haussa un sourcil interrogatif.

-"C'est-à-dire, Granger?"

Hermione parut désemparée de devoir rentrer dans les détails.

-"Et bien, vous savez... J'imagine que vous n'allez pas descendre aussi bas que Poppy...vous savez...sur ma poitrine...", dit elle en baissant les yeux pour ne pas croiser le regard de Rogue.

Severus fut totalement désarçonné et il sentit son cœur manquer un battement. Il aurait du pouvoir anticiper la question mais il lui semblait ne plus être en possession de tous ses moyens depuis 15 minutes. Enervé, par la question de Granger ou par sa propre réaction (il ne savait plus trop bien contre qui ou quoi il était en colère) il répondit d'un ton sec :

-"C'est évident voyons!Pour qui me prenez-vous?!"

Tous les deux sursautèrent intérieurement tant sa réponse fut virulente et, après un silence embarrassant, Hermione reprit un peu de contenance et répondit :

- "Allons-y alors..."

Elle se coucha sur le dos, plaça le drap sur sa poitrine. Une fois couchée, elle s'assoupit légèrement, la potion et l'onguent faisant déjà effet sur elle.
Se concentrant sur la santé d'Hermione, Severus prit à nouveau une noisette d'onguent entre ses mains et la réchauffa. Quand il se sentit prêt, il poussa un soupir et déposa ses mains à la base du cou d'Hermione, qui semblait être à moitié endormie. Il descendit délicatement vers la naissance de sa poitrine, du moins jusque là où la décence lui permettait d'aller. L'onguent devait pénétrer le haut de son thorax et la base de son cou afin de dégager les voies respiratoires. La jeune femme semblait respirer à nouveau correctement et ses soupirs de contentement prouvaient qu'elle se sentait mieux. Les mains de Severus brulaient d'envie de glisser sous le drap, mais fort heureusement pour lui, son mental était d'acier. Il ne pouvait plus rester indifférent et cela le rendait fou de rage. Il se concentra sur sa tâche afin de la terminer au plus vite.

Hermione, à moitié ensommeillée et toujours assommée par la fièvre, se laissa faire, comme tous les soirs. Ce massage était particulièrement appuyé et professionnel. Elle sentait ses poumons se dégager sous l'effet de l'onguent. Elle s'endormit paisiblement avant la fin du massage.

Severus termina aussi vite que possible, rangea les fioles et remonta le drap sous le menton d'Hermione. Il déposa le dessus du pyjama sur les draps, elle s'occuperait bien de se rhabiller seule demain au réveil. En déplaçant la chemise de pyjama, quelque chose tomba...Il se pencha pour le ramasser et l'inspecter avant de se rendre compte qu'il s'agissait d'un soutien-gorge rouge et or en dentelles... Rouge de honte, comme pétrifié à la vue de ce sous-vêtement féminin, il le lâcha aussitôt et se détourna du lit d'Hermione.

Il remit le haut de ses robes et sa cape, lança un charme de réchauffement pour la nuit et rentra à la hâte dans ses quartiers où une douche froide et un Whisky pur feu l'attendaient. Et dire qu'il devait recommencer demain... Il passa la soirée à ruminer contre Pomfresh...Tout en reconnaissant quand même, au bout de quelques verres, que ça ne lui avait quand même pas totalement déplu.


Hermione se réveilla au milieu de la nuit, troublée. Elle se demanda un instant si elle avait fait un rêve étrange ou si, quelques heures auparavant, elle avait bel et bien été massée par Severus Rogue. Quand elle vit le haut du pyjama sur le lit et qu'elle réalisa qu'elle était toujours torse nu (d'ailleurs, où était son soutien-gorge?), elle fut envahie par une drole de sensation : pouvait-elle avoir apprécié un massage, purement professionnel certes, mais réalisé par son collègue le plus redouté (qui était aussi son ancien professeur)? Comment ne pas être mal à l'aise la prochaine fois qu'elle le croiserait dans un couloir entre deux cours, ou à la table des professeurs...? Il restait encore deux jours de soins...quand Pomfresh allait-elle revenir? Autant de questions qui l'empêchèrent de se rendormir avant le petit matin...


A suivre...

Alors, je continue? Une petite review pour me donner votre avis? :-)