OS écrit dans le carde de la huitième nuit du FoF (forum francophone), sur le thème du métro
Disclamer: les personnages appartiennent à Clamp.
C'était bien la première fois qu'elle voyait ça, tout ces gens agglutinés les uns sur les autres ça en était presque fascinant...Elle devait se ressaisir, les persocon n'avaient pas le droit de ressentir ce genre de choses, elles avaient seulement pour fonction de suivre ordres de leur maitre un point c'est tout ! Ça n'allait pas tout du en ce moment elle finissait par se laissé influencer par son entourage…
- Kotoko il faut arrêter de rêvasser! Je vais danser pour te réveiller chantonna une voix on ne peux plus énervante, qui appartenait à une persocon complètement dérangée.
- Sumomo, je t'ai déjà dit d'arrêter de tourner autour de moi comme ça. Ton système doit vraiment être en piteux état...
Cette demande n'arrêta pas pour autant la furie qui continuait sa danse du ventre avec joie, ce qui donna envie à Kotoko de sortir du métro et se jeter sur les rail pour le plus avoir à la supporter.
Une persocon pouvait-elle avoir envie de se suicider ?
Elle sentit qu'on l'attrapait par la peau du dos comme un chaton avant de la déposer sur une épaule, elle s'y accrocha trop contente d'avoir été séparé de son enquiquineuse d'acolyte qui elle reposait sur les épaules de Chii, alors qu'elle même était sur celles d'Hideki.
- Chii, nous sommes arrivé finit-il par dire devant le manque de réaction de la jeune fille. Celle-ci sortit de sa rêverie et prit innocemment la main du jeune homme, ce qui le fit rougir.
Kotoko se permit un sourire devant cette scène, ils étaient tellement adorables ces deux là, tellement éprit l'un de l'autre que leur amour semblait rejaillir dans le cœur de tout ceux qui les approchait.
Le petit être s'étonna de ce qu'il venait de penser, les persocons pouvaient-elles être attendries ?
Depuis qu'elle les avaient rencontré elle ne pouvait le nier quelque chose avait changé en elle. Avant elle pensait que seul les hommes avaient droits au bonheur alors que les ordinateur eux, devaient obéir inlassablement. Elle le pensait toujours d'ailleurs mais au fond de son cœur elle savait, les êtres de son espèce pouvait aspirer à mieux.
Et peut-être qu'un jour ils pourraient espérer accéder à la délivrance.
