A/T : Hey everyone ! Voici encore une autre traduction d'une histoire qui m'a beaucoup fait rire
J'espère qu'elle vous donnera le sourire aussi
Enjoy !
A/N : Ceci est venu en regardant Blame it on The Alcohol, et je me demandé « Que se passerait-il si Burt avait découvert Blaine et Kurt faire quelque chose d'encore, encore, encore pire ? (insertion d'un sourire méchant et maniaque ici)
Et donc, cette fic est née ! (chœur d'alléluia)
C'est rating M, pour un petit peu de garçon-sur-garçon et une montagne de jurons, parce qu'apparemment Kurt et Blaine sont des dieux du sexe )
Oh… être une mouche sur le mur…
Enjoy ~
« Blaine, si tu ne sors pas de la voiture maintenant, je ne vais pas t'embrasser jusqu'à la semaine prochaine. »
Pas besoin de le dire, Blaine sortit de la voiture.
« Mais, Kuuuuuurt ! » geint le plus petit à son nouveau petit-ami. « Aussitôt que nous aurons dit à ton père que nous sortons ensemble, je suis mort ! Mort ! Détruit ! C'est une tragédie ! Wah ! »
Kurt jeta un œil sinistre sur l'adolescent mélodramatique devant lui. « Va juste à l'intérieur. Nous avons encore du temps avant que tout le monde ne rentre à la maison. »
Le couple avança dans la maison actuellement vide. Kurt avait convaincu son père de permettre à Blaine d'assister au diner du vendredi soir. Burt avait été réticent au début, particulièrement parce qu'il savait que ce garçon était le même que l'instigateur de L'Incident de la Conversation sur le Sexe. Ouais, vous connaissez celle-là. Elle a ses majuscules.
Cependant, l'homme bourru avait finalement cédé après que Kurt ait utilisé toute la force de ses yeux de chiot sur lui.
Yeux de chiots.
Personne n'y résistait. Encore moins Burt (et, récemment, Blaine).
« Donc, » commença Kurt tandis qu'ils entraient dans sa chambre parfaitement rangée. « Papa et Carole seront à la maison à 18h. Finn à peu près au même moment, je crois, d'après lui… On ne sait jamais… »
Blaine sourit puérilement, encerclant la pièce avec les bras largement écartés. « Ce que tu es en train de dire là est que, j'ai… » Il vérifia l'horloge digitale sur la table de nuit de Kurt, « … une heure et demi avec mon magnifique, parfait, beau, génial, parfait, fabuleux, parfait, sexy, parfait petit-ami, tout seul ? »
« C'est à peu près ça u-umpf ! »
A ce moment, Blaine s'était jeté sur le délicat garçon avec de la luxure brûlant dans ses yeux, se pressant contre les hanches de Kurt et les jetant tous les deux sur le lit, les lèvres attaquées.
« B-Blaine, qu'est-ce qu- Oh, oh, oh mon dieu ! Ne t'arrête PAS de faire ç-ça ! » Le brun, suçant le lobe d'oreille de Kurt, fut seulement trop heureux d'obéir.
Kurt se décala légèrement, pour avoir un meilleur angle dans lequel il pourrait glisser ses mains sous le t-shirt de Blaine, et laissa échapper un grognement très viril quand l'érection de Blaine rencontra la sienne.
Et bien, plus besoin de se demander pourquoi les gens font ça tout le temps putain. Engh.
Très rapidement, les deux garçons furent réduis à un tas d'hormones, de sueur et de grognements.
« Oh, m-mon mon dieu, Kurt. Pourquoi est-ce que tu es si parfait ? Mffh, » haleta Blaine dans l'oreille du garçon se tortillant, se pressant contre son petit-ami sans vergogne.
Dans un coin de la conscience de Kurt (qui, certes, n'était pas très présente pendant que Blaine faisaitçaputaindedieu.), il enregistra le claquement familier de la porte de la voiture, mais l'ignora comme si c'était rien, au profit de continuer de mordiller lecoulapoitrinel'estomacpartout de Blaine.
Il se demanda paresseusement où était parti son t-shirt tandis que Blaine élevait une main vers l'ourlet de son pantalon, mais laissa tomber car c'était un sujet pour le moment sans importance parce que putaindemerdeblaine.
Donc, naturellement, aucun des garçons n'entendirent le bruit sourd des bottes qui signifiait la présence de Burt Hummel, ni le clip-clop accompagnant des fabuleuses nouvelles chaussures de Carole offertes par Kurt, tous les deux sur le chemin pour saluer les deux garçons qui ils supposaient travaillaient, ou regardaient Raiponce, ou en fait n'importe quoi d'autre que c'esttellementparfaitetjepense quejesuissurlepointdevenir.
« Hey, les garçons, nous sommes à la maison plu- » Ce fut quand la porte s'ouvrit, révélant Burt, avec Carole derrière son épaule, se tenant dans le couloir.
Et, bien sûr, Kurt et Blaine dans les affres du plaisir hormonal adolescent. La main de Blaine travaillait furieusement sous le pantalon de Kurt (qui était toujours sur lui, merci mon dieu pour cette petite faveur), tandis que les yeux changeants du garçon s'écarquillaient et se fermaient, pendant que Blaine se frottait contre la cuisse de Kurt avec abandon, les deux à un instant d'avoir un orgasme glorieux.
Le temps s'arrêta quelques instants.
Okay, un grand moment.
Carole mit la main sur sa bouche, s'ouvrant de choc (et, okay, elle l'admettrait plus tard : vraiment beaucoup d'amusement).
Burt devint lentement mais sûrement d'une couleur rouge qui accompagnait habituellement la mort du petit-ami excité d'une fille. (Ce que… Blaine était effectivement. Ça allait craindre, pensa Blaine en passant.)
Kurt poussa un hurlement d'horreur absolue, sortant une couverture de sous lui et la jetant sur lui-même et Blaine.
Blaine, avec toute la dignité et l'élégance du monde (bien que ses joues rouges foncées indiquaient le contraire), enleva précautionneusement sa main du pantalon de Kurt – maladroitmaladroitmaladroit – et se racla la gorge.
« Et bien, je… M. Hummel… Au moins je ne peux pas le mettre enceinte ? »
Kurt se gifla mentalement.
Carole éclata de rire, s'appuyant contre son mari toujours figé.
Blaine sourit nerveusement.
Et à ce moment, Finn bondit gaiement du haut des escaliers, à la maison plus tôt aussi (pourquoi DIABLE est-ce que tout le monde rentrait plus tôt ? demanda Kurt à personne en particulier).
« Salut, les gars, Rachel devait sortir avec ses pères, donc je suis rentré plus tôt, aussi ! Salut, maman, qu'est-ce qu'il y a pour le diner ? Burt ? Um… Hé, Burt ? Qu'est-ce qu'il se passe ? Est-ce que je peux voir- WHOA PUTAIN DE MERDE OKAY. »
Kurt s'enfonça lentement sous la couverture, gémissant d'embarras. « Portail pour Narnia, apparait… maintenant. Okay, maintenant… Maiiinnntenant. »
Blaine jeta un œil sur Kurt d'un air sceptique. « Au moins ils ne peuvent pas te tuer, » murmura-t-il avec amertume.
Enfin, Burt se racla lagorge, maintenant apparemment capable de traiter avec ce qu'il venait de voir entre son fils et le nouveau perver- petit-ami.
« Carole, est-ce que ça t'embêterait de monter et de commencer le diner ? Rappelle-toi, nous avons un invité, donc fais plus que d'habitude. Je serai bientôt là pour aider. » Carole hocha la tête, jetant un regard curieux à son mari (apparemment, complotant).
« Oui, chéri, » répondit-elle d'un air hésitant, passant devant son fils biologique choqué tandis qu'elle montait les escaliers.
« Finn, » Burt se tourna vers son deuxième fils. « Est-ce que tu sais où je range mon fusil ? Je ne peux pas aller le chercher moi-même. Je dois rester ici et m'assurer que Blaine n'essaye pas de s'échapper par la fenêtre. »
Blaine pâlit.
Kurt pâlit.
Finn grogna de rire et marmonna, « J'ai été heureux de te connaitre, Blaine. Kurt, peut-être que tu devrais évacuer la zone de guerre ? »
Blaine s'enfonça encore plus dans le matelas.
Burt sourit gaiement, faisant un pas dans la pièce. « Maintenant, Blaine… Il est temps pour toi et moi d'avoir une petite conversation. »
A/N : Oh, les choses que je fais à mes deux préférés garçons. Tout ça est fait par amour, je le jure (plus de sourires méchants)
Donc… pour l'instant, c'est un one shit. Toutefois, si assez de gens sons en faveur de ça, je pourrais écrire un two shot qui explique le destin de pauvre M. Anderson et de son adorable petit-ami.
C'est à votre tour les gars !
J'espère que vous avez apprécier, j'ai vraiment appréciez de l'écrire !
