En premier lieu, Il faut dire que l'univers employé ici ainsi que les personnages appartiennent à J.K. Rowling, magnifique auteur qui a créer cet univers, je l'emprunte juste afin de satisfaire un plaisir.

Deuxièmement je tiens à dire que c'est la première fois que je m'attaque à Harry Potter, je ne comptais pas le faire mais le défis que j'ai lancé et qui se trouve en section correspondante me tiraillais. Si d'autres veuillent s'y tenter libre à eux j'adore comparer mes récits à ceux des autre.

Dernièrement vu le style d'univers, j'ai vraiment besoin d'avis et de conseils donc n'hésiter pas à lâcher des reviews.

Cet avis vaut pour tout les chapitre à venir, même s'ils seront lents à venir.

Un coup de téléphone et ses conséquences

Dans un petit quartier anglais nommé Privet Drive, au n°4 de la rue, une famille était présentement dans son jardin entrain d'admirer une voiture neuve. Tout le quartier devait être désormais au courant de cette nouvelle possession car Vernon Dursley, le patriarche de la demeure, utilisait toute la puissance de ces poumons pour bien s'extasier devant sa nouvelle auto. Cette pathétique démonstration était l'occasion rêver pour Harry Potter, hôte in-désiré et indésirable sous ce toit, de récupérer toutes ses affaires qui avait été bouclée dans le placard sous l'escalier des son arrivé en ce lieu.

Pourquoi donc ce jeune homme de bientôt 13 ans se trouve ici si sa présence n'est pas appréciée ? Lui-même ignore la réponse à cette question, si ce n'est qu'il est orphelin et que les Dursley reste le seule famille en vie qu'il possède. Mais pourquoi alors sa ''famille'' enferme toutes ses affaires ? Elle les enferment car se ne sont pas des affaires ''ordinaires''. Il s'agit de grimoires magiques, d'un chaudron, du balai volant, d'une baguette et de toute autre objet aidant à faire de la magie. Mais il faut préciser que Harry Potter est un jeune sorcier effectuant depuis deux ans des études à l'école de sorcellerie Poudlard, et que les Dursley sont des moldus de la pire espèce qui haïsse tout se qui sort de la ''normalité'' et qui vivent dans la hantise qu'on découvre qu'ils hébergent un sorcier.

Mais maintenant c'était l'occasion rêver pour Harry de récupérer ses affaires et d'enfin commencer ses devoirs de vacance. Car on a beau être surnommé le ''Survivant'' et avoir échappé à trois reprise à Lord Voldemort, le mage noir le plus puissant de ce siècle, s'il ne remettait pas ses devoir à temps il était sur qu'il écoperait d'une retenue, principalement du professeur Rogue qui le détestait cordialement. Harry avait tout prévu, il avait découvert une planche escamotable dans le plancher sous son lit qui lui permettrait de cacher ses affaires pendant la journée et il effectuerait ses devoirs la nuit pendant que tout le monde dormait. Du salon Harry entendu que son oncle avait fini de s'échauffer la voix et qu'il commençait réellement son petit jeu, il en conclu qu'il avait une bonne heure devant lui pour forcer et reprendre ses affaires avant que les Dursley ne se lassent de leur occupation. Le survivant se déplaça prudemment vers le placard mais tandis qu'il passait à côté du téléphone celui-ci sonna subitement. Mu par d'incroyable réflexe Harry décrocha prestement le combiné et le colla à son oreille.

-Allo, résidence Dursley, qui est à l'appareil, demanda le jeune sorcier.

-ALLO ? ALLO ? VOUS M'ENTENDEZ ? JE... VEUX... PARLER... A... HARRY POTTER ! Rugit une voix sortant du téléphone.

-Ron ? C'est moi, mais parle moins fort, je ne suis pas sourd, répondit Harry ayant reconnu la voix de son ami.

-HARRY ? C'EST TOI ? TU ES SUR QUE TU M'ENTEND ? Cria Ronnald Weasley, le meilleur ami de Harry.

-Oui, je t'entends mais je t'en conjure arrête de crier, à moins que tu ne veuille me faire tuer par mon oncle.

-Oups, désolé Harry, c'est mieux comme ça ?

-Bien mieux, tu vois pas besoin de crier ! Bon, que me vaut l'immense plaisir de t'entendre braver une invention moldu ?

-Ah oui, que dirais tu de partir en Égypte avec ma famille et moi ? Demanda un Ron passablement excité.

-Tu rigole ? Comment avez vous pu vous payez ça ? Je m'excuse, mais vous ne roulez pas vraiment sur l'or !

-Ne t'excuse pas, tu dis vrai. Mais devine quoi, mon père à gagner le jackpot de de la loterie du Gazette, mille Gallions d'or, on en a suffisamment pour tout organiser. Alors, quand dis tu ? Tu viens ?

-Tu plaisante ? Je serais ravi de venir ! Je ne suis jamais parti à l'étranger et cela me permettra de quitter le Dursley beaucoup plus tôt que prévu ! Mais vous me laissez payer ma part du voyage.

-Harry, Harry, Harry. Tu connais mes parents, jamais il ne te laisserait débourser la moindre noise alors inutile d'insister. Bon, puisque que tu es d'accord je préviens mes parents et on organise tout ça, nous viendrons te chercher ce vendredi 10 juillet à dix heures et le lundi qui suit nous partiront pour l'Égypte rejoindre mon frère Bill. Dumbledore est d'accord et le ministère va nous prêter une voiture. Tu penses que tu t'en sortiras avec tes moldus?

-Je m'en sortirai, je te dis à Vendredi alors? Conclu Harry en raccrochant et en se demandant pourquoi les Weasley avait eu besoin de l'accord du professeur Dumbledore, l'actuel directeur de Poudlard.

Toujours dans ses pensées Harry décida de retourner dans sa chambre pour réfléchir à comment annoncer cette nouvelle à sa famille. Il n'avait plus besoin de forcer le placard pour prendre ses affaires, si tout se passait bien, les Dursley lui ouvrirait eux même la portes dans moins de trois jours.

Le lendemain, au petit déjeuner Harry approcha doucement son Oncle, sachant pertinemment qu'il lui faudrait amener l'idée doucement pour qu'elle soit accepter.

-Heu, Oncle Vernon ? Commença Harry.

-Hum, répondit le dit oncle sans lever les yeux de son journal.

-Que dirais tu si je partirai presque six semaines avant la date prévue, continua Harry, encouragé par ce début positif.

Intéresser Vernon Dursley baissa son journal pour fixer son neveu tout comme le faisait sa femme Pétunia et son fils Dudley.

-Je dirais que cela me procurerait une joie sans commune mesure. Mais que vaudrais ce bonheur. Un fou aurait il décider de t'adopter ou alors des cinglés de ton genre ont décider de créer une pension et de t'y enfermer.

-Non, un ami m'a inviter à passer la fin des vacances chez lui. Répondit calmement Harry après avoir profondément respirer et en omettant volontairement le séjour en Égypte.

-Et que ferais tu là-bas, te prélasser à ne rien faire de ta journée ? Demanda l'Oncle Vernon en faisant des petits yeux méchants.

-Je ne fais déjà rien de ma journée et ça par ta faute. Oh tu sais c'est la campagne là bas de plus c'est une famille nombreuse donc je risque de beaucoup travailler pour les aider. Continua Harry en repensant à son séjour au terrier de l'année passer ou il s'était beaucoup amuser.

-Mouais, et je suppose que je devrais t'y conduire.

-Non, non pas du tout, ils viendraient me chercher en voiture.

-Bon, du moment que tu me débarrasse le plancher c'est d'accord, tu peux y aller. Fit Vernon en retournant à son journal.

-Merci, ils viennent me cherchez ce vendredi à 10h. Termina Harry en sortant de la cuisine.

-QUOI !

Les trois jours suivant furent tranquille pour le jeune sorcier qui ne sortit presque pas de sa chambre et qui s'amusait des marmonnement de son Oncle furibond de s'être fait manipuler. Le jeudi soir Vernon rugit à Harry qu'il avait une heure et pas une seconde de plus pour débarrasser le placard de son bazars de cinglé. Le lendemain à huit heure après un petit déjeuner qui n'en méritait à peine le nom, Harry fut jeter sur le perron avec toute sa malle. Sans s'en faire particulièrement, il profita de l'air frais du matin en attendant l'arrivé des Weasley. Quand 10h sonnèrent arriva dans un silence parfait une magnifique voiture qui se gara devant le 4 Privet Drive et d'où sortit Arthur Weasley, le père du meilleur ami de Harry.

-Harry ? Que fais tu déjà dehors ? Demanda M. Weasley en s'approchant de Harry

-Et bien on peut dire que je me suis fais jeter dehors il y a deux heures maintenant. Lui répondit ce dernier en s'avançant tout en trainant sa malle.

-Quoi ? Tu veux que j'aille m'expliquer avec eux !

-Non, non, ce n'est pas grave, je dirais même que ça m'a fait plaisir.

-Si tu le dit. Bon près pour partir pour l'Égypte. Fit M. Weasley tandis qu'un employé rangeait la valise de Harry dans le coffre de la voiture.

-Plus que tout au monde. Répondit Harry avec un grand sourire.