Alors alors...

Bonjour ! Ceci est ma toute première fanfiction, mon premier vrai écrit publié.

Je précise que cette fic contiendra du yuri, peut-être quelques lemons bien que je n'écrive pas mon histoire pour cela, homophobes s'abstenir.

Je ne suis pas très sure de moi en postant cela, alors surtout si vous avez un avis, n'hésitez pas a me le donner cela me permettra d'avancer et d'évoluer :)

Disclaimer : Seule l'histoire, l'OC et autres personnages inventés en cours d'histoire sont a moi, le reste appartient à J.K.R. que je respecte énormément.


Chapitre 1

Cela faisait maintenant plusieurs semaines que le froid dévorant de l'hiver s'était installé, et lorsque la pluie contenue dans les lourds nuages gris et noirs, stagnant au dessus de Londres s'abattait à son tour on aurait pu jurer que des détraqueurs étaient de sortie.

C'est pourtant sous ces intempéries plus qu'éprouvantes qu'une ombre encapuchonnée se pressait sur le chemin de traverse, pestant pour la énième fois contre les pavés glissants de la grande rue déserte.

Peinant presque à progresser à chaques rafales de vent mais sans se décourager, elle avançait et s'engouffra rapidement dans le hall de la prestigieuse Obscurus Books.

Abaissant la capuche de sa robe, la jeune femme s'ébroua a l'entrée et frissonna d'aise en sentant l'air réchauffé du grand hall, rassembla les quelques mèches brunes s'étant échappées de sa queue de cheval et collant a son visage puis se débarrassa rapidement de sa cape en l'accrochant au porte manteau a séchage magique.

Soupirant de lassitude elle s'avança jusqu'à l'accueil pour s'annoncer a la secrétaire, qui l'annonça a son tour a Lulius Worme, son éditeur.

- Miss Parkinson est arrivée monsieur.

En arrivant dans le bureau de l'homme d'affaire la jeune femme sût tout de suite qu'elle n'aurait pas du venir. A ses cotés se tenait Terry Bott, le gérant a l'aspect bourru de la librairie Fleury & Bott et Amanda Skeeter, la jeune journaliste blonde au sourire narquois agaçant, à peine moins vulgaire que sa mère dont visiblement elle n'avait pas hérité que le goût des potins. réfrénant une moue dégoûtée devant la journaliste aux goûts douteux elle s'installa sur l'invitation de Mr. Worme, qui prit d'ailleurs la parole.

-Bien, puisque Miss Parkinson est enfin parmi nous, nous pouvons continuer notre...

-Non. Interrompit la jeune femme.

-Non ?

-Sauf le respect que je dois à mon très cher éditeur, j'ai déjà exprimé ma volonté de me tenir loin de mes lecteurs, et ce à de multiples reprises. Or, si monsieur Bott est ici en compagnie de la «charmante » Miss Skeeter, je me doute de vos intentions, et je me refuse a toutes séances de dédicaces, surtout si ces dernières doivent être relatées par cette... Journaliste, termina t-elle avec un vague mépris.

Bien que la concernée recomposa assez vite son masque de professionnalisme la jeune femme fût satisfaite de son petit effet, et repris la parole pour casser le silence qui venait de s'installer.

-Si vous ne m'avez appelée que pour cela vous auriez tout aussi bien fait de m'envoyer un hibou, me faire déplacer par un temps pareil n'est vraiment pas malin de votre part Lulius.

-Si je vous ai faite demander c'est également pour parler de votre prochain livre Miss, mais nous y viendrons, plus tard en privé. L'homme se leva et se mit a faire les cent pas, cherchant comment avancer son argumentaire.

-Avant de refuser, il faut que vous sachiez que le public aimerait beaucoup faire votre connaissance, constater par eux même votre... existence. Vos ventes s'inscrivent dans les anales de notre maison, a chaque livre de plus en plus de vos fans vous écrivent par notre intermédiaire pour demander à vous rencontrer. Pensez à tout ce que cela pourrait vous rapporter ! De plus un article pourrait vous valoir un tout nouvel engouement de la part de vos lecteurs, qui disont le franchement, restent sur leur faim après les révélations faites l'été dernier.

La jeune femme vit rouge a l'entente de ces derniers mots, fusillant du regard l'amatrice de ragots se leva d'une traite et haussa le ton.

-Si cette ersatz de journaliste n'avait pas empiété sur ma vie privée, et ce avec votre concours je n'aurais nullement besoin de me présenter en publique pour démentir vos élucubrations ! Vous avez de la chance que mon contrat de ne me permette pas de vous attaquer en justice après ce manque évident de respect envers ma personne !

-Oh ! Fit la journaliste avec un air choqué. Je vous signalerait Miss Parkinson que mon article est tout a fait fondé ! Et vous même par votre attitude vo...

-Mais je n'en ai rien à faire que ce soit fondé ou non ! Le fait que je vive « en marge de la société » ou que je n'utilise pas la magie ne regarde que moi, fulminait la jeune femme.

Voyant la situation lui échapper l'éditeur s'excusa auprès de ses deux collaborateurs avant de les congédier et se tourna vers son auteur fétiche a la mine résolue et renfrognée. Bon sang, il n'y avait vraiment que ce petit bout de femme qui pouvait le faire plier a ce point, il se rassit a son bureau pour parler a sa petite protégée des modalités de sorties de son prochain livre en évitant soigneusement de parler de sujets qui fâcheraient.

Lorsqu'enfin l'entrevue fût terminé, la jeune femme, forte de son nouveau refus récupéra sa cape et sortit après avoir inspiré un grand coup, se retrouvant a nouveau dans le froid brutal de la rue privée de ses jolies couleurs, elle se dirigea à grand-peine vers les trois balais pour se retrouver du coté Moldu.

Le contraste entre le chemin de traverse déserté et la vie continuant du coté moldu avec toutes leurs voitures et les passants tenants leurs parapluies, les lumières des différentes rues animées par le bruit et le mouvement était saisissant.

Après avoir marché quelques mètres pour se retrouver dans une ruelle non fréquentée elle saisit sa baguette -qui ne servait plus qu'a cela désormais- en l'air pour voir apparaître le magicobus quelques secondes plus tard.

Elle donna comme a son habitude une adresse a quelques rues de chez elle et partit s'installer dans le fond du transport magique, tentant de ne pas ruminer ce déplacement inutile. Bien sur, son éditeur savait parfaitement qu'elle avait fait condamner sa cheminée mais ça ne l'avait pas empêché de la faire venir.

Il ne fallut pas plus de quelques minutes au bus pour se rendre a destination, et elle ne fut que trop soulagée de pouvoir enfin descendre. Tout en resserrant sa cape un peu plus contre elle, elle se remit en marche et après plusieurs minutes, sentant clairement une présence magique toute proche elle se retourna, elle ne vit personne et sentant comme un malaise, elle pressa le pas, son entretient a propos d'une apparition en publique l'ayant rendu nerveuse.

A quelques pas de sa maison alors qu'elle allait pénétrer dans son périmètre de sécurité, une petite voix fluette attira son attention elle se retourna, et c'est avec surprise que la jeune auteur découvrit derrière elle une elfe de maison minuscule, avec ses grands yeux globuleux, toute fripée avec le vieux torchon caractéristique pour seul vêtement.

-Mais qui ?

-Misty Miss, se mit a couiner l'elfe, Misty requiert votre aide Miss !

La jeune femme méfiante s'approcha à pas de loup, prête à déguerpir rapidement pour se retrouver dans son cocon sécurisant au plus vite

-Que... Qu'est ce que je peux faire pour... vous ?

-Misty va vous montrer Miss, dit l'elfe en s'avançant pour saisir la manche de la sorcière, les faisant transplaner sans prévenir. Surprise, la jeune femme eu le tournis en arrivant et se pencha de justesse pour rendre son déjeuner sur le trottoir n'étant plus du tout habituée au transplanage, et en se redressant elle regarda tout autour d'elle pour voir ou ils avaient atterris, ce n'est qu'en suivant le regard de l'elfe que la jeune femme eu un hoquet interloqué.

Dans petit renfoncement de la ruelle, une fille aux cheveux blancs, grelottante le visage émacié, le regard gris clairement vide, peut être de trois a quatre ans plus jeune qu'elle, les lèvres bleutées, vêtue en tout et pour tour d'une cape qui avait pourtant l'air d'excellente facture gisait a même le sol.

-Merlin ! Mais qu'est ce que cette... Pourquoi ne l'avez vous pas emmenée à Sainte Mangouste !

-Misty ne peux pas Miss, Misty protège son amie, L'amie de Misty n'est pas en sécurité a Sainte Mangouste !

Mais qu'est ce que voulez vous que je fasse ? Je ne vais quand même pas la... La jeune femme se stoppa et réfléchis un instant, comprennent petit a petit ce qui semblait se tramer dans la tête de l'elfe.

-Est ce que vous savez qui je suis?

-Misty sait Miss, Misty ne peux pas laisser son amie se faire retrouver, Misty a entendu parler de l'auteur que l'on ne peut retrouver, Misty sait que seule la magie des elfes de maison pouvait vous trouver, si les maîtres la retrouvent les maîtres la tuerons.

La jeune femme fût troublée en portant jetant un œil sur la fille aux cheveux blancs, il n'était pas dans ses habitudes de faire dans la charité et les contacts humains n'étaient pas son fort. De plus la situation lui échappait et elle ne le supportait pas, mais en la voyant si misérable elle ne put s'empêcher d'avancer vers elle avec prudence, ayant la conviction qu'elle avait dû passer par des moments très durs. Lorsqu'elle s'approcha ses soupçons furent confirmés lorsqu'elle la vit tressaillir en gémissant de peur.

Elle tentait de s'imaginer ce qu'elle avait bien pu traverser pour se retrouver dans un tel état, elle pouvait voir a travers les pans de la cape le corps nu de la jeune femme, couvert de bleu et d'hématomes, elle ne voulait pas se mêler de ça mais elle ne pouvait pas non plus rester sans rien faire, elle n'était pas insensible a ce point.

Peut être qu'après avoir mit les choses au clair elle pourrait contacter Sainte-mangouste, ou un psychomage et se débarrasser d'elle. Mais pour l'instant il fallait parer au plus urgent, si elle restait ici elle allait finir par mourir de froid, ou alerter tout le quartier et les moldus risquaient de rapidement devenir un problème.

Elle tenta d'attraper la fille pour l'aider à se déplacer mais cette dernière avait soudainement retrouvé sa vigueur et se débâtait comme une diablesse en tentant de crier, bien qu'aucun articulé son ne sortait de sa gorge violacée.

-M.. euh... Misty, je vais avoir besoin de votre aide, je ne crois pas qu'elle me laissera faire.

L'elfe de maison hocha la tète d'un air résolu et d'un claquement de doigt fit transplaner le corps de son amie et la jeune brune juste a l'endroit ou elle l'avait interpellée quelques instants plus tot, devant un endroit isolé, qui ressemblait à s'y méprendre a un terrain vague. La sorcière prit la parole a voix haute après avoir vérifié que des oreilles indiscrètes ne traînaient pas dans les parages.

-Le domicile de Pansy Parkinson se trouve au 71 E Heath Road, Londres.

Sous les yeux de l'elfe la demeure de l'écrivain se matérialisa peu a peu.

En voyant que l'elfe ne fut pas surprise l'ex Serpentarde en déduisit que l'elfe devait venir d'une famille aussi précautionneuse, et sûrement pas très claire, peut être une de ces familles de sang pur gavée de magie noire aillant échappés a la vindicte de l'après guerre, ce qui ne fit que renforcer sa méfiance.

Mais en tant que gardienne de son propre fidelitas elle fut tout de même moins inquiète, personne ne pourrait pénétrer chez elle sans connaître le secret et l'elfe ne pourrait ni divulguer le secret, ni faire transplaner une autre personne, il suffirait de garder un œil sur ces deux la. Elle fit entrer l'elfe et son amie dans le corridor.

-Les chambres sont a l'étage, celle du fond est a moi, toutes les autres sont des chambres d'amis, allez l'installer je vais préparer un thé.

Pendant que l'elfe obéissait, elle se dirigea non pas vers la cuisine mais vers le salon, déposa sa cape sur un fauteuil se dirigea vers sa commode et ouvrit un tiroir pour en sortir son Beretta M92, vérifia qu'il était bien chargé, fit monter une balle dans la chambre d'un mouvement de la culasse, que le cran de sûreté était bien mis et le dissimula dans la ceinture de sa jupe avant de rabattre son pull par dessus.

Lorsqu'elle monta a l'étage avec son plateau elle appela l'elfe pour savoir dans quelle chambre ils étaient installés, et avança prudemment pour déposer le petit plateau sur la table de nuit puis reporta enfin son attention sur la jeune femme étendue dans le lit, les yeux clos elle semblait sereine, bien qu'encore très pale, elle fut tirée de sa contemplation par l'elfe qui poussa un petit couinement pour attirer son attention.

-Misty vous remercie pour votre aide précieuse, Misty doit retourner chez son maître maintenant.

-Quoi ? Mais attendez, qu'est ce que vous voulez que je fasse d'elle ? Je ne suis pas médicomage !

-Misty est sincèrement désolée, si Misty ne rentre pas le maître saura que Misty a aidé son amie à fuir, Misty a déjà désobéi, Misty ne pourra plus revenir, s'il vous plaît, prenez soins de l'amie de Misty.

L'elfe s'apprêtait à claquer des doigts mais la maîtresse de maison avait encore mille questions à lui poser.

-Attendez ! D'où est ce que vous venez ? Qu'est ce qui l'a mise dans cet état ? comment s'appelle t-elle ? Qui sont vos maîtres ?

Mais l'elfe ne lui renvoya qu'un regard désolé emprunt de tristesse avant de claquer des doigts et de disparaître. La jeune femme s'assit sur le bord du lit en se prenant la tète entre les mains en expirant bruyamment...

-Qu'est ce que je vais bien pouvoir faire de toi...

Sans attendre de réponse elle ajusta les couvertures et quitta la chambre pour retourner a la sienne pour s'installer a son ordinateur et envoyer un mail a Hermione Granger, en tant que psychomage et amie elle saurait sûrement quoi faire.

Dans l'attente d'une réponse elle se remit au travail pour trouver une suite a un chapitre particulièrement coriace, l'elfe ayant choisi une chambre attenante a la sienne, si sa pensionnaire se réveillait elle pourrait l'entendre, son arme a feu avec elle, elle ne risquait pas grand chose.

Après trois bonnes heures les yeux rivés sur son écran à attendre l'inspiration elle poussa un soupir de frustration et sauvegarda sa misérable page d'écriture avant de se lever en s'étirant comme un chat, puis se décida à retourner voir la belle au bois dormant...

Plus si dormante que cela: En entrant dans la pièce elle regardait la jeune femme qui s'était levée pour s'installer dans le fauteuil près de la fenêtre, les genoux repliée sur elle même, caressant du bout des doigts une sorte de collier en cuir autour de son cou.

Son regard vide se porta vaguement sur la nouvelle arrivée, et la brunette se sentit étrangement mal en contemplant ce spectacle désolant.

La jeune femme qui se tenait devant elle bien que jolie avait un visage émacié, sa maigreur et le teint pâle qu'elle arborait étaient presque cadavérique et ses longs cheveux blancs qui tombaient en cascade autour d'elle qui devaient atteindre ses reins étaient sales et abîmés.

Puis observant la nudité de la jeune femme elle s'avança avec prudence avant de se stopper a quelques mètres en entendant le gémissement peureux de sa pensionnaire, reculant prudemment d'un pas.

-Euh... Bonjour ?

-...

-Écoute, je... Je ne pense pas que ce soit très prudent de te lever, et encore moins dans cette tenue, tu semble avoir besoin de... de repos, et je vais te chercher quelque-chose à te mettre sur le dos.

-...

La brunette retourna en vitesse dans sa chambre pour prendre a la hâte un T-shirt et un bas de pyjama dans ses affaires et revenir dans l'autre chambre et les déposer sur le lit.

-Je ne vais pas te faire de mal, je pense pouvoir dire que tu es en sécurité ici. Réinstalle toi au lit, je vais te réchauffer ton thé.

Une fois de plus sans attendre de réponse elle se dirigea vers le petit plateau et ressortit de la pièce. Une fois dans la cuisine elle remit le thé dans la bouilloire et la remit sur le feu.

En regardant l'heure sur le four elle se rendit compte qu'il était maintenant assez tard, elle se tourna donc vers ses placards pour en sortir deux portions de Nouilles chinoises sautées au bœuf à préparer au micro-onde, les mit à réchauffer et retourna auprès de sa bouilloire pour vider le thé et le remplacer par de l'eau préférant pour la circonstance une infusion relaxante.

Lorsqu'elle remonta avec son nouveau plateau elle trouva la jeune femme dans le lit, les yeux rivés au plafond, elle s'éclaircit la gorge pour signaler sa présence et la vit se tendre , elle approcha doucement pour ne pas l'effrayer et posa son plateau avant de reporter son attention sur elle.

Elle s'assit au bord du lit, esquissant un mouvement lent pour ne pas l'effrayer vers elle, dégageant ses mèches folles et mieux voir son visage, elle paraissait encore bien pale.

-Je ne vais pas te faire de mal, j'aimerais juste que tu m'en dise un peu plus sur toi.

-...

-Peux tu juste me dire comment tu t'appelle ?

-...

-Bien, je ne vais pas te forcer à parler, mais tu vas au moins manger quelque-chose, ton amie Misty semblait vraiment inquiète pour toi, tu ne voudrais pas qu'elle le soit d'avantage ?

Serpentarde dans l'âme, la jeune brune reteint un petit sourire en quoi lorsqu'elle vit son invitée esquisser un léger mouvement de la tête en signe de négation, elle s'empara d'une des boites de nouilles et de ses baguettes et entrepris de donner la becquée a sa patiente, qui contre toute attente se laissa faire docilement.

-Attention c'est brûlant, et ne va pas t'étouffer ton amie en ferait une syncope.

-mmMmmm...

-Moi c'est Pansy.

-Je...

-Oui ?

Mais la demoiselle rougit avant de se murer a nouveau dans le silence, l'agacement devant sa propre impatience fit soupirer la brunette, puis elle continua comme si de rien n'était, ayant l'impression de jouer a la dinette avec une poupée.

-Tu ne risque rien ici, ma maison est isolée du reste du monde, tu es libre de partir lorsque tu le voudras, j'aurais juste aimé savoir dans quoi je me suis embarquée.

-... Pa.. pardon...

-Pardon ? Non écoute, ça ne me... dérange pas, c'est juste que... ce n'est pas quelque-chose qui m'arrive tout les jours et, je n'ai pas vraiment l'habitude de voir des gens chez moi.

Après avoir finit le repas dans un quasi silence, la pédagogie n'ayant jamais fait partie de ses talents, la jeune femme débarrassa tout en laissant la petite tasse d'infusion.

-Tu devrais boire ça avant de dormir cela t'aidera a te détendre, si tu as un problème je serais dans la chambre d'à coté.

Elle sortit donc de la chambre en laissant la porte ouverte, descendit en cuisine débarrasser le tout dans l'évier et partit au salon allumer le feu pour chauffer un peu plus la maison avant de remonter dans sa chambre pour retourner devant son ordinateur, déposant son arme a coté de sa souris, sa méfiance n'étant qu'à moitié retombée devant le visage innocent de son invitée.


Note :

Voila pour le premier chapitre, le prochain chapitre est en cours d'écriture a l'heure actuelle, et sera surement livré la semaine prochaine.

J'espère que vous avez apprécié, encore une fois n'hésitez pas à donner votre avis, quelques mots suffisent.

Merci de m'avoir lue :)