Coucou c'est moi!
Et bien voilà! J'en mourrais d'envie, je l'ai fait! (lol comme si c'était un prodige)... je vais vous raconter ce qui, selon moi, c'est passé entre Bill Weasley et Fleur Delacour...
Vous verrez tout ça du point de vue de Fleur, parce que j'ai été inspirée et que je voulais un peut changer... j'ai essayé d'être le plus fidèle possible à la description des personnages de JK Rowling, mais comme le caractère de Fleur et Bill n'est pas vraiment développé, je l'ai un peu arrangé à ma sauce (sa promet! lol)
J'ai fait une Fleur comme je la vois moi et j'ai un peu mais alors rien qu'un tout petit peu modifié l'histoire de la talentueuse JK Rowling!
Enfin voilà, je me tais! Place au chapitre!
Bonne lecture,
Bisous lillyjade
1. Tout commence
Je m'appelle Fleur. Fleur Delacour. Je suis française. Plus précisément, je viens de Marseille, une très belle ville au sud de la France. Je suis également une sorcière. J'étudie à l'académie de Beauxbâton, dirigée par Mme Maxime, à Paris.
Ma famille est ce que beaucoup appelle une famille bourgeoise. Nous avons de l'argent mais nous ne le montrons pas à tors et à travers. Enfin sauf depuis la mort de maman. J'avais 6 ans, elle allait avoir un bébé. Je l'ai vu partir pour l'hôpital avec papa. Mais je ne l'ai jamais vu revenir. Papa était seul, seul avec ma petite Gabrielle. Elle ressemble beaucoup à maman d'ailleurs. Au grand damne de Samantha. Samantha, c'est la nouvelle femme de papa. A peine six mois après que maman nous est quitté, Samantha fit irruption dans notre vie. Je me doutais bien que papa ne resterais pas seul longtemps, après tout il n'avais même pas 30 ans, mais pas si tôt et pas avec elle. Je ne l'ai jamais aimée et elle me l'a toujours bien rendu. Gabrielle non plus ne l'a jamais portée dans son cœur, pourtant elle l'a toujours connu comme étant sa mère. Insistez bien sur le « comme ». Samantha ne c'est jamais comporté comme une mère pour nous. Au mieux elle nous ignore, au pire elle nous rabaisse de toutes les façons possibles et imaginables.
Lorsque j'ai eu 11 ans, Mme Maxime est arrivée à la maison et a dit à papa que j'avais assez de talent pour pouvoir être acceptée dans son école, tout comme maman et grand-mère avant moi. Mais bien sur Samantha si est opposée. Elle disait qu'elle refusait de payer, avec l'argent de mon père bien entendu, pour que j'apprenne des choses inutiles. Que je me trouverais un riche mari, qu'il leur paierait une dote pour m'épouser et que j'élèverais nos enfants, comme toute bonne fille de famille aisée, sans avoir besoin de me rabaisser à travailler.
« Tu es une vélane ! Tu n'auras aucun mal à te trouver un mari convenable ! » Ne cessait elle de me répéter.
Oui, j'allais oublier. Comment ai-je pu !
Vous remarquerez qu'elle ne m'a jamais dit « tu es belle ». Non elle préfère toujours rappeler ma nature à tout bout de champs.
Oui je suis belle ! bien sur que je suis belle ! Je suis une vélane ! Je suis forcement belle ! En fait, grand-mère était une vélane. Moi je ne suis qu'une demi vélane. Gabrielle aussi d'ailleurs.
J'ai de longs cheveux blonds argentés qui arrivent à ma taille, de grands yeux bleu foncé et de belles dents bien blanches et bien droites. Alors oui je suis belle ! Mais je suis une vélane.
Oh ! Oui je sais ce que vous allez me dire ! « Ne te plein pas ! Tu as la vie facile ! »
Oui, oui j'ai la vie facile. Trop facile. Je suis intelligent, sorcière, j'étudie dans l'une des meilleures écoles de magie du monde, j'ai énormément de prétendants…
Le voilà le problème ! Mes prétendants ! Sûrement les plus beaux garçons de Beauxbâton. Mais voilà, tous ces garçons ne m'aiment que parce je suis belle. Mais aucun ne m'aime pour ce que je suis. Samantha me dit souvent : « arrête de te plaindre ! Ils n'ont pas besoin de t'aimer pour ce que tu es ! Du moment que l'un d'eux t'épouse ! » Tu parles !
En même temps, je me demande comment un homme pourrait m'aimer pour ce que je suis étant donné que personne ne me connaît vraiment. Personne sauf Gabrielle. Il n'y a qu'avec elle que je suis vraiment moi-même. Depuis que Samantha est là, je me suis construit une carapace. Pour les gens, je suis glaciale, orgueilleuse, suffisante…
Vous allez me demander pourquoi ? Et bien je vous répondrais que je n'en sais rien. Sûrement pour me protéger. Mas de quoi ?
Et bien du monde, des gens…
Mais vous ne pouvez même pas imaginer à quel point j'aimerais que quelqu'un arrive à percer cette carapace de froideur et de solitude.
Peut être qu'un jour… peut être…
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Aujourd'hui, nous sommes le 24 juin. L'année est bientôt terminée. Année que je n'ai pas passée à Beauxbâton… non cette année, je l'ai passée au collège Poudlard en Angleterre pour le tournois des trois sorciers. Se que ce pays peut être froid ! Il fait beaucoup plus chaud à Marseille !
Enfin voilà, j'ai été désignée comme championne pour représenter l'académie durant trois tâches, trois épreuves plus dangereuses les unes que les autres.
J'étais plus qu'heureuse ! J'allais enfin pouvoir monter à tout le monde d quoi j'étais capable ! J'allais pouvoir le montrer à Samantha ! Malheureusement pour moi, tout ne se passa pas comme prévu. Au lieu de 3 champions il en eu 4 ! Le jeune Harry Potter ! Trop jeune selon moi pour une telle chose ! Mais c'est sûrement lui qui s'en est le mieux sortit ! Il est brillant.
Quant à moi… quant à moi, je n'ai rien fait de bien durant tout ce fichu tournoi !
Lors de la première tache, il m'a fallu prendre un œuf doré à une dragonne déchaînée ! Je l'ai envoûté et elle a fini par s'endormir. Jusque là tout allait bien mais elle s'est mise à cracher des flammes et a mis le feu à ma robe. Bien heureusement, je connaissais un sort pour éteindre ce feu et tout s'est à peu prés bien terminé.
Ensuite est venue la seconde tache.
Cette fois là, j'ai vraiment eu peur. Je devais aller sauver ma petite Gabrielle au beau milieu du grand lac noir. Mais je me suis faite attaquer par une bande de Starngulots à mis chemin et j'ai étais obligée de remonter à la surface. Sans Gabrielle. Mais grâce au ciel les jeunes Harry Potter et Ronald Weasley l'on sortit de cet enfin liquide. Je ne leur serais jamais assez reconnaissante.
Et ce soir, c'est la troisième tache. Ils nous on montrer le labyrinthe dans lequel on va devoir aller ce soir, une fois la nuit tombée. Et croyez moi ou non, il fait froid dans le dos. En le voyant, je me suis immédiatement demander quelles genres de créatures nous y attendais.
Mais ce matin, ce fut le coup de grâce pour moi.
Mme Maxime est venue me réveiller, elle a dit qu'elle avait une surprise pour moi. Alors je me suis levée, préparée et je l'ai suivi. La connaissant, je m'inquiète un peut quant à la nature de cette surprise. En ce moment même je suis derrière elle dans le château. Que va-t-il encore m'arriver !
Et bien croyais moi ou non, cette surprise n'était pas si mauvaise… quoi que…
Je la suis toujours. Elle me fait entrer dans le grande salle où nous prenons nos repas et se dirige vers cette petite porte dans le fond par laquelle nous somme passer lorsque nous avons été sélectionner en temps que champions. Lorsqu'elle ouvre la porte je n'ai pas le temps de voir ce qui l'y a à l'intérieur qu'une tornade blonde m'a déjà sauté dessus. Tornade que je reconnais comme étant ma petite Gabrielle.
Je suis folle de joie et je la serre fort contre moi ! Et ma joie ne fait qu'accroître lorsque je vois papa qui me souris tendrement mais elle diminue nettement lorsque j'aperçois Samantha avec ses grands airs de bourgeoise coincée. Je m'avance malgré tout vers eux, leur faisant mon sourire habituel qui passe pour tendre aux yeux de mon père mais pour démoniaque aux yeux de sa femme.
Papa me serre dans ses bras :
Je suis si fière de toi ma Fleur ! me dit il, et je suis certain qu'Ariane aussi aurais été très fière !
Ariane Delacour, ma mère. Bien sûr qu'elle aurait été fière de moi ! Elle été fière de tout ce que je faisais.
Enfin Mathieu ! S'indigne Samantha, cette petite n'a rien fait d'extraordinaire ! Il n'y a pas de quoi s'extasier devant elle !
Mais bien sûr que si !
Tiens, c'est Gabrielle qui prend ma défense aujourd'hui.
Elle a combattu un dragon et elle est venue me chercher dans le grand lac !
Gabi, Gabi, Gabi… ce dragon a faillit la tuer ! il a mis le feu à une tunique de soie hors de prix et elle…
Mais je n'écoute plus ce qu'elle dit. La porte viens de s'ouvrir et le jeune Harry Potter entre dans la pièce. Je lui fait mon plus beau sourire et un petit signe de la main qu'il me rend. Et c'est là que je LE vois. Harry se dirige vers lui. Lui et la femme qui l'accompagne. Cette dernière le prend dans ses bras comme une mère et lui dit des « mon chéri » ou des « que tu est maigre ! Tu es sûr que t mange bien ? » Et lui il rit.
Plus rien n'existe alors autour de moi à part lui.
Grand, une longue chevelure rousse nouée en catogan, une boucle d'oreille qui semble être une griffe ou bien un crochet de serpent. Oui c'est un crochet. Et ses yeux ! Aussi bleu que les miens mais nettement plus clairs. Il est fasse à moi et je peut le détailler. Il a un visage fin mais viril avec quelques taches de rousseurs par ci par là… il est beau… non plus que beau…
Son visage me rappelle vaguement quelqu'un. Mais oui c'est Ron ! Il me rappelle le jeune Ron ! Celui qui a sauvé Gabrielle ! Peut être qu'ils sont de la même famille ?
Il dit alors à Harry qu'un certain Charly aurait bien voulu venir…
Cette voix…
Seigneur mais qu'est ce qui m'arrive ! Pourquoi je suis en extase devant lui ! Rien que sa voix me fait un drôle d'effet. Il regarde alors quelque chose dans ma direction.
Oh mon dieu mais c'est moi qu'il regarde ! Moi qui ne le lâche pas de yeux depuis tout à l'heure, en admiration devant lui ! Il a du s'apercevoir que je m'était enfin rendu compte de son regard à lui sur moi et il me souri. Et quel sourire ! Je sens mes joues me brûler ! Seigneur mais je rougis ! Est ce que quelqu'un va enfin me dire ce qu'il m'arrive ! Je ne rougis jamais !
Il me fait alors un petit signe de la main comme pour m'indiquer quelque chose derrière moi. Je ne comprends pas. Et tout à coup c'est le flash ! C'est Samantha, rouge de colère qu'il me montre. Elle m'a appelé une bonne dizaine de fois sans que je lui réponde, trop prise dans ma contemplation du magnifique rouquin. Quelle honte !
Je me tourne alors vers elle à contre cœur. Elle avait remarqué que je regardé le jeune rouquin avec intérêt. Elle le regardé à présent elle aussi. Mais pas avec intérêt, non, avec haine et dégoût. Un regard typiquement Samanthanien en somme.
Elle dit alors à voix basse, mais pas assez basse pour que lui, sa mère, je suppose qu'elle est sa mère elle est aussi rousse que lui, et Harry n'entendent pas :
Un paysan ! Lamentable ! Non mais regarde ses vêtements et puis ses cheveux ! C'est insensé ! Vraiment aucune gène !
A ce moment là, c'est elle qui n'avait aucune gène. Elle se retourne alors vers nous et ajoute :
Sortons d'ici ! Je ne tiens pas à me mélanger à des gens comme eux !
Papa, lui, met un bras autour de mes épaules, lève les yeux au ciel de consternation, me fait un sourire et m'entraîne vers le jeune rouquin. Je pris silencieusement pour qu'il ne s'arrête pas devant lui, pour qu'il passe son chemin. Je n'ai même pas le courage de le regarder en face après ce que viens de faire Samantha ! Mais non, papa s'arrête en face de lui ! Qu'elle honte ! Que doit il penser de moi ! Et bien sur, pour couronner le tout, papa ne parle pas un mot d'anglais ! Je sais qu'il veut excuser l'attitude de sa femme et je sais aussi que c'est moi qui vais devoir le faire ! Foutu barrière de langues ! Pourquoi à t il fallu que mon père n'est jamais écouté ses cours d'anglais lorsqu'il était jeune !
Hum… je…
Et voilà ! Sa y est je me met à bafouiller. Il ne manquer plus que ça !
Je… je suis désolé… veillez l'excuser… je suis vraiment désolé !
Je n'ose même pas le regarder. Je sens alors qu'une main me relève le visage. C'est lui ! Oh mon dieu ! Je suis sure que tout le château peut entendre mon cœur battre ! Il me souris et me dit doucement :
Ce n'est rien… passez une bonne journée…
Il prend alors ma main et l'embrasse ! Vous savez le baise main comme au cinéma moldu ! Seigneur si papa ne me retenait pas je me serais très probablement évanouie ! Toujours avec le sourire, il fait un signe de tête à papa qui le lui rend avec un sourire malicieux. Je n'aime pas vraiment ce sourire chez lui. Il signifie qu'il ne va pas me lâcher sur le fait que je me suis mise à bafouiller et à rougir. Et nous sortons. Je vois derrière nous, la petite femme rousse me regarder sévèrement.
Je sais ce qu'elle pense. Que je suis exactement la même que Samantha et que mon père m'a obligé à l'excuser. C'est ce que pensent la plupart des gens. Une fois dehors et après avoir subi les remontrasses de ma marâtre, mon père qui me tien toujours fermement me glisse à l'oreille :
Il est charment !
Je le regarde, surprise ! Depuis quand papa trouve t il charment un homme qui ose me sourire ! Décidément aujourd'hui ! Il rit et m'embrasse sur le front.
- Allez ma Fleur ! Si tu nous montrais un peu ce superbe endroit ! Oh ! Et parle nous aussi de cette troisième tache !
