Salut ! De retour pour une deuxième fanfic', cette fois en plusieurs chapitre. Le but est avant tout de faire une fic' légère et un tantinet what the fuck, parce que les trucs sérieux, ça va un temps. J'en profite pour remercier les deux reviewers anonyme qui ont posté sur ma première fic ! Ceci n'est que le prologue, je vais essayer de poster les chapitres tous les deux/trois jours. Je ne garantis rien ! Excusez moi s'il y a des fautes qui m'ont échappées, je vous encourage à les signaler en review, que je puisse corriger tout ça ! Bref, en espérant que vous apprécierez, n'oubliez pas de follow et/ou review ! RDV en fin de chapitre pour une nda.

Disclaimer: Mathieu Sommet, Antoine Daniel et l'Homme (bien que je ne dévoile pas officiellement son identité), sont de vraies personnes et ne m'appartiennent nullement (à mon grand regret...). Si cette fiction les dérange, elle sera bien évidemment supprimée !

Bonne lecture !

-Qu'est ce que nous avons la inspecteur ?

- Deux hommes, retrouvés morts dans le bois de Vincennes. Tout deux torse nus, d'étranges sigles tagués sur le torse.

-Intéressant… Qu'en est-il des indices ?

- Trois fois rien : Ils ont juste écrit deux mots incompréhensible avec leur sang : Le Patron. Vous voyez, on a vraiment rien… En revanche, le fin limier que je suis a remarquer un point commun bien plus intéressant entre les victimes…

-Vous m'intéressez Johnson. Qu'est-ce donc ?

-Leurs cheveux, commissaire. Leurs cheveux…

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C'était une magnifique journée. Il faisait beau, les oiseaux chantaient, les gens se baladaient et l'auteure se félicitait parce que ça rimait.

Antoine Daniel flânait par ce magnifique dimanche. Il n'avait pas pas de but précis, non, Antoine Daniel faisait ce qu'il savait le mieux faire : ne rien foutre. Et putain que c'était bon ! Après âpres négociations avec sa conscience, il avait décidé de s'attribuer un week-end de repos, afin d'oublier momentanément l'écriture chaotique du What The Cut !? 37. Bref, Antoine n'était décidément pas près au choc qu'il allait subir ce jour là…

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L'Homme avançait doucement. Il savait qu'il n'aurait pas dû… Oh que non, il n'aurait pas dû. Maintenant, il était obligé de commettre l'irréparable. Sa famille, ses amis, son chien, tous l'avait supplié de ne pas y aller. Mais l'Homme devait le faire. Il avait promis. Il se dirigea d'un pas assuré vers le salon de coiffure.

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Mathieu s'affolait. Cela faisait des mois qu'Antoine faisait le mort, laissant son meilleur ami seul et désemparé. Et là, à 3h33 du matin, Antoine Daniel lui laissait un message des plus inquiétant :

« Mec. J'arrive plus à fermer les yeux… Je te promets, je suis vraiment pas bien. Comme ça a pu m'arriver à MOI ? Pourquoi ? Euh… désolé mec. Je sais même pas pourquoi je t'appelles… Putain, suis vraiment un ami de merde… Je te parles plus pendant des mois, et je vais te voir dès que j'ai un soucis... »

Le message vocal continuait pendant encore 10 minutes, essentiellement composées de sanglots d'Antoine. Mathieu Sommet, preux chevalier qu'il était, avait immédiatement sauté dans un pantalon et était parti en courant dans les rues de Paris. Son ami avait besoin de lui.

NDA: Un prologue décidément très court... Les autres chapitre ne seront pas non plus très long. Décortiquons un peu tout ça:

-La première phrase vient, bien évidemment, de l'épisode 33 de wtc (oui, je suis Nimfa et j'ai très beaucoup l'inspiration)

- Les deux policiers sont des OC, bien qu'un peu inspiré des fantastiques Dupont et Dupond dans Tintin. Pour les besoins de l'histoire, ils seront donc très cons.

- Dans cette fic' comme dans bien d'autre, Mathieu et Antoine sont meilleurs amis, mais au risque de décevoir, non, il n'y aura pas de Matoine. Mathieu ne sera peut-être même pas un des personnages principaux.

-Si vous êtes plus fin limier que l'inspecteur, vous aurez aperçu le nom du Patron, qui est apparu soudainement tel un pokemon sauvage ! Les personnalités de Mathieu seront peut-être présente, mais rien n'est sûr.

-A la relecture, je me suis rendue compte que le moment où je dis que ce que fait de mieux Antoine est ne rien foutre, pouvait être mal interprété: je n'insulte nullement Antoine ! Mon personnage est juste quelqu'un d'un peu faignant, mais rien de péjoratif là dedans.

Je me répète mais... N'oubliez pas de follow et de review ! Ça me ferait un grand plaisir ! Je vous laisse sur ces bonnes paroles, bisous goût chocolat noir et à la prochaine !

Nimfa.