Je crois que je dois avoir un truc avec les vestiaires, ça expliquerait pour quoi à chaque fois qu'ils y sont ça part vers un partie de jambe en l'air.
La principale qualité du meneur de l'équipe de volley d'Aoba Jôsai était la détermination, il n'abandonnait jamais. Qualité reconnu même par son ami d'enfance, qui rechignait à lui accorder quoi que se soit, pas même d'avoir un physique avantageux. Peut-être parce qu'il était le premier à en faire les frai à toujours être envoyé le chercher quand des filles le retenaient. Et ceu depuis le collège, peu importait qu'ils ne fussent pas dans la même classe. Donc oui le physique avantageux d'Oikawa était plus une malédiction pour Iwaizumi qu'autre chose. Et pourtant à ce jour Iwaizumi trouvait aussi que cette détermination était aussi plus une plaie qu'autre chose. Parce qu'il en faisait les frais, pour une broutille. Tout avait pourtant bien commencé. Oikawa était venue le chercher chez lui pour aller en cours ensemble, Lui avait souhaité un bon anniversaire et l'avait embrassé tendrement. Comment mieux commencé la journée que comme ça.
Mais il avait fallu qu'il refuse l'invitation d'Oikawa et celui-ci l'avait mal pris. Pourtant Iwaizumi aurait volontiers accepté, si ils n'avaient pas eu cours le lendemain. Parce que passer la nuit chez son capitaine alors que ces parents étaient absents signifiait forcément faire une nuit blanche. Pas qu'il n'appréciait pas, mais pas quand ces notes étaient à la limite de l'acceptable et sans suivre les cours il n'aurait pas son année. Mais Oikawa têtu comme une mule n'avait rien voulu entendre devant des arguments légitimes, pas même la proposition de passer un week-end en tête à tête et que cela ne le dérangeait pas d'avoir son cadeau plus tard.
Alors oui Iwaizumi rageait particulièrement de la détermination de son petit ami, surtout que celui-ci lui en faisait baver pour le faire changer d'avis. Et peu importe les coups qu'il se prenait il continuait à s'échapper. Iwaizumi se demanda vaguement si Oikawa n'aimait pas juste se faire poursuivre. Son capitaine lui avait juste dit « J'arrêterais si t'acceptes. » tout en draguant ouvertement ces groupies, c'était sûrement ce qui énervait le plus l'attaquant. Mais il prit su lui-même et observa pendant un moment ce retenant d'attraper son idiot de capitaine pour lui rouler une pelle et ce débarrasser de ces stupides fans. Mais il perdit vite patience en voyant qu'ils avaient loupé dix minutes de l'entraînement et frappa avant de traîner son idiot à lui vers le gymnase. Une vengeance serait le strict minimum à lui faire subir, mais plus tard.
Heureusement leurs humeurs querelleuses et orageuses n'affectèrent en rien l'entraînement. Encore heureux sinon ils auraient été bon pour une remontrance du coach. Il fallut bien sûr retenir l'ailier de frapper le passeur, mais c'était assez habituel même avant qu'ils ne sortent ensembles donc personnes ne fit de commentaire. Du moins jusque dans les vestiaires ou Hanamaki hésita pas à faire remarquer que leur dispute était profondément débile et qu'Iwaizumi n'avait qu'à sauter par la fenêtre une fois son cadeau récupéré.
-Au point ou j'en suis. Grogna le dossard quatre se résolvant à fair un saut par la maison des Oikawa.
-L'année prochaine, trouve une autre excuse que laisser son cadeau chez toi pour le faire venir. Conseilla le libéro au capitaine.
-Hm.
Loin de prendre mal la réponse, Watari sourit et quitta les vestiaires en compagnie des autres.
-Crétinawa ! On y vas, tu viens faut que je ferme. L'appela Iwaizumi.
Le plus grand ne réagit pas perdu dans ses pensées devant son casier. Il voulait absolument passer cette journée entière avec son ami d'enfance, car son anniversaire était un jour important. Se faire poursuivre n'avait pas été la meilleur des idées, mais il aimait bien voir que quoi qu'il fasse Iwa-chan venait le chercher, même si il râlait, même si c'était sous contrainte, il veniat pour lui. Une main sur son épaule le fit se retourner pour voir une lueur énerver dans les yeux de son petit ami.
Et là Oikawa eu une idée, encore une, pas forcément très intelligente, mais qui ne tentait rien n'a rien. Alors il pris la bouteille dans son sac, qui se trouvait être du cola ce qui était encore mieux car le cola c'est poisseux, donc Iwaizumi serait obliger de prendre une douche, et sa maison était le plus proche. Il dévissa le bouchon sous le regard interloqué du plus petit avant de lui renverser le contenu dessus avec un grand sourire. C'est à ce moment qu'il se rendit compte quand fait c'était vraiment stupide, très stupide. De un parce qu'il se prit un coup avec une ribambelle d'insulte et de deux, le liquide caféiné avait moulé le torse de son coéquipier. Maintenant il était sur qu'il ne le laisserait pas s'échapper et il n'attendrait pas le soir.
-Haha. Désolé, désolé. Rigola nerveusement le capitaine, son second pouvait vraiment être effrayant par moment. Tu dois avoir un goût de cola maintenant.
-Tu veux vérifier peut-être. Grommela le vice capitaine.
Les deux volleyeurs mirent quelque secondes à ce rendre compte du sous entendu. Ils rougirent de concert, mais alors qu'Iwaizumi restait gêné de ses propres mots, Oikawa lui s'approcha séducteur.
-Si tu me le proposes. Souffla-t-il avant de lécher son petit ami un sourire carnassier promettant une bonne partie de jambe en l'air.
Pendant ce temps chez les Oikawa toute l'équipe attendait dans le noir pour faire la surprise à leur champion.
-Vous êtes sûr qu'Oikawa va réussir à emmener Iwaizumi comme convenu ? Demanda Kindaichi.
-C'est du mec le plus déterminer au possible que tu parles, en tout cas quand il s'agit de son mec. Rétorqua Kunimi en s'impatientant sérieusement.
-Hum, j'espère me tromper, mais il ce peut qu'il ait totalement oublier. Fit d'une petite voix le second passeur de l'équipe.
-Il a pas intérêt vu comment il nous à harceler pour qu'on organise cette fête surprise chez lui. Bailla Matsukawa.
-Tant qu'ils ne font rien dans les vestiaires. Grogna le dernier terminal. Sinon je les lamine.
Le lemon sera mit en tant que second chapitre si ça interresse des personnes. Yep il a été coupé mais bel et bien écrit donc bon autant le posté, non ?
