Les premières fois de Nessie (partie 1)

Nous franchissons la porte d'entrée ensemble.

—Papa, c'est toi ?

—Non c'est la bête immonde qui t'a laissé tomber.

—Jacob, Jacob, cri-elle en lui sautant dans les bras. Tu as changé d'avis ? C'est vrai tu m'aimes encore ? Tu ne vas plus partir ? Je t'aime, je t'aime, je ...

Jacob, naturellement, pose ses lèvres sur celle de ma fille, baisé auquel elle répond. Alors, qu'ils se séparent après ce premier baisé je m'éclipse. Une étape est franchie et moi je suis jaloux, je suis en train de perdre mon bébé.

Elle m'a pardonné.

Il m'aime.

Les premières fois de Nessie (Partie 1 suite)

Il m'était revenu, il m'avait repris dans ses et enfin il m'avait embrassé. Une chaleur si douce était rentrée par ma bouche et avait réchauffé mon corps et mon âme. Nous sommes faits l'un pour l'autre. Étonnamment après ce premier bisou, j'avais compris l'intérêt d'aller doucement, savourer tous les moments toutes les étapes et en même temps ménager mes parents. Il m'avait emmené dans une petite crypte que possède la réserve et dont peu de monde connaît. Nous sommes maintenant allongés au sol, moi sur le dos lui sur le côté dessinant de son doigt les contours de mon visage. De temps en temps il pose à nouveaux ses lèvres contre les miennes. Nous n'avons pas essayé de mêler nos langues, cela viendrait plus tard dans quelques jours ou quelques semaines, nous avons tous notre temps. À chaque fois qu'il finit de m'embrasser on se sourit, nous sommes sur un petit nuage.

Les premières fois de Nessie (Partie 2)

Comme pour m'empêcher de parler il couvre ma bouche de la sienne. Je sens sa bouche s'entrouvrir, inconsciemment je fais de même, le bout de sa langue touche la mienne brièvement et il met fin au baiser. Me regarde, je lui souris, il me sourit, il se penche vers moi et recommence plus longtemps. Nos bouts langues semble ce découvrir avec retenue, on vient de passer une étape. Je rêve d'un baisé plus profond où nos langues se caresses plus largement.

—Nessie Cullen, je vous aime.

—Jacob Black, je vous aime aussi.

—Rentrons, j'ai l'impression de sentir de la tension dans ta famille, mais pas à cause de toi.

===PV de Nessie===

Les premières fois de Nessie (partie 3)

Ce sois nous avons mangé avec grand-père, je suis passé derrière les fourneaux au grand soulagement de l'homme de ma vie. L'homme de ma vie, cela sonne si bien. Puis nous avons discuté de choses et d'autre et surtout de mes cours. Mon père m'avait fait porter les cours que je devais réviser pour la semaine. Vu ma croissance mes parents avaient préféré me garder à la maison, je commencerais mes études par la fac, mais en attendant c'était ma famille qui me donnait mon instruction. Il fallait que je sois à la hauteur pour l'année prochaine. Mais étudier me séparait de l'amour de ma vie, l'homme de mes rêves, le futur père de mes enfants, mon loup d'amour. Renesmée Black, Renesméee Cullen Black ...

—Aie.

—Ma princesse doit se réveiller, me dit Jacob, son prince charmant doit partir.

—A oui ! le couvre feux, c'est nul.

—Il faut que tu étudies et si tu veux que notre couple n'est pas de problème il faut respecter les règles.

Notre couple, notre couple, j'aimerais bien un lapilasuli sur ma bague de fiançailles pas un diamant. De toute façon l'homme de ma vie ne peut me payer un diamant.

Je sens les lèvres de mon amour se poser sur les miennes, nos lèvres s'entrourvrir, nos langues se reconnaissant doucement. Puis nos lèvres s'ouvrent plus largement et je sens sa langue habiter ma bouche. Notre baisé s'approfondi, ma respiration s'accélère, mon pouls s'emballe. Je sens la main derrière ma tête collant mon visage contre le siens approfondissant encore notre baisé. Mon corps alors tout entier se colle et à lui. Je sens quelque chose, je ne comprends pas, je me colle encore plus contre lui. Mais bien sûr, c'est son sexe, son sexe en demande de plaisir, pour moi rien que pour moi.

J'attends alors quelqu'un tousser derrière moi ce qui fait stopper notre baisé endiabler.

—Jacob, gardes-en pour demain. Nessie, tu devrais déjà être dans ta chambre.

—Oui grand-père.

J'embrasse délicatement l'homme que j'aime qui est encore rouge pivoine d'avoir été surprise par Charlie.