BONJOUR ! Et me voilà relancer pour deux projets simultané !
Le premier est sur yuri on ice,
le second est sur haikyu
Sans plus de cérémonie voici le premier chapitre !
Chapitre 1 : Premièrement
Je m'appelle Viktor Nikiforov et je vais vous résumer les 4 dernières année de ma vie.
Après que Yuri est atterrit second a la finale du grand prix de Barcelone, il a décidé, le lendemain de sa cuite monumentale, auquel je l'avoue, suivis avec joie, de continuer à patiner mais avec moi en Russie. Tout en étant sous la fédération japonaise de patinage. C'est ainsi qu'il s'installa quelques mois après dans mon appartement à Saint-Pétersbourg. Nous avons continuer de développer nos talents ainsi que nos sentiments. Nous avons aussi continuer les compétitions désormais en rivaux.
Deux ans plus tard lors d'une énième finale ensemble, il m'avait alors battu, et c'est sur le podium qu'il me demanda en mariage. En plus d'une médaille d'argent j'avais également reçu un bague. Ce fut le premier plus beau jour de ma vie. Puis un an plus tard nous nous disions oui.
Puis enfin l'année dernière nous nous étions mis à rechercher des enfants. Enfin Yuri était chaud bouillant pour en avoir … moi j'étais en lutte intérieur pour certaines raisons. Ses raisons moi seuls les connaissait, même Yakov ne les savait pas ! Pourtant c'était plus que mon coach mais une sorte d'oncle plutôt proche qui me soutenait à sa façon, parce qu'il faut le dire, cela faisait à peine plus de 20 ans qu'on se connaît et des liens autres que professionnels s'était créer. Il m'avait soutenu dans tous ce que j' entreprenais même si à chaque fois il avait un peu de réticence, il s'inquiétait pour moi et je lui en était éternellement reconnaissant.
Et donc nous arrivons au présent. Dans quelque jour nous partirons pour une compétition amicale à Paris. Nous allons revoir tous nos amis et se prendre des cuites monumentales tous les soirs ainsi que nos éternels chamailleries et nos concours sur la glace.
J'étais allongés sur le canapé quand mon cher et tendre rentra des courses. Et je vis qu'il avait également acheter un livre pour les parents qui adoptait des enfants pré-adolescent ou adolescent.
L'intention était bonne, des enfants âgés serait compliqués à gérer mais moi je ne savait pas comment refréner les envies de Yuri, je ne voulait pas le blesser donc je faisait tous pour éviter le sujet ou pour qu'il évite d'y penser. Et lui faisait tous pour me le rappeler. Là par exemple il tenait le livre bien en évidence puis il le mis sur la bibliothèque en face de moi, la couverture face à moi.
Il faut vraiment que j'arrive à lui dire sans trop l'inquiété que je ne suis pas prêt pour élever un enfant. Bon d'accord j'ai 32 ma carrière est bientôt finis, Yuri m'a toujours dit qu'il me suivrait jusqu'à la fin et qu'ensuite se retirerait avec moi également. Donc je n'allais pas rester seul, et puis j'envisage pas de partir au boulot le matin sans Yuri, il était dans ma tête, mon cœur et mon âme, séparé de lui je ne fait que penser à lui justement et jamais je n'arriverais à me concentrer si il n'est pas dans les parages.
Bon en tout cas pour l'instant je fixe le livre, les yeux dans le vague, les sourcils froncés.
Oui, je réfléchis à une façon de le dire à Yuri sans le blesser. Peut être que ça viendra naturellement.
La journée était calme, Yuri et moi commençons à faire nos valises, nous devons partir après demain et la France n'était pas la porte à côté.
Je pliais consciencieusement mes habits dans ma valises tandis que Yuri faisait la même de son côté.
Puis nous nous couchâmes avec un dernier baiser. Mais sans le vouloir je lâchais une phrase en éteignant ma lampe :
« On ne fait plus rien de spécial en ce moment, heureusement qu'on doit aller à Paris dans deux jours je commençais à m'ennuyer »
Il ne répondit rien. Puis finalement il déclara :
« tu verras, honney quand le petit ou la petite sera là on aura plus de chose à faire. »
je déglutis, mince pourquoi il me sort ça maintenant ? Es ce que c'est le moment ? Qu'es ce que je dois répondre ? Du calme, je ne vais rien dire et …
« Pourquoi tu ne répond rien Viktor ? »
Et merde, je suis coincer !
« Tu as vraiment envie d' en parler maintenant ? »
Le temps qu'il prit pour me répondre me sembla éternel.
« Non je pense que non, je suis fatigué. »
« Fatigué de quoi tu n'a rien fait. »
Je compris ma boulette lorsque je sentis la couette se tirer davantage vers lui.
« Bonne nuit Viktor » Il prononça chaque mot avec un détachement lent et ponctuer d'un ton colérique.
Je retira un peu plus la couette de mon côté et ajouta dans un petit marmonnement :
« bonne nuit Yuri »
Le lendemain matin, le réveille fut glaciale, Yuri était déjà dans la cuisine, à faire le petit déjeuner, il coupait avec un grand couteau tranchant du pain avec un telle force qu'un seul coup suffisait, puis il s'attaqua à faire des œufs au plat, sa façon de casser la coquille avait en soi quelque chose d'effrayant. Je vais intervenir et m'excuser je crois.
« Yuri honey ? Je voulais ... »
« Quoi t'excuser ?! Tu te fout vraiment bien de moi, après ce que tu m'a dit hier soir ce n'est plus des excuses que je demande mais un acte ! »
Je restais pensif sur notre discussion d'hier soir, qu'avais je bien pu dire de si méchant ?
Yuri devant mon silence, devient de plus en plus en colère, une aura fumante sortait de son corps.
Puis il explosa :
« Tu te fout de moi ! Tu te souviens vraiment pas ! C'est tout toi ça ! Tu dis des choses et tu les oublis comme tes promesses ! C'est vraiment une part de toi que je déteste ! » cria t'il.
Je tiqua aux mots « toi » et « déteste » :
« Eh ben si tu déteste cette partie de moi c'est que tu dois me détester tout entier non ? ! Alors si c'est le cas quitte moi je ne te retient pas ! » hurlais-je.
Sous le choc de mes paroles, c'est yeux s'écarquillèrent et lentement des larmes traçait des sillons humides sur ses joues.
Cette vue me calma et alors que je m'approchais pour le prendre dans mes bras et lui dire mes véritables pensée. Il m'esquiva et partit en sanglotant dans notre chambre qu'il ferma à clés.
Je m'installais devant la porte et ne dis plus un mot. J'avais vraiment merder sur ce coup là.
Je suis un idiot de première. Doublés d'un connard. Je ne sais pas comment je vais rattraper mon coup.
Sans m'en rendre compte je m'endormis contre la porte.
C'est le choc de ma tête contre le sol qui me réveilla. Yuri venait d'ouvrir la porte.
Tout en me frottant le crâne, je levais mes yeux sur son visage bouffis et ses yeux rouge injecté de sang. Apparemment il n'avait pas arrêter de pleurer. Je me sentais tout penaud. Et mal, d'avoir fait pleurer mon cher et tendre.
Sans me regarder il me dit :
« Il faut terminer les valises notre avion et dans deux heures. »
J'ouvris ma bouche pour parler mais :
« Et n'essaie pas de croire que tu sera pardonner avec des excuses »
Je fermais ma bouche dans un claquement de mâchoire.
Nous fîmes nos valises en silence.
Descendîmes les escaliers menant l' appartement au parking en silence.
Nous conduisîmes en silence.
Nous montâmes dans l'avion en silence.
Nous décollâmes en silence.
Nous atterrîmes toujours avec ce silence pesant.
Puis nous nous sommes diriger vers notre hôtel.
A l'accueil nous tombâmes sur Yurio enfin Yuri Plisetsky et son amoureux Otabek Altin.
Les quatre ans ont bien changer le jeune homme âgé alors maintenant de19 ans.
Mon yuri passa devant moi en me bourrant, il est énervé parce que je prenais tout le comptoir a discuter avec Yurio et Otabek.
Yurio le regarda puis tourna vivement sa tête sur ma personne.
« Quoi ! » M'indignais je du regard assassin qu'il me lançait.
« Qu'es ce que tu as encore dit ? »
« Moi ! Rien, ça ne te regarde pas je te signale » lui dis je un sourire crispé.
« Mouais, moi je te le dis arrange ça parce que ça sent le divorce »
Je soupirais.
Ce séjour promet.
