Disclamer : Les personnages ne m'appartiennent pas, ils appartiennent encore et toujours à J.K. Rowling
Bon voilà encore une histoire avec Theodore comme personnage principaux, je crois qu'il va falloir vous y faire parce que j'aime beaucoup se personnage, j'espère que cette histoire vous plaira, elle débute pendant les vacances d'été avant leurs 6ème année et que vous me postez beaucoup de reviews.
Ne respecte pas tout à fait le canon (Sirius toujours vivant et innocenté par exemple)
Je n'ai toujours pas de bêta Reader donc si vous voulez vous proposer envoyer moi un MP.
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Entre courage et désillusion
Chapitre 1 : Fuite et sauvetage
On était le 8 Août, vous aller me demander pourquoi cette date est importante et bien tout simplement parce que c'est celle de mon anniversaire, mais bon depuis que maman est morte je ne le fête plus. Mon père n'est pas vraiment le genre d'homme à penser à se genre de chose, mais bon sa ne me dérange pas plus que cela, je n'aime pas être le centre d'attention.
Donc j'ai 16 ans aujourd'hui, j'espérais au moins passer une journée tranquille, mais bon ça c'était trop demander à mon père.
Tout est flou dans ma tête je ne sais même plus comment j'ai fais pour le foutre en rogne comme sa, pourtant il me semble pas avoir dis ou fais quelque chose de répréhensible, à moins qu'il se soit souvenu de mon anniversaire et que c'est son « cadeau ».
En tout cas là je me retrouve à terre, en sang et j'ai horriblement mal, j'essaye de me relevé mais je me prends un autre sortilège, je n'ai pas bien compris la formule mais en tout sa fais un mal de chien. J'essaye d'oublier la douleur pour pouvoir me relever et me barrer de cette barque tant que je suis encore vivant, mais pour le moment je n'y arrive pas.
Sa fais quelques minutes maintenant qu'il ne me lance plus de sortilèges, j'ai pu reprendre un peu de force, je sers les dents et me relève avec difficulté, je regarde autour de moi et vois qu'il n'est plus là, au je suppose qu'il va revenir, mais je ne serrais plus là moi.
Je commence à m'avancer vers la porte, je l'ouvre et c'est se moment que choisi mon père pour revenir, même pas je me retourne quand je l'entends me dire de rester ou sinon je suis mort. Non je préfère rassembler mes maigres forces et courir le plus loin possible de cette maison.
Une fois loin de la maison, je me retrouve dans un Square, je décide de m'avoir quelques minutes histoire de reprendre quelques forces après ma course. Donc je suis assis sur un trottoir face à une rue ou il manque le n°12, je me fais vaguement la réflexion que c'est bizarre mais je suis trop faible pour m'y attarder.
- Pff tu parle d'un anniversaire, je murmure.
Puis je relève la tête parce que j'ai l'impression qu'on m'observe. Et là je vois un gros chien noir qui me regarde, je le regarde puis lui fais signe de venir sans trop forcer parce que je suis quand même dans un sale état je vous le rappel. Le chien vient près de moi et je lui caresse doucement la tête.
- Salut mon vieux, je lui dis doucement pour pas qu'il prenne peur. Tiens tu n'as pas de collier, toi aussi tu es parti de chez toi, je continue à dire tout en le caressant.
Il lance un petit aboiement comme pour répondre que oui, puis pose sa tête sur mes genou, je ne peu pas m'empêcher de lâcher un gémissement de douleur. Je vois le chien qui lève la tête vers moi et me regarde comme pour me demander si c'est à cause de lui que j'ai mal.
- Ce n'est pas ta faute mon grand, j'étais déjà mal fichu avant que tu n'arrive, je lui dis, comme s'il pouvait comprendre sa que je dis, je pense en secouant la tête doucement de droite à gauche.
Une heure plus tard la nuit est tombé, je commence à avoir froid même si ont est en plein été les nuits peuvent être fraîche je frissonne, je peux plus bouger, j'ai vraiment trop mal et je sens l'engourdissement m'envahir. Ma vision commence à s'obscurcir et je perds peu à peu connaissance.
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Quand je reprends connaissance, j'essaye d'ouvrir les yeux mais une forte lumière m'oblige à les refermés. Puis réessaye plusieurs fois avant de réussir à les garder ouvert, une fois les yeux ouvert je fais un tour d'horizon et vois que je suis dans une chambre, pas la mienne en tout cas parce que je ne reconnais rien autour de moi.
- Il vient de reprendre connaissance, dis quelqu'un dont je ne reconnais pas la voix.
- Où suis-je ? Je demande la voix plutôt rauque.
- Tu es chez moi, me dis quelqu'un.
Là je tourne la tête pour voir qui me parle et je vois un homme, plutôt grand, long cheveux noir lui arrivant aux épaules, yeux gris, je le reconnais tout de suite, il faut dire que les journaux ont beaucoup parlé de lui une fois qu'il fut innocenté. Je le regarde étonner et me demande comment j'ai fais pour atterrir chez lui alors que j'étais dans la rue en train de parler à un chien.
- Sirius Black ! Je dis un peu étonner.
- Oui lui-même, me sourit-il.
- Comment… heu… Je suis arrivé chez vous et où est le chien qui était avec moi ? Je lui demande avec appréhension.
- Oh, je t'ai trouvé dans la rue, ne t'inquiète pas pour le chien il est en sécurité, me dit-il avec un sourire. On ta soigner, tu devrais aller mieux d'ici quelques jours.
- Je suis resté évanoui pendant combien de temps ? Je lui demande.
- Pas très longtemps, 1 heure grand max.
- Ok, je dis en essayant de m'assoir sur le lit mais je n'y arrive pas, j'ai encore trop mal, donc je me rallonge.
- Ne bouge pas trop tu risque de rouvrir tes blessures, me gronde Sirius.
Je ne peux empêcher un petit sourire amuser de venir flotter sur mes lèvres, cet homme que je ne connais pas s'occupe mieux de moi que mon propre père, y a quand même de quoi rire, mais bon vue que je ne peux pas rire parce que j'ai mal aux côtes, je me contente de sourire.
- Qu'est ce qui te fait sourire comme ça, jeune homme, me demande-t-il d'un air faussement colérique.
- Rien, je lui réponds avec un autre sourire amusé, au faite vous ne voulez pas savoir qui je suis ? Je lui demande en le regardant.
- Pas la peine je sais qui tu es une connaissance commune me là dit, me répond-il avec lui aussi un sourire mais aimable non pas amusé.
- Ha bon qui sa ? Je demande étonner.
- Il ne va pas tarder à revenir tu pourras voir par toi-même, me répond-t-il mystérieusement avant de quitter la pièce.
J'ai le cerveau qui fonctionne a fond, je me demande bien qui pourrait bien connaitre Sirius Black dans mes connaissances mais je vois personne. Donc en attendant de voir qui est cette fameuse personne, je me renfonce dans le sommeil tout doucement. Je me réveil quelques minutes plus tard, un bruit de pas dans la chambre m'as réveillé, je tourne la tête vers l'opportun et ouvre de grand yeux. Je ne m'attendais pas à voir cette personne ici, parce que je sais qu'il n'est pas de leur côté vue qu'il est souvent avec mon père et d'autre mangemort.
- Vous, dis-je avec étonnement.
- Oui moi, me répond avec froideur Rogue.
- Mais… Vous… ne…, je bégaye avant de me faire couper par Rogue.
- On vous expliquera tout plus tard, me dit-il avec au fond des yeux une petite lueur d'amusement. Pour le moment vous aller m'expliquer se qui c'est passer, pour que vous vous retrouviez dans cette état ? me dit-il de sont ton habituel.
Je secoue la tête de droite à gauche, je ne veux pas en parler, j'ai trop honte de moi et de mon père aussi.
- Tenez ! Buvez sa vous vous sentirez mieux après, si vous ne voulez pas nous dire se qui c'est passer c'est votre droit, mais vous verrez que vous vous sentirez mieux si vous le disiez a quelqu'un, n'importe qui, pas obligé a moi.
- Ok, je vais y réfléchir, je dis en buvant la potion puis en me rallongeant.
Puis je l'entends repartir, une fois seul je réfléchis a se qu'il vient de me dire, oui c'est sur que je me sentirais mieux si je le disais a quelqu'un, mais pour le moment je ne m'en sens pas capable, peut être plus tard. Je suis sorti de mes réflexions par quelqu'un qui entre dans la chambre.
Je tourne la tête et vois que c'est Sirius qui est de retour, je soupir de soulagement, j'avais pas du tout envie de reparler avec Rogue.
- Alors Theo, je peux t'appelé Theo ? Me demande-t-il.
- Oui bien sur, je lui réponds avec un sourire.
- Donc je disais alors Theo, sa vas mieux ?
- Oui beaucoup mieux, je souris, par contre vous auriez pu me dire que c'était Rogue notre connaissance commune, j'aurais fais comme si je dormais si j'aurais su, je lui dis mécontent.
- J'y penserais pour la prochaine fois, me sourit-il.
- J'espère quand même qu'il n'y aura pas de prochaine fois, soupirais-je, puis j'entends des bruits venant d'en bas. Heu il y a qui d'autre chez vous ? Je demande peu rassurer.
- Pas mal de monde, les Weasley, Harry, Hermione et d'autre personnes que tu ne connais pas, mais vue que je sais pas si ont peux te faire confiance je ne te dirais pas leur nom pour le moment, me répond-t-il.
- Ok, mais vous savez vous pouvez me faire confiance, si je suis parti de chez moi ce n'est pas pour y remettre les pieds de sitôt.
Il me sourit, je lui souris en réponse, puis je perds mon sourire tout a coup, je viens de penser à une chose pas très plaisante, que vas-t-il se passer une fois que je vais réintégrer Poudlard, tout les Serpentards seront a se moment là que je suis parti de chez mon père et je ne serais plus en sécurité dans le dortoir. J'en frissonne d'appréhension et Sirius le remarque.
- Ben qu'est ce qu'il se passe ?
Je le regarde ne sachant pas si je peu lui dire ou pas, puis je me dis que si je veux qu'il me fasse confiance il faut que je lui fasse confiance en retour alors je me lance et lui explique tout se qui c'est passer chez moi ainsi que ma terrible pensée sur se qui risque de se passer à la rentrée.
- Ne t'inquiète pas Theo, me dit-il, Dumbledore ne permettra jamais qu'on te fasse du mal dans sont établissement, on trouvera une solution, me dit-il en me prenant dans ses bras.
Sa fait tellement longtemps que personne ne m'avait pris dans ses bras que je craque et laisse couler mes larmes que je retiens depuis si longtemps, pour être exact, j'ai pas pleuré depuis la mort de ma mère, se qui fais plutôt longtemps. Je fini par m'endormir dans les bras de Sirius.
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Et voilà fin du premier chapitre, j'espère que sa vous a plus, merci de bien vouloir me mettre une review que sa vous ai plus ou non, une critique bien construite ne fais pas de mal :)
