Depuis plusieurs jours déjà, je te tourne autour, je veux que tu comprennes l'intérêt que je te porte. Mais je ne veux pas te le dire. Non, je veux que tu le comprennes par toi même. Car si un jour tu le comprends, cela voudra dire que tu t'intéresses un peu a moi, a mes actes.
Depuis longtemps, tu m'attire. Je ne l'avais pas remarqué, j'étais trop concentré a te battre. Toi, ainsi que les autres d'ailleurs. Seul mes amis que je voulais protéger emplissaient mes penser. Mais depuis que tout cela est terminé, je me suis surpris, plusieurs foi, a penser a toi, a rêver de toi, peut-être même a envisager une vie auprès de toi. Mais pour cela il faderais d'abord que tu daignes au moins m'accorder un regard, ce que tu ne fait pas
Alors que tu te prélasses au soleil, je suis la, je te dévore du regard. Nous somme assez proche, ce qui est plutôt rare.
J'ai envi de toi, mais tu ne le vois pas.
Viendras-tu un jour me prendre dans tes bras ? M'embrasser au moins une fois ? Ma tête me dit que non, qu'il me faut être réaliste, me faire une raison. Mais mon cœur et mon esprit refusent d'y croire, alors je continu a faire se que je fais si bien depuis maintenant plusieurs semaines : J'attends.
Puis, pour la première fois depuis longtemps, tu lève tes yeux vers moi, tu t'aperçois que je t'observe attentivement, a me voir ainsi, tu te doute que ca dure depuis un moment. Mes yeux sont rivés sur les tiens. Je ne veux manquer aucun détail de ce regard si spécial, ce regard que j'aime temps. Ces iris d'un turquoise extrêmement profond qui font chavirer mon cœur, ces iris si intimident, leurs couleur est assorti a tes cheveux. Tes cheveux, que tu as toujours en désordres, cette crinière d'où s'échappent plusieurs mèches qui ont pour habitude de retomber sur ton front.
A cet instant, je suis déconnecté de la réalité. C'est pourquoi je ne comprends pas tout de suite lorsque je sens une douce pression sur ma joue droite. Au moment où je réalise que cette pression n'est autre que ta main posée sur mon visage je retiens mon souffle inconsciemment je sonde ton regard, m'attendent a ce que se soit une blague, le fruit d'un jeu nouveau que tu viendrais d'inventer pour passer le temps. Mais je suis sous le choque de n'y trouver qu'une douceur infini.
Ta main est toujours la, tu ne parle pas. tu me regarde, j'en fait de même, ne voulant pas gâcher ce moment. Et peu a peu tu m'attire à toi, me prend dans tes bras. Nous restons ainsi un moment puis tu effleure mes lèvres des tienne, tu me donne un baiser, chaste et doux. Tes lèvres sont douce, chaude, elles ont un goute sucré, plus exquis que tout ce que je m'étais imaginé.
Je profite de ce moment, me demandant si cette étreinte sera la dernière, ou bien la première d'une longue liste...
