Voici ma première fiction sur Hetalia. D'ailleurs je disclame tout de suite : Aucun des personnages ne m'appartient !
Mon personnages principal est Canada, parce que je l'adore et que je RP avec sur MSN du coup ça m'inspire énormément !
Je remercie au passage Pervy Otaku qui m'inspire énormément en temps que Alfred (America): Allez voir ses fictions ! et Naraku qui m'inspire en temps que Arthur (England) et qui m'a aussi corrigé mon chapitre !
Je rappelle un peu les noms humains des pays :
Canada : Matthieu (version française) ou Matthew (version Anglaise)
America & England sont mentionné plus haut ~
Russia : Ivan
France : Francis
Hungary : Elisaveta
Lithuania : Toris
Bonne lecture ~
A comme Appétit
Canada avait toujours eu bon appétit. Il aimait manger, c'était un fait que peu de monde savait. Cela venait sans doute de France qui l'avait élevé à la bonne cuisine. Ce fut à cette époque qu'il avait appris la plus part de ses recettes. De plus, il n'était pas quelqu'un de difficile. Ce dernier point ne laissait aucun doute sur le fait que cela lui venait de England qui l'avait élevé par la suite. La différence de qualité de la nourriture lui avait valu une soudaine perte de poids, qui se faisait ressentir encore aujourd'hui. Pas qu'England fut un mauvais père pour le jeune pays, il lui avait offert ce qu'il avait pu pour pallier au fait qu'il ne ressentait aucune affection pour la colonie de l'homme qu'il détestait le plus au monde. Mais même si Matthew savait qu'il n'était pas aimé par son nouveau père, ça ne l'avait jamais empêché de continuer à manger. Canada avait donc toujours eu bon appétit quel que soit les événements qu'il se passait.
Pourtant, depuis quelques jours, il n'arrivait plus à avaler quoi que ce soit. Chez lui, dans son manoir, tout le monde s'inquiétait. Après tout ce n'était jamais arrivé auparavant. En effet Matthew était le genre de personne qui ne montrait pas qu'il allait mal aux autres et qui préférait souffrir en silence que voir quiconque s'inquiéter pour lui. Toutefois, en ce moment même, il semblait juste en avoir strictement rien à faire. Il s'enfermait la plupart du temps dans sa chambre et restait couché sur son lit. Il n'avait pas énormément d'obligations et pouvait se permettre de ne rien faire des heures durant. En temps normal, il aurait voulu se rendre utile auprès de n'importe qui, même de ses servants. Mais là non.
Parmi les autres pays, ce fut America le premier à remarquer que ça n'allait pas bien. Le frère de Canada avait la fâcheuse habitude de profiter de la gentillesse de son jeune frère -la plupart du temps ne se rendant même pas compte qu'il en demandait trop. Deux jours après le début du mal être de Matthew, Alfred était donc venu lui rendre visite, pour une quelconque demande. Mais il ne put même pas adresser la parole à son cadet, en effet ce dernier avait dit qu'il ne voulait voir personne. Cela fut le choc, le drame, le désastre, la tragédie, l'apocalypse, pire qu'une annonce comme quoi le coca cola aurait disparu, pire qu'une déclaration d'amour éternelle de la part de Russia, pire que d'apprendre que France était devenu la nouvelle puissance mondiale.
C'est ainsi que ce jour même, America débarqua en trombe dans la salle de réunion où se trouvaient quelques pays qui n'étaient pas encore partis, notamment Cuba et Russia qui étaient occupés tous les deux à rédiger des dossiers. Il y avait aussi France et England qui se disputaient, sans doute à cause d'un sujet stupide digne d'un enfant de maternelle. À vrai dire, America aurait bien prit part à tout ça s'il ne jugeait pas l'état de son frère bien plus important. Il toisa l'assemblée d'un regard qui se voulait dur et qui intrigua tout le monde alors qu'il se planta devant Russia.
« Je suis sûr que c'est de ta faute ! » l'accusa-t-il sans plus de cérémonie.
Russia releva le nez de sa pile de feuille pour observer l'être qu'il détestait le plus le pointer du doigt, l'accusant d'une chose qui devait être aussi importante que de savoir ce qu'il avait mangé au petit-déjeuner mardi dernier. Alors, il se mit à faire un de ses sourires qui aurait pu sembler aimable si une aura ténébreuse n'entourait pas le garçon.
« De quoi m'accuses-tu ? »
« Il y a qu'un communiste comme toi qui a pu faire du mal à Matt' » s'exclama-t-il en faisant de grands gestes colériques.
« Matt' ? »
« Il est arrivé quelque chose à Matthieu ? » s'inquiéta Francis en s'approchant.
« Il a refusé de me voir... » commença le blond à lunette, mais il fut interrompu par la voix railleuse de son ancien père.
« Il s'est enfin résonné ! » pour une fois, Alfred ne fit aucun commentaire et poursuivit :
« Et il n'a rien mangé depuis deux jours. »
« Je suis sûr que c'est de la faute d'England » Lança méchamment Francis, « sa nourriture a dû l'empoisonner... Mon pauvre petit Matthieu ! »
« What ? Tu racontes vraiment n'importe quoi bloody frog, et son prénom c'est Matthew, ce n'est plus ta colonie ! »
« Ce n'est plus la tienne non plus ! »
Et les deux pays se remirent à se disputer à propos de ce nouveau sujet, oubliant rapidement ce problème. Même si Alfred s'y attendait, il aurait aimé plus d'aide et moins de cris. Cette situation le terrifiait. Il n'aimait pas ne pas comprendre ce qui arrivait à son frère. Habituellement ce dernier acceptait de lui parler et lui expliquait ce qui n'allait pas de manière claire et simple pour qu'il n'y aille pas de mal entendu, mais là, il n'avait même pas pu apercevoir et ça le tracassait.
« Peut-être qu'il est amoureux ? » s'interrogea gentiment Hungary.
La pauvre Elisaveta ne s'était pas imaginée le chaos que cela provoquerait. Francis disait haut et fort que son petit Matthieu était trop pur pour ça, ce qui énervait England puisqu'il continuait de l'appeler par cet horrible prénom. America, quant à lui, cherchait en secouant violemment toutes les personnes pouvant être potentiellement responsable de cette horrible 'maladie' qu'était l'amour. Pour ce qui était de Russia, il observait ces pathétiques nations se chamailler stupidement. Cependant, quelque chose le tracassait. Il se tourna vers Lithuania qui se mit à trembler de tout son corps et demanda :
« De qui parlent-ils ? »
« Il parlent de Canada... » bégaya Toris.
« Oh... je vois... » Un étrange sourire se dessina sur les lèvres de Ivan.
Quelques jours plus tard, lors d'une habituelle réunion, Matthew fut de retour, grignotant une crêpe au sirop d'érable avec Kuma dans les bras. Et c'est avec sagesse que Japon leur dit :
« Ça arrive à tout le monde d'avoir un coup de blues... »
Canada les regardait, ne comprenant pas vraiment ce qu'il se passait. Son frère semblait soudainement très soulagé tout comme ses deux anciens pères et Hungary quant à elle semblait déçue. Il remarqua aussi quelque chose d'autre lors de cette réunion. Russia, un des pays que son frère détestait le plus, le fixait étrangement avec un sourire assez effrayant. Mais qu'avait-il donc loupé ses derniers jours ?
J'espère que ça vous à plus !
Je me demandais avec qui vous verriez Canada, je veux dire avec lui j'aime le Us x Canada; le Franada (trop mignon ! ); le Cuba x Canada; le Prussia X Canada ou encore le Russia x Canada. Je ne sais que choisir, vous me diriez quoi ? Quels sont vos autres couples favoris ?
Et si non vous avez aimez le chapitre ? Si oui, commentez ! Si non, commentez et expliquez moi pourquoi -de manière intelligente de préférence.
Sur ce, à bientôt !
