Bonjour bonjour jeune gens ~
Bienvenue sur ma première fanfiction, je vous l'accorde c'est vraiment très très court comme OS et un peu chelou . (J'avoue je suis pas douée pour tenir sur plusieurs lignes ^) Bref' , je suis légèrement stressée et paniquée , mais j'espère que vous allez apprécier ma connerie -tout droit sortie de 9 heures de route- ,n'hésitez pas à laisser une review avec votre avis (negatif ou positif) (~°^°)~ (P.S : Le titre n'a rien à voir avec l'histoire, désolé je savais pas quoi mettre. )
Cela fait si longtemps que je suis seul, abandonné dans l'obscurité . Le questionnement sur ma présence dans ce monde me revient en tête à chaque seconde, minute, heure. J'ai l'impression qu'il ne cessera jamais, Qui suis-je ? Que suis-je ? Comment suis-je ? Les ténèbres m'enveloppent depuis si longtemps que mon corps est devenu un étranger, il ne m'appartient plus. Pitoyable, misérable, abattu , j'ai arrêté de me débattre pour vivre depuis longtemps, je reste prisonnier de ce lieu mortel. Je péris à petit feu , la noirceur qui m'entoure me dévore , m'oppresse et me terrifie. Depuis combien de temps suis-je ici ? Depuis toujours sûrement , j'ai l'impression d'y être né. Je sens l'air me manquer, je suffoque, les ténèbres semblent m'écraser , je me recroqueville , la solitude me pèse , des pleurs ruissellent sur mon visage apeuré. Comme une réponse à ma dernière prière, partir dans la lumière , un doux rayon de chaleur chatouille une petite partie de mon visage . Celui ci semble s'élargir au fur et à mesure , mon visage entier baigne maintenant dans la lumière. Je tends ma main vers elle, aveuglé, puis lâche un soupir de soulagement. Le temps est venu pour moi de disparaître. Dans les dernières secondes de ma minable vie un visage qui me semble familier apparaît, un lapin, puis la lumière prit totalement possession de mon tombeau...
« Jack ! Arrête de faire le con , tu fous quoi sous la couette ?! »
« Euh, je... réfléchis au sens de la vie. »
Le jeune gardien aux cheveux blanc – qui est ma foi fort attirant- balaya d'une main les quelques larmes toujours présentent sur son doux visage enfantin , puis tomba dans un fou rire devant les yeux ébahis de son ami.
« Tu es vraiment fêlé... »
