C'est ainsi que ça a commencé,

Une pièce après l'autre pour me créer.

Ce jeu est devenue une erreur,

Me laissant m'enfermer pendant des heures.

Mais le son de l'acier, l'écrasement des mes envies,

Crier afin de rappeler qui contrôle ma vie.

Mais le temps détruira tout ce dont je rêvais,

Tout meurt, sans même n'avoir pris le temps de profiter.

Je veux crier, mais je ne suis qu'une coquille vide.

Patienter, supplier,

Libère-moi pour me faire vivre.

Arrête de vivre ma vie pour moi,

Je voulais vivre, j'étais ton robot.

Je ne fais plus partie de cette grosse machine,

Je me libère, ne vois-tu pas ?

Je veux vivre, je n'ai plus peur,

Que toi ou que quelqu'un d'autre m'arrache le cœur !

Tu m'as donné des yeux et maintenant je vois,

Je ne suis pas ton robot, je suis moi.

Toujours induite en erreur,

À suivre les fils électriques emmêlés dans mon cœur.

On m'a appris à penser, dire ce que je ressentais,

Jusqu'à ce qu'on me dise que rien n'est est vrai.

Je veux crier mais je ne suis que cette coquille vide.

Patienter, supplier.

Libère-moi pour me faire vivre.

Arrête de vivre ma vie pour moi,

Je voulais vivre, j'étais ton robot.

Je ne fais plus partie de cette grosse machine,

Je me libère, ne vois-tu pas.

Je veux vivre, je n'ai plus peur,

Que toi ou que quelqu'un d'autre m'arrache le coeur,

Tu m'as donné des yeux et maintenant je vois,

Je ne suis pas ton robot, je suis moi.

Je veux crier mais je ne suis qu'une coquille vide

Patienter, supplier,

Libère-moi pour me faire vivre.

Arrête de vivre ma vie pour moi,

Je voulais vivre, j'étais ton robot.

Je ne fais plus partie de cette grosse machine,

Je me libère, ne vois-tu pas.

Je veux vivre, je n'ai plus peur,

Que toi ou que quelqu'un d'autre m'arrache le coeur,

Tu m'as donné des yeux et maintenant je vois,

Je ne suis pas ton robot, je suis moi.