Sherlock: Lorsqu'on élimine l'impossible

Avertissement: Ces personnages et cet univers ne m'appartiennent pas. Ils appartiennent uniquement et entièrement à leurs auteurs respectifs. Par contre, ce scénario particulier m'appartient.


Swiny: Sherlock revient en janvier... J'avais cette idée absurde coincée en tête depuis un moment... J'étais fatiguée... Et un ami m'a demandé une fanfic mêlant Sherlock et une histoire de vœux après qu'on ait regardé Aladdin. Je ne regrette donc absolument rien!


POV JAMES MORIARTY - Le secret de la réussite

Il était une fois un petit garçon nommé "James Moriarty".

A première vue, ce petit garçon n'avait rien d'extraordinaire si ce n'est sa redoutable intelligence. En fait, on pourrait dire que ce garçon n'avait pas vraiment eu beaucoup de chance dans sa vie.

Il n'avait pas la famille la plus agréable qui soit. En effet, il vivait seul dans une banlieue Irlandaise avec un père qui avait l'habitude de le battre et l'absence constante d'une mère disparue. Il n'était pas non plus le plus apprécié dans son école. On le traitait de monstres à cause de son esprit. Il se faisait continuellement harcelé par un garçon de sa classe du nom de "Carl Powers" et les professeurs le croyaient être un menteur.

Quand à l'argent... Quel argent? Jim venait d'un milieu pauvre. Les rares sous que son père ramenait du travail servait à sa beuverie continuelle du vendredi soir. Il dilapidait tout leurs biens à mesure qu'il en gagnait.

On pouvait aussi dire que Jim était souvent seuls. Il n'avait pas le moindre ami à qui raconter ces problèmes. Il n'avait même pas quelqu'un pour le prendre en pitié. Personne ne parvenait à le suivre lui et son esprit brillant. Ils étaient tous si ordinaire que James désespérait de trouver quelqu'un comme lui dans ce monde sombre et ennuyeux. La seule chose qui lui donnait un semblant de plaisir et de distraction était un livre des contes de Grimm volé à la bibliothèque.

Bref! Continuons notre histoire. Notre petit garçon, James Moriarty, ou Jim pour les intimes, trouva un jour dans une poubelle une vieille lampe à huile. Aller savoir pourquoi, le garçon la conserva pendant quelques années. Peut-être était-ce parce qu'elle lui rappelait les contes de fées qu'il avait l'habitude de lire? Peut-être était-ce dans l'espoir d'avoir quelque chose qui lui appartenait vraiment pour le jour où il partirait? Peu importe la raison, cette lampe deviendra l'échappatoire à ce monde morne par la suite.

Lorsqu'il eut 12 ans, un génie apparut à James en lui proposant de faire 3 vœux. La plupart des enfants de cette âge aurait gaspillé leurs vœux sur des choses futiles... Mais comme nous le savons tous, Jim n'était pas un enfant ordinaire.

Son premier vœux fut de devenir une personne avec énormément de pouvoir et d'argent afin d'effectuer l'un de ces plus grand rêve: un criminel consultant.

Son deuxième vœux fut l'accès à un poison assez rare et intraçable afin de pouvoir avoir sa vengeance sur Carl Power, le garçon qui se moquait toujours de lui.

Quand à son troisième et dernier vœux, il souhaita d'avoir quelqu'un qui le comprendrait entièrement et totalement. Quelqu'un comme lui avec qui il ne s'ennuierait jamais. Quelqu'un de suffisamment semblable pour qu'il passe le reste de sa vie à s'amuser avec.

Le deuxième vœux fut le plus rapide à s'effectuer et trois jours plus tard, Carl Power mourut sous la forme d'un accident dans une piscine grâce à ledit poison. Personne ne remarqua que ce ne fut pas un accident à l'exception d'un petit garçon mais sur le moment, Jim ne s'en souciait pas.

Alors que les années passèrent, Jim devient étonnamment chanceux et son premier vœux fut exaucé. Il put devenir un vrai consultant criminel à l'âge tendre de 19 ans.

Cependant, le troisième vœux ne se réalisa jamais malgré les années qui passèrent. Oh, bien sûr, il y eut ce détective consultant qui devint rapidement une forme de jeu et qui réussi à l'amuser pendant un moment. Hélas, il y avait comme une barrière infranchissable entre l'homme et lui. Il était semblable mais les sentiments les entourant était plus comme l'obsession et le respect qu'un réel amusement pur et simple. James ne sentait pas un vrai plaisir comme il aurait dû ressentir selon ce qu'il avait formulé au génie. Il en déduit donc que Sherlock Holmes n'était pas vraiment la personne qu'il avait souhaité.

Et comme dans toutes les bonnes histoires et dans celle de James en particulier, il fallut un moment avant qu'un événement totalement imprévu tourne sa vie à l'envers.


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