Bonjour à tous ! (Ou bonsoir visiteur du soir)

AH FULLMETAL ALCHEMIST ! Un des meilleurs mangas que j'avais regardée dans mon enfance. Un jour je trainais le soir sur MCM et je découvre qu'il diffusait la version Brotherhood et je me suis rendus compte que je ne comprenais pas grand-chose quand j'étais jeune ^^'

J'ai décidé de le regarder de nouveau (version 2003) et j'ai adorer deux personnages : Scar et Lust (mes bias)

Je trouve que leur histoire n'a pas été assez exploité et j'ai décidé d'écrire une fan fiction.

Bien évidemment, je ne suis pas une pro de l'écriture. Je n'écris que durant mes heures perdues et j'espère qu'elle vous plaira. Et je suis assez nul en orthographe etc. Je n'ai jamais été très forte en français malheureusement.

Je n'ai pas changé l'histoire de Fullmetal Alchemist (2003) mais j'ai plutôt imaginer une suite.

L'univers de Fullemetal Alchemist appartient bien sûr à Hiromu Arakawa.

ENJOY !

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I

« Ma tête » me plaignis-je en me massant le crâne.

J'étais encore vivant et je ne comprenais pas ce qu'il m'arrivait. J'avais pourtant bel et bien recracher tout mon stock de pierre philosophale incomplète. A peine me relevais-je que ma tête refait des siennes. Je n'ai jamais eu un mal de crâne aussi intense. C'était une sensation inédite, serais ce la sensation de la mort ? Mais je me rendis vite compte d'une chose. Je n'ai tout simplement jamais ressenti de douleur et d'ailleurs où suis-je ? Je me retourne et découvre une énorme porte. C'était cette porte. Mais qu'est-ce que je fais ici ?

« Bienvenue » entendis-je derrière moi. C'était une silhouette blanche qui venait de me dire cela. Elle n'avait pas de visage et pourtant je pouvais sentir son regard sur moi et je m'imaginais un sourire machiavélique se dessiner sur son visage parfaitement lisse et blanc.

« Qui êtes-vous ? »

« Excellente question ! Je suis ce que tu appelles le monde. Ou bien l'univers. Ou bien dieu. Ou bien la vérité ou bien tout, ou bien un. Mais je suis aussi … » dit-elle en pointant son index vers moi. « Toi. »

« Moi ? Ce n'est pas possible je ne suis qu'un homonculus. Je ne suis qu'un corps vide. »

« Justement ! J'étais la pièce manquante de la transmutation humaine de mon cher amour. »

« Tu es mon âme ? » demandais-je avec beaucoup plus d'enthousiasme. Alors elle existait bien.

« Je ne suis désormais qu'une âme errante. Je suis morte dans le monde de l'alchimie ainsi que dans l'autre monde »

« L'autre monde ? »

« Oui, il existe un autre monde que celui que tu connais. Cet autre monde est dénué d'alchimie et est remplacer par la technologie. Pour parfaire une transmutation humaine, il faut que cette personne soit morte dans les deux mondes. Sinon la transmutation est ratée. A l'époque où mon époux a voulu me ressusciter, j'étais encore vivante dans l'autre monde ainsi mon âme n'a pas pu traverser cette porte et la transmutation humaine à complètement ratée. Mais désormais nous avons une chance. Au vu de ton apparence, je suis morte très jeune également dans le monde de l'alchimie ? C'était surement mon destin. »

« Et qu'est-ce que je viens faire dans cette histoire ? »

« Ce n'est pas ce que tu voulais ? Devenir humaine ? »

« Oui mais je n'ai pas la pierre philosophale et je ne peux pas pratiquer l'alchimie. Comment est-ce que je vais faire ?»

« Cette pierre-là, ne t'aidera jamais à devenir humaine. C'est impossible. Tu ne seras jamais humaine dans le monde de l'alchimie mais je peux te proposer un nouveau départ dans l'autre monde. »

« Comment est-ce que c'est possible, je ne comprends plus rien ! » m'emportais-je

« Toi et celle que tu représentes dans l'autre monde êtes morte en même temps, ce qui explique le processus. Ais-je bien éclairer ta lanterne ? »

« Je deviendrais donc humaine ? »

« Traverse donc la porte »

Je me retourne et des petites mains viennent enrouler mon corps et m'entraîne dans la porte avant q'elle ne s'enferme violemment derrière moi. Je vois une lumière blanche au fond de ce tunnel qui me semblait sans fin. Pendant mon voyage je revois les vagues souvenir de mon ancienne vie qui me torturait tant mon esprit. Désormais un nouveau départ s'offre à moi

}*.*{

Je rêve où je suis en train de tomber du ciel ?! Je sens mon cœur tambouriner à l'intérieur de moi et pour la première fois de ma vie je rie à gorge déployer. Je sens mon cœur battre ! Et c'e l'a meilleure sensation au monde. Ces battements de cœur comblaient le vide oppressant qui m'habitait lorsque j'étais homonculus. Mais je me rends vite compte que mon corps n'est pas aussi résistant que celui d'un homonculus. La peur me submerge alors, je viens à peine d'arriver et je vis déjà une attraction d'émotion forte et sa me faisais tout drôle. Je ne vais pas m'en aller tout de suite de ce monde, je viens à peine d'arriver et je n'ai encore rien découvert. Je ne sais pas si c'est le destin ou de la chance mais un arbre vient alourdir ma chute et je tombe les fesses les premières. Je reprends petit à petit ma respiration et me relève rapidement. Ça va, il n'y a rien de casser. Faut croire que les êtres humains n'étaient pas si fragiles que ça. Je me rends compte alors que j'ai sourire béat depuis mon arriver ici. Envy avait totalement tort, être humain est tellement mieux qu'être un simple humain artificiel dénué de toute émotion. Mon envie de devenir humaine ne cessez de croître depuis que j'ai découvert les émotions humaines que j'avais découvert quand j'avais croisé pour la première fois une personne de mon passé. C'était le plus beau jour de ma vie d'homonculus. Il m'avait fait ressentir des choses que je ne connaissais pas lorsqu'il à sauter sur les militaires pour me protéger des balles. Il est désormais mort. Et aussi incroyable que cela soit-il cela m'avais touché. J'avais éprouvé ce qui semblait être de la peine. Je chasse vite ces mauvais souvenirs, une nouvelle vie démarre ici, et je n'ai pas le temps de me soucier de ma vie d'avant !

Pendant environ une semaine, j'essayais de chercher une ville où je pourrais me mêler à la foule et découvrir ce que cette nouvelle vie allait m'offrir. Et c'est seulement après une semaine que je trouve une fichue ville. Je ne savais pas dans quel pays je me trouvais ni dans quel continent. Durant cette semaine, j'ai découvert la faim (je comprenais désormais si bien Gloutonny et son appétit interminable), la fatigue, l'ennui, la peur, toute ses émotions dont j'avais tant rêver. J'avais l'impression que tout ceci n'était pas réel.

Je me dirige vers la ville et y découvre une vie assez semblable à la nôtre dans le monde de l'alchimie. Des commerçants, des boutiques, des soldats, des hommes ivres et des Ishbal. Des Ishbal ? Y aurait-il des Ishbal même dans ce deuxième monde ? Je m'approchais du groupe mais me rendis vite compte qu'il ne s'agissait pas vraiment d'ishbal. Ils n'avaient pas les yeux rouges, caractéristique spéciale de notre peuple. Je me retourne pour continuer ma route et me cogne contre quelque chose de dure. Je ressens une douleur vive sur mon nez et me fait un mal de chien je n'avais encore jamais rien ressenti de tel. Je lève les yeux et rencontre ceux d'un homme que je n'aurais jamais cru rencontre ici.

« Pride. » dis-je avec ma nonchalance habituelle

« Plaît-il ? Vous devez certainement vous tromper de personne charmante demoiselle » dit-il en ôtant son chapeau avant de s'en aller. Pourquoi est-ce qu'il ne m'a pas reconnu ? Ais-je changer de physique ?

Je me mis alors à la recherche d'un endroit où je pouvais avoir accès à un miroir. J'en trouve une chez une marchande et me regarde attentivement. Je n'ai plus les yeux violets, ils sont désormais verts et mon teint n'est plus aussi cadavérique qu'autrefois, il est un peu plu basané. Je ressemblais tout simplement à une ishbal.

« Pose moi ça tout de suite sale tzigane ! » me criait la marchande qui venais de me remarquer

« Je n'allais rien vous volez, calmez-vous vielle femme » dis-je avec mon ton habituel. Je ne m'en suis jamais rendis compte mais il était assez glacial ce ton-là.

« Vielle femme ? Vous les tziganes ne valaient pas mieux que de vulgaire cafard. Bientôt vous serez réduit à néant ! »

« Tziganes ? Mais de quoi est-ce que vous parlez vieille folle ?» l'interrogeais-je. Tziganes ? Je ne vois absolument pas de quoi est ce qu'elle me parle.

« Garde ! Arrêtez cette vulgaire insolente ! »

Un garde m'attrape violemment par le bras mais je le mets à terre assez rapidement. Au moins je n'ai pas perdu ma capacité de combat, et je pense que j'en aurais beaucoup besoin. Je me mis à courir et je me fais suivre par plusieurs gardes quand leur collègue les avaient prévenus de ma fuite. Mais qu'est-ce que j'ai fait ? Je n'ai commis aucun meurtre, je n'ai rien fait de grave. Je comprends alors que les tziganes n'étaient pas bien vu ici, je ne devrais pas me faire attraper. Je me faufile entre les petits couloirs sombre de la ville et rencontre une petite route déserte. Ils ne me suivaient plus mais je devais m'en aller le plus loin d'ici et chercher une autre ville. Je me mis à suivre la route et j'y trouverais peut-être une calèche. Je courrais de toute mes forces et commencer à m'épuiser. Je suis prise d'un violent point de côté et je m'arrête subitement. J'entendis alors un bruit de voiture qui s'approche de moi. Quatre voitures plus précisément.

Je me retourne et vois le groupe de personne qui me semblait être des Ishbal. Je me sens tout de suite plus soulager. Tant que ce ne sont pas des gardes, tout va bien. La voiture s'arrête et tous les regards sont braquer sur moi. Le groupe me lance un regard ahuri tout en restant muet. Je comprends alors qu'ils connaissaient celle dont je suis la transmutation humaine. C'était inévitable mais parmi tous les endroits où j'ai dû aller, ils y étaient. Moi qui voulais retarder ce moment le plus rapidement possible.

« Elle lui ressemble comme deux gouttes d'eau » dit finalement une femme assise dans la calèche accrocher à la première voiture. J'avais vu juste

« Comme quand on a vu Leyvan la première fois » commente un jeune homme à côté du conducteur de cette même voiture qui me disais vaguement quelqu'un.

Je me mis à observer ce conducteur. Mais où est-ce que je l'ai vu ? Ah mais bien évidemment que je le connais.

« Scar ? » Dis-je dans l'espoir que celui-ci me reconnaisse contrairement à Pride.

« C'est Leyvan, c'est tout. » me dit-il. M'aurait-il reconnu ? « Allez montes, tu dois être perdus »

Je ne bronche et monte immédiatement derrière la voiture auprès des femmes. Je me mis alors l'observer longuement. Comment cela se fait-il qu'il soit ici. Lui serait-il arrivé la même chose que moi ?

« On a un petit coup de cœur pour Leyvan ? » me chuchote une fille près de moi.

« Oh non, j'étais seulement dans mes pensées » les filles se mettent alors à rire.

« Tu n'es pas la seule » continue une autre « Rose, on va te le piquer fait attention » et elle se remettent à rire à l'unisson. Je me joins à leur rire quand je vois la mine dépitée de Rose. Je l'ai reconnu également. La sainte du village de Lior. Sans ses mèches roses elle est beaucoup plus charmante.

« Alors la nouvelle, c'est quoi ton petit nom ? » me demande un homme assis dans la banquette arrière de la voiture et en me regardant … partout sauf dans les yeux.

« Je m'appelle L- » commençais-je avant de me faire couper par Scar.

« Elle s'appelle Linda »

« Je sais parler toute seule » dis-je à l'intention de Scar.

« Bien on se dépose ici pour ce soir, ça m'a l'air calme. » annonce-t-il tout en ignorant mon commentaire.

Tout le monde descend et commence à lever le camp. Je me mis alors à les aider instinctivement, ce qui m'étonna de moi-même. Quelque minute après toutes les tentes était installée. Je m'assis, j'étais exténuer et c'était une toute nouvelle sensation pour moi. Je soupire et je remarque des regards masculins sur moi et j'émis un petit rictus. Je n'avais pas perdu mon charme durant ce voyage unique. Et cela me plaisait.

« Linda tu viens, on va aller se laver avec les filles »

« Je n'ai aucun vêtement de rechange. » dis-je en me rendant compte de ma situation actuel.

« Je t'en prêterais il n'y a pas de soucis ! » me propose t elle

« D'ailleurs quelle est ton nom ? »

« Je m'appelle Kenza. Allez viens dépêche on n'a pas beaucoup de temps »

On arrive près d'un lac et toutes les autres sont déjà en train de se baigner. Je m'apprêtais à me déshabiller quand je me rends compte que des voyeurs se cachaient dans l'arbre près du lac. En temps normal cela ne m'aurais pas dérangé mais je ressentais une gêne qui m'empêchait de continuer mon geste et en même temps une colère remonter.

« Bande de voyou, sortez vite d'ici avant que je vous cogne ! » criais je et je suis surprise de ma réaction.

Quand les filles voient les deux petits garnements tomber de leur cachette elles se mettent à hurler et à se cacher.

« Merci Linda » dit une des filles tandis que les autres se mettent à rire. C'est dingue comme ces filles étaient constamment en train de rire, elles respiraient la joie de vivre.

Je me déshabillais et rentre dans le lac également.

« Dis-moi, d'où est ce que tu viens ? » me demande une fille d'une quinzaine d'année. Toute les filles se mettent alors à m'écouter.

« Je viens d'Ishbal » dis-je finalement. Pas la peine de mentir.

« Ishbal ? Je ne connais pas » commente une autre femme

« C'est un petit village qui a été saccager, je suis une survivante et je me suis enfuis ici. J'échappais au garde avant de vous rencontrer »

« Tu n'es pas tsiganes ? »

Je dois me faire passer pour l'un des leurs j'imagine si je veux pouvoir rester avec eux. Si je comprends bien ce sont des gens sans terre étant donné leur habitude de lever un camp.

« Si mais, mes parents ont décidé de poser leur valise là-bas pour vivre paisiblement »

« Sa doit être nouveau pour toi alors les voyages ? »

« Un peu oui, ce nouveau mode de vie est venu assez brutalement. Je n'y étais pas préparée »

« Tu sais tout à l'heure, quand on t'a vu tu ressemblais tellement à une amie »

« Elle est morte j'imagine ? » demandais je connaissant la réponse.

« Oui, d'une maladie malheureusement. »

« Elle était si gentille. Tout le monde l'aimait tellement. »

« Toute mes condoléances »

Un silence assez pesant s'installe. En temps qu'homonculus, j'avais réellement envie de découvrir mon histoire, mon passé. Et désormais elle est encore plus forte. J'y arriverais quoi qu'il arrive.

« J'ai une question » C'est Rose qui prend la parole. « Où as-tu connus Leyvan ? »

Je n'appréciais pas vraiment son regard. Il était curieusement insolent. Je la regarder longuement avant de finalement lui répondre que l'on s'était croiser par ci par là sans donner plus de détail.

On finit de se laver et de s'habiller puis nous rejoignons le camp. Pendant que les hommes allaient à leur tour se laver, les filles cuisinaient. Je me mis alors à les aider et elle me propose de leur proposer un plat d'Ishbal. Je commence alors à cuisiner avec une aisance que je ne me connaissais pas. C'est comme si c'était évident pour moi quand soudain j'eût un flash

FLASHBACK

« Deynha, tu peux me préparer ton pain spécial » me demande Alexander

« Alexander, arrêtes ces caprices tu n'as plus 10 ans »

« Aller, et en échange je te donne mes bisous spéciale »

« Si ton frère nous entend, il va nous tuer ! »

FIN FLASHBACK

Cet Alexander … C'est Scar. Avions-nous cette relation autrefois ? Il m'avait dit qu'il aimait celle que j'étais avant mais il ne m'avais pas donner plus de détail. Je me concentre alors sur la cuisson de mon pain apparemment ''spécial''. Ça lui fera peut-être plaisir. Quand les garçons avaient fini, le souper était prêt. On s'assit autour du feu et commencions à déguster ce repas succulent. Mon premier vrai repas. Et j'appréciais également la chaleur que me procurer ce feu et les bruit qui l'accompagner. Je me sentais vraiment bien. Je me mis alors à chercher du regard Scar qui n'avais manifestement pas appétit. Je me lève et le rejoins.

« Tu ne veux pas goûter mon pain spécial ? »

« C'était le pain spécial de Deynha, pas le tien » me dit-il avec agressivité

« Alors c'est vraiment toi Scar ? »

« Et c'est donc vraiment toi … Lust »

« Plus humaine que jamais. » dis-je avec énormément de fierté

« Oui, j'ai remarqué que ton ouroboros avait disparu »

« Tu te met à regarder ma poitrine maintenant ? » dis-je en m'étonnant du ton enjôleur que j'avais employée. Il m'était arriver de jouer avec les hommes pour les amadouer et obtenir ce que je voulais mais le faire ainsi naturellement et y prendre plaisir, jamais.

« Comment la rater en même temps » dit-il de son ton rossard.

« Je ne sais pas trop comment le prendre » dis-je avec un regard surpris par ce qu'il venait de dire.

« Prend le comme tu veux »

Il se lève et rejoins les autres hommes du camp qui ont commencé à jouer de la guitare et à chanter. Ils se sont mis à danser et ceux qui étaient seulement spectateur tapaient des mains et affichaient un sourire sur leur visage. J'appréciais véritablement cette ambiance-là. Je me lève alors et les rejoins dans la dance en essayant de les imiter. Leur musique était réellement entraînante. Un homme m'attrape le bras et on se mit à danser ensemble.

}*.*{

Voila !

Alors c'est encore que le début mais cette fanfiction ne comportera pas beaucoup de chapitre (max. 10 je penses)

C'est juste pour donner une fin alternative à des gens qui auront apprécier une meilleurs fin pour ces deux la (on n'est pas très nombreux d'ailleurs il n'y a pas beaucoup de fanfiction à propos de ces deux la, j'ai le don d'aimer les couples que personnes n'aiment MDR)

Je vous alors à dimanche prochain pour le 2nd chapitre ! KISS.