Quelle soirée ennuyeuse.

Tout ntaient que fanfreluches, eaux de Cologne, ainsi que hautes coutures et vins de marques.

Lord Tyki Mikk soupira.

Accoudé à la rampe dun escalier en cristal menant à ltage supérieur, un verre de vin à la main, il regardait les alentours dun air nonchalant en essayant didentifier quelquun qui aurait pu le distraire quelques instants.

Depuis le début de la soirée, une dizaine de femmes avaient dû laccoster en lui proposant une danse. Offres quil avait déclinées poliment.

Soudain, quelque chose attira son regard.

Non. Il rêvait ! Ce ntait tout de même pas le groupe dexorcistes qui se tenait à lentrée !?

Et pourtant, si.

Lenalee dans une robe argentée dès plus sexy, lui dénudant les épaules. Un anneau en argent lui rassemblait les cheveux sur le haut de son crâne en une queue haute. Lavi, costume cravate beige avec les cheveux peignés en arrières. Et le fameux tricheur au poker. Ses cheveux blanc avaient changés de style depuis sa dernière rencontre, peignés vers le haut, il avait gardé sa cape blanche du Crown clown pour camoufler son bras robotisé, un T-shirt et un pantalon noir mettait en contraste la cape à fourrure blanche.

Tyki sourit. Cela faisait longtemps quil ne stait pas amusé un peu. Et puis, après tout, personne nen saurait rien.

Il les regarda marcher vers une piste de danse, Lenalee prenant Lavi par la main lobligea à être son cavalier. Le rouquin, apparemment gêner de pouvoir poser ses mains sur les hanches de la jeune fille, nen demeura pas moins satisfait.

Allen les regarder valser, adossé au mur, un sourire sur les lèvres.

-Bonsoir.

Le jeune homme se retourna. Qui était cette personne au timbre de voix bizarrement familier. Il failli avoir une attaque en voyant Tyki Mikk, sourire jovial au lèvres, penché sur lui en le regardant comme une vielle camaraderie.

-V-Vous ?!

-Hm ?

-Que me voulez-vous ?

Tyki ne voulait pas perdre de temps en palabres inutile. Il tenait toujours son verre de vin dans son dos. Et avec le plus de discrétion possible, il y glissa un somnifère.

-Ce que je te veux ? Moi ? Rien de bien dramatique. Un verre ?

Voyant le verre de vin rouge que lui tendait le Noah, Allen crus dabord à une plaisanterie. Puis après réflexion, sentit la mauvaise odeur du piège.

-Plutôt mourir que de boire une de vos mixtures.

Tyki eu un léger rire, puis lui montra la piste de danse du doigt.

-Jette un coup dil à tes amis.

Inquiet, Allen se retourna vivement. Cherchant Lavi et Lenalee du regard, il pu voir que rien navait changé quant-il les vus danser un peu plus loin. Soudain, quelque chose sur le dos de la robe de son amie lui fit froncer les sourcils. Un papillon qui aurait tout aussi bien pu se faire passer pour un nud décorateur se tenait dans le dos de la jeune fille.

-Si tu ne veux pas que ta petite amie se fasse dévorer, je te conseille fortement daccepter mon verre.

Nayant pas la choix, Allen arracha des mains le verre de vins rouge au Noah, puis, pour lui montrer quil navait aucunement peur de lui, le bu dune traite.

Il aurait mieux fait de sabstenir.

Absorbant ainsi le somnifère dun coup, ses yeux commencèrent à voire floue et sa tête lui tourna.

Se tenant le crâne, ses jambes se dérobèrent sous ses pieds et se fut le Noah du plaisir qui le rattrapa dans sa chute.

Les seuls mots que Allen pu entendre furent Ne tinquiète pas. On va bien samuser. 

Puis, le noir.

Il se réveilla couché sur un lit, les deux poignets entravés au matelas par des chaines.

La pièce était baignée dans le noir, seule une fenêtre où les rayons de lune pouvaient passer, éclairait le lit.

Remuant ses bras autant quil le pouvait, ne voulant même pas imaginer pourquoi le Noah avait voulu lattacher ainsi, les chaines semblait plutôt du genre solides.

-Inutiles de te débattre. Tu ne ferras que tabimer les poignets. Si tu veux faire couler ton sang, ce nest pas comme ça quil faut ty prendre.

La voix du Noah lui était parvenu dun coin de la pièce caché dans lombre.

Son ravisseur, apparemment peu désireux de se montrer, resta caché dans le noir en continuant dune voix suave où un certain désir en suintait.

-Je ne tai pas amené ici pour rien, Allen Walker. Je mennuis ferme dans cette soirée, et puis, après tout, des gens viennes dans des soirées comme celle-ci pour samuser, non ? Sinon, quelle intérêt ?

-Que me voulez-vous ? Si cest linnocence que vous cherchez, laissez tomber. Elle est devenu bien plus forte que vous ne pouvez limaginer.

Le gentleman se décida enfin à sortir de sa cachette. Ses yeux dorées toisant son invité, le dévorant du regard.

Puis savançant jusqu lui, il finit par effleurer la main robotisé dAllen en remontant jusqu lpaule.

-Hmoui. Cette innocence, dit Tyki, songeur.

Puis relevant légèrement la cape blanche du clown allongé, il repassa de son doigt les marques noir qui staient formées autour de son épaule. Voyant Allen, impuissant, faire la grimace quand le gentleman le toucher, celui-ci eu un sourire puis retira sa main.

-Cest frustrant, nest-ce pas ? Lui demanda-t-il en enlevant son gant. De se sentir si impuissant. De savoir que ( déplaçant son bras vers le ventre du jeune garçon ) même si tu pourrais éviter une pareille situation

Il lui souleva son T-shirt noir, sa main plaquée sur les muscles dAllen qui essaya tant bien que mal dchapper à la prise du Noah.

-tu nen a pas le pouvoir.

En lui murmurant ses dernier mots, le gentleman fit doucement redescendre sa main dans le sens inverse, laissant au petit le soin de se mordre les lèvres.

Il avait pu remarquer que le cur du clown blanc avait accéléré de quelques pulsations.

Cela ne fit quaccentuer son sourire.

-Je suis bien plus fort que toi, petit. Et tu ny peux rien. Cest bien pour ça que tu ne pourras pas mempêcher de faire ce que bon me semble de toi. Ecoute-toi. Tu entends ce cur battre ? Réfléchis. Naurais-tu pas envie de lentendre battre encore plus fort ?

Sur ces paroles, une vagues de chaleur traversa Allen, son cur passant au niveau supérieur commençais à élever son torse de plus en plus haut.

-Je suis sûr que tu ne me repousserais pas aussi bien que tu aurais dû le faire, lui susurra le Noah. Mais, dis-moi, petit. Que crois-tu que cela fasse, le désir charnel ? Hm ? Que crois-tu ressentir une fois quun frottement de peau, un mélange de sueur, une main ayant découvert chaque recoin de la surface de ton corps te soit arrivé ? Ne me dit pas que tu resterais de marbre. As-tu au moins déjessayé une sensation comme celle-ci ? Cette sensation qui te fait frémir, qui te fait accélérer la respiration, le cur, qui te bloque le cerveau, qui laisse tes émotions tenvahir, qui te submerge dune chaleur intense et qui te fait développer ton toucher au point telle que même lair sur ta peau te semble être le plus doux des baiser. Quand tu la connais, la vie tapparait sous un autre jour.

Une nouvelle main alla se poser de nouveau sur le ventre chaud dAllen.

-Aah. Je vois. Tu te retiens, cest ça. Constata le Noah en voyant les lèvres hermétiquement fermées du jeune garçon, ainsi que le haut de son visage caché dans lombre, trahissant surement un désir quil ne voulait pas faire paraitre.

-Je ne voix aucune raison qui tempêche de te laisser aller, lui fit remarquer le Noah en déposant son haut de forme sur la table de nuit.

Puis déboutonnant sa veste quil laissa choir par terre, ainsi que sa chemise blanche, il mis un genoux sur le matelas avant de se hisser sur le jeune garçon qui ne fit aucun mouvement pour len empêcher.

-Tu ne tiendras pas longtemps, petit. Le désir nest pas quelque chose que lon peu étouffer comme ça. Il suffit que je te fasse ça ( le Noah effleura de sa jambe le bas-ventre de lexorciste qui se cabra en serrant les dents ) pour que la fine barrière qui te sépare de ce sentiment soit brisée.

Les yeux dorés du Noah staient fait malicieux et joueur, pétillant à regarder le jeune homme en sueur qui essayait de ne pas faire sortir un seul bruit de sa gorge.

-Si tu ne te rends pas compte de ce quest lamour, je peu te le faire découvrir. Si tu te laisse bien sagement faire, si tu veux savoir ce quest le besoin dun corps se mouvant sur le tiens, alors

-TaiTaisez-vous !

Lordre avait était difficilement articulé, et de plus, il avait été prononcé avec une once de pitié. Ce qui fit naitre un sourire carnassier sur les lèvres du Noah.

-Vraiment ? ( passant un doigt sur les lignes des muscles du jeune homme ) Pourquoi ça ?

-Jefaites ce que vous avez à faire, mais arrêtez dede

-De ? Chantonna Tyki, qui samusait encore plus que prévu.

Allen serra les dents, il ne pouvait pas sabandonner à cet homme qui était son ennemi. Non. Il ne pouvait pas. Il ne laimait pas. Il ne laimait pas. Il ne laimait pas. Il le détestait tant quil devait sen persuader lui-même, par ailleurs.

-Jai vraiment fait le bon choix, tu est très divertissant, petit. Regarde-toi. Je tai à peine dis quelques paroles sur ce qui tattendais que tu est déjà excité comme pas deux.

-N-Non. Je nesuis pas

-Bien sûr que si. Ecoute ton cur, il ne mens jamais. Allez. Abandonne. Tu ne prendra pas un maximum de plaisir si tu ne te lâches pas.

-Je ne prendrais aucun plaisir ! Aucun !

-Oh, oh ! On est rebelle à ce que je vois. Je naurais pas crus quil te restait autant de raison pour pouvoir aligner une phrase cohérente.

Avec un sourire étiré sur les lèvres, ne lâchant pas des yeux le visage crispé de son divertissement, il ne voulait pas louper une miette de ce qui allait suivre. Descendant la main le long du torse du petit tricheur, il arriva bientôt à linterstice de son pantalon. Passant sans le moindre gêne en-dessous, il se rapprocha dangereusement de la partie intime dAllen qui aurait pu se casser les dents si il les avaient serrées un tout petit peu plus fort.

-Jai bientôt gagné, petit. Tu abandonnes ? Demanda Tyki en frôlant des doigts la source des sueurs du jeune homme.

-Ja-Jamais. Car

Tyki fit de grand yeux surpris en voyant un sourire stirer sur les lèvres dAllen.

-Cest moi qui est gagné.

Le Noah neu pas le temps dassimiler ce que lexorciste disait, une explosion à la droite de la tête du petit se fit sentir.

Tout ce passa si vite quil neu pas le temps de comprendre ce quAllen venait de faire.

Il se retrouva à sa place, la tête sur loreiller, les deux mains collées des deux cotés de sa tête par les mains du clown blanc qui se tenait à présent à califourchon sur lui.

Tyki tourna la tête vers lexplosion et pu y voir sa main, appuyer contre le matelas à coté des chaines pulvérisées.

Hm. Il avait compris. Le petit avait dû activer discrètement son innocence et détruire la chaine en activant celle-ci quand son attention était portée ailleurs.

Il avait encore une mains entraver, mais avait tout de même réussit à tenir celle de Tyki malgré les chaines.

Ce petit était surprenant.

-Bravo, le congratula le gentleman torse nue, son sourire ne quittant pas son visage. Je ne my était pas attendu à celle-là.

Allen lui sourit à son tour, encore haletant du petit avant-gout que Tyki lui avait fait découvrir.

-Merci. Tout le plaisir était pour moi.

-Vraiment ? Tu men vois flatté.

-Mais moi, jai dautres méthodes, sourit le clown blanc. Je nhypnotise pas mon adversaire avec des paroles affectant le cerveau. Tout du moins, tu as surement dû utiliser un genre de pouvoir pour mexciter autant avec de simples paroles, dans la réalité, tout cela ne doit pas être possible. ( un grand sourire de la part du Noah le fit néanmoins douter sur ses dires ) Non. Moi je préfères directement passer à lacte.

Le sourire carnassier changea de propriétaire, et la figure étonnée refit surface sur le visage de Tyki.

Allen se fit exploser la dernière chaîne qui lempêcher de faire ce que bon lui semblait, puis avant de laisser au gentleman le temps de répliquer quoi que se soit, le clown blanc retourna Tyki sur le ventre, arrachant son pantalon ainsi que le sien, puis le pénétra sans aucun ménagement.

Un cris de souffrance mêler à la surprise sur la force du geste sortit des entrailles du Noah. Celui-ci serra les poing sur le matelas, les dents serrer dans loreiller.

-Aah. AahEnfoiré.

Sentant les vas et viens frotter son corps contre le tissu du matelas, Tyki essaya de bouger les bras mais Allen le tenait fermement.

-Alors, Messire Tyki Mikk ? Cela vous convient-il ?

Le Noah à la peau sombre ravala le gémissement quil était sur le point de pousser pour étirer de nouveau ses lèvres en un rictus sadique.

-Tch ! Pas tout à fait.

Allen sentit tout dun coup le corps quil avait posséder se dérober sous lui. Les mains, les jambes, le corps tout entier du Noah senfoncer dans le matelas.

Si bien que, finalement, Allen se retrouva à genoux sur le lit. Seul.

Une voix, comme enfouis dans les ténèbres, lui parvins derrière son dos.

-Ne crois pas que tu va ten tirer si facilement.

Une ombre se jeta sur lui. Le plaquant de nouveaux sur le matelas, ventre contre le tissu. Ses deux mains étaient rassembler dans son dos par celle du Noah.

La position dAllen navait rien à envier à celle dun criminelle en fuite plaqué au sol par un policier, prêt à se faire mettre les menottes.

Sauf quici, il ny avait ni voleur, ni policier, ni menottes

Enfinpour les menottes, il ntait pas totalement sûr.

A son tour, il se sentit pénétrer avec violence.

Un cris de douleur mêler au plaisir sortis de sa gorge.

-Cest mieux dans ce sens là ? Tu ne crois pas ? Linterrogea Tyki en lui lâchant les poignets, continuant ses va et viens féroce.

Allen ne répondit pas, trop préoccuper à agripper le matelas pour ne pas ce cogner la tête dans le mur à chaque mouvement de bassin du Noah.

Soudain, une langue humide et fraiche parcouru sa colonne vertébrale pour finir dans sa nuque. Il se cabra, geste quil regretta tout de suite en se faisant ainsi pénétrer plus profondément.

-AAAH ! Aah ! Aah !

La bouche souriante de son tortionnaire arriva près de son oreille pour lui murmurer.

-Alors ? Tu aime ça ?

Allen poussa un énième cris, puis finalement, renversa le Noah en le mettant sur le dos. La tête des deux hommes étaient au pied du lit, et leurs pieds sur loreiller.

Allen avait repris le dessus mais il ne pouvait que bloquer les poignets de Lord Mikk, pour linstant. Trop occupé à retrouver son souffle pour faire quoi que se soit dautre.

Tyki eu un sourire, puis sourcilla.

-Tu est déjà épuisé, petit ? Tu sais, ça na pas encore vraiment commencé.

Allen ne pouvait même plus tenir les bras tendu, se reposant sur ses coudes, la respiration encore haletante.

-Ça napas encorecommencé ?! Stonna le gamin.

Tyki se contenta de lui adresser un pauvre sourire.

Ce que ça pouvait être naïf à cet âge là.

Le gentleman capta soudain le regard dAllen, fixé sur ses lèvres.

Ses intentions auraient pu êtres marquées sur son front quelles nen auraient pas étaient moins voyantes.

Doucement, presque timidement, le clown blanc se baissa vers le visage de ladulte.

Fermant ses yeux gris, il attendit le contact qui ne se fit pas attendre.

Liant leur lèvres en un doux baiser, toute rage de dominance avait disparu. De léger soupira daise se faisait parfois entendre, mais tout ntait que passion et besoin de lautre.

Allen compris enfin ce quavait voulu lui dire le Noah. Le désir ntait pas quune passion folle, ctait également un échange des plus intime sur lequel on était

lié. Quon le veuille ou non.

Les mains du gentleman passèrent dans le dos de lexorciste avant de remonter sur sa nuque, renforçant leur baiser.

Le désir reprenait le du.

Tyki renversa une nouvelle fois son assaillant sans pour autant décoller la bouche de celle de son petit clown neigeux. Leur tête retrouvant la joie des oreillers, leur mouvements se firent plus rapides, et alors que Tyki allait de nouveaux retourner lexorciste, une petite voix désagréable et plaintive se fit entendre.

-Miiiission ! Miiiission !

Une carte voletante dans lair sapprocha des deux hommes qui avaient sursautés. Une sorte de petit lutin à la mine triste, se tenant derrière des barreaux, criait :

-Vootre Miiiission ! NOuuubliiiez paaas Vootre mission !

-Raaah ! Tu naurais pas pu mieux choisir ton moment, toi ! Râla Tyki en lâchant Allen pour se redresser.

Puis délaissant lexorciste un peu dépassé par les évènements, il se redressa pour enfiler son pantalon.

-A-attends ! Le retins Allen alors que le Noah remettait sa ceinture en place. Où est-ce que tu vas ?

Tyki remis sa chemise, ajusta son col, puis enfila sa veste par-dessus.

-Jai un truc à faire quand minuit sonne.

-Je suis désol, mais il est déjà minuit depuis plusieurs minuuuutes ! Se justifia le pantin devant son maitre.

-Maismais tu avait dit que ce ntait que le début ! Rappela Allen, comme un enfant auquel on aurait fait la promesse daller à Luna parc pour y faire trois tours de manèges.

Le gentleman se repeigna dun geste de la main, puis plaça son chapeau sur sa tête. Souriant au clown blanc qui semblait terriblement vexé.

-Dis donc, monsieur moi-je-suis-inscencible-à-tout-ce-que-tu-pourras-me-faire. On dirait que, finalement, tu en réclames.

Le Noah semblait encore samuser, car il rigola devant le beau rouge tomate que prenait Allen.

-Jecest quea ne se fait pas de me laisser en plans, comme ça. Sindigna-t-il en essayant de se trouver lexcuse la plus crédible possible.

-Mais qui te dit que je te laisse ? Disons que ce nest quune petite pause. Je ne me suis encore jamais autant amusé. On remet ça demain, même heure, même lieu. Cette fois, je te laisse le choix. Venir, ou ne pas venir. Même si, de toute façon, cela ne changera pas grand-chose.

Puis sur un rire sadique, il quitta la pièce en traversant un mur.

-Heuouais. Mais, je suis où, moi, là ? Se demanda Allen en ne distinguant rien de la pièce plongée dans les ténèbres.

Une lumière vive le fit soudain plisser les yeux, le temps que ses pupilles se soient adaptées, il put découvrir Lenalee et Lavi, devant lui, apparemment en colère.

-Allen ! Mais pourquoi est-ce que tu est revenus ici sans rien nous dire ! On sest fait un sang dencre ! Cria la chinoise.

Prenant soudain compte quAllen était nu sous un draps fin cachant juste ce quil fallait, elle devint dun beau rouge coquelicot.

-M-mais. Quest-ce que tu fiche tout nu dans ton lit ? Lui demanda Lavi en le pointant du doigt.

Son lit ? Mais alors

-Où est-ce que je suis ?

Lenalee le regarda comme si elle avait devant-elle un malade mental.

-Heudans ta chambre.

Regardant autour de lui, Allen pu en effet reconnaitre la chambre de la congréassions.

Alors comme ça, le Noah lavait amené dans sa propre chambre. Il commençait à comprendre pourquoi ce fourbe avait rigoler avant de partir. Cette fois, il allait avoir du mal à inventer une excuse qui pourrait expliquer sa nudité dans son propre litsurtout à Lenalee.

Tyki regardait la tour de la congréassions de lombre, puis, après stre imaginé 100 scènes possibles une fois partis, il décida de se concentrer sur sa mission.

Continuant de marcher dans la forêt épaisse, il arriva bientôt prêt dune rivière ou quelquun lattendait.

Une petit fille dune douzaine dannée, en robe, se retourna à lentente de bruits de pas écrasant les feuilles mortes.

-Ah ! Te voilà ! Je peux savoir où est-ce que tu étais passé ? Sa fait plus dun quart dheure que je tattends !

Tyki, après être arrivé au niveau de la petite fille, interrogea son gardien de la liste du regard.

-Tu mavais dit que minuit était passé de quelques minutes, pas dun quart dheures!

-Un quart dheure, cest quelques minuuuutes ! Ce justifia le lutin.

Tyki soupira, sexcusa auprès de la petite, puis demanda :

-Bon, cest par où ?

Voyant soudain la jeune fille sapprocher de lui, il sourcilla.

-Quoi ?

Stant rapproché suffisamment de lui pour enfouir son nez dans la longue veste noir du gentleman, elle renifla un moment les vêtements, puis constata avec suspicion :

-Tu as lodeur dAllen-kun sur toi.

Tyki eu du mal à resté impassible.

-Vraiment ? Et bien cest parce que jai était à une soirée ou il y était aussi, voilà.

-Tu as du faire quelque chose avec lui pour sentir comme çaune revanche au poker ?

Tyki frappa son poing dans son autre main.

-Ah ! Cest ça que jaurais dabord dû lui demander ! Et, non, pas de poker. Juste un petit combat de rien du tout.

-Tu las laissé vivre ?

-Oui, je sais, je suis trop gentil.

-Tu me laurait abimer, gentil ou pas, je taurais détester. Avoua Road en détournant la tête.

-Hé, hé, je crois que je serais absent demain soir.

-A bon ? Un autre combat ?

-Non. Quelque chose quil faut que je finisse.

__________________________________________

Bon, comment trouver vous Allen et Mikkyheu, pardon : Tyki. ( Aaaah ! Sariella tu mas contaminé ! ^^ )

Un petit commentaire please !

Hm je ferait peut-être une suite si je vois que ma fic plait

Dites le moi !