Je ne sais pas comment j'aurai du agir.
Cela aurais pus être un accident mais c'était un meurtre... la copie conforme de mon passé.
Il boit pour tué. Elle a une routine. Ils l'attendent sourire au lèvres.
Il souri. Elle ferme les yeux. Ils reçoivent un appel.
Lorsque je suis sorti de la voiture, je ne m'attendais pas à avoir une scène pleine de souvenirs. De cauchemars.
Forcement, mon arrêt brutal, avant ma reprise de conscience ou du moins de geste, fut remarquer par Jane. Il ne me jeta qu'un simple regard signifiant qu'il était là, au cas où. Je n'allais pas y échapper mais je savais qu'il allait trouver le bon moment pour me parler.
Les autres n'ont rien vus.
Je suis professionnelle, je pose des questions, mène mon enquête, et trouve... un homme plein de jalousie qui n'hésite pas à tué la femme qu'il aime parce que cette dernière ne répond pas à ces avances, déjà marier et heureuse... il décide de faire croire à un accident en buvant avant et après son crime.
Je rentre chez moi après la pizza, après les dossiers, mais surtout après avoir éviter jane toute la journée. Je ne voulais pas, je ne pouvais pas, bien qu'il n'est rien vraiment tenté.
Je retire mes vêtements sur le chemin, les laissant tombé sur le sol et je me retrouve en sous-vêtements dans ma salle de bain. J'allume l'eau de ma douche et commence à voire de la vapeur. Je retire le restes de tissu qui me couvrent et entre. Une chaleur qui me fais mal s'acharne sur mon corps et je laisse les larmes couler. Parce que j'ai mal, parce que je souffre, parce que je me souvient... je fini par sentir l'eau devenir tiède, mais je n'ai rien touché... un bras passe sur mon ventre, un autre sur mes épaules. Je m'immobilise.
Je sais.
Je vois qu'il n'a même pas retiré sa veste, il va être trempé...
peut être plus par mes larmes, car en sa présence, je me laisse aller et je ne tente même pas de me retenir tant qu'il me tient fermement et tendrement. Mes mains ont agrippé sa manche sous mon menton, puis je sens qu'il pose sa joue contre mon épaule, ses lèvres contre mon cou... après quelques minutes, je me calme, je vais mieux.
Et finalement je me retourne, toujours nue, lui toujours habillé et nous simplement trempé. Je suis encore dans ces bras. Il me regarde dans les yeux, je vois des gouttelettes tombé des ses cheveux. Je regarde son visage, il est beau.
Mes gestes son plus rapide que mes pensée, à moins que ce ne sois l'inverse, tout me semble aller au ralenti. Mes mains qui était alors sur la poitrine remonte, et une ce retrouve dans ces cheveux tendit que l'autre lui caresse la joue effaçant l'eau qui continu de coulé. Ses mains son sur mes hanches nue, juste un contacte, un contacte que je sens comme ardent. Je suis soudain sur la pointe des pieds. Mes lèvres à quelques centimètres des siennes, je ne veut pas être égoïste, je connais son histoire, ces sentiments, il peut faire beaucoup de choses, mais ça... une sorte de promesse, je ne sais pas. Quelques secondes où mon cœur tente de savoir, quelques secondes que mon souffle est emprisonner, juste quelques secondes avant qu'il ne ferme les yeux et me dévore les lèvres.
Je sent la paroi toucher mon dos pendant que mes mains s'évertues à retiré le tissu qui me sépare de son corps. Je continu de l'embrasser, j'aime ces lèvres, leur goûts, les sensations qu'elles me procurent quand elles touchent mon cou, ma poitrine, puis mes lèvres à nouveau. Je ne sais pas où je vais ni se que nous faisons.
Nous sommes deux âmes détruite, hanté par un passé, qui se lave de leur douleur en espérant, en imaginant, en créant un avenir.