L'homme qui pensait que s'était une journée normale, ne savait pas que sa vie allait changer en une seconde...

une petite histoire que j'ai écrit avec une amie pour un devoir ...

L'histoire et les personnages nous appartiennent!

La ligne verte

C'était un après-midi gris et brumeux. Il semblait que tout les habitants de la ville de New York se hâtaient d'arriver au travail à temps. Cela ne m'étonnait point. Je me faisait emporter par la foule, une masse de gens compètement divers, mais tous avec la même expression sur leurs visages, un genre d'uniforme qui liait tout ces individus.

Ah, New York, la ville qui ne dort jamais...

En tournant le regard vers le ciel, je voyais les grattes-ciel disparaître dans les sombre nuages laissé par la forte pluie matinale.

Finallement, je pouvais distinguer l'enseigne de l'entrée du metro. Presque en oscillant en bas des escalliers je me faisait encore entrainer par une grosse vague de gens. Je sortis la carte de metro de ma poche et la glissa dans la machine comme tous les autres. Cela me rappellait aux employés d,une usine, tous ayant le même mouvement mechanique.

Je m'installai dans un banc, donc la couleur orange avait été couvert par des gribouillments imcompréhensibles de graffitis.

À peine j'eus ouvert le journal, oublié par son propriétaire précédent, que le sifflement si aïgu qu'il était intense, m'a faillit déchirer le tympan. Le courant d'air causé par la rapiditée du train, venant vers moi à toute vitesse, faisait tourbilloner les débris et les billets inutilisables.

Le train s'arrêta et les portes s'ouvrèrent.

Personne n'en sorit.

En fronçant les sourcils, j'échangai un regard rapide avec la femme à côté de moi. Elle aussi portait une expression clairement perturbée. J'hésitai un moment avant de monter dans la premier wagon.

Avec une allure preste, je me jetai sur un des sièges dans un coin, me séparant de tous les autres passagers. Ceci était la seule occasion de me détacher de ma vie trépidante et de me détendre, me préparer pour ma visite semi-annuelle chez mes parents, qui se font toujours trop de souci pour moi et ma vie personnelle.

En branchant mes écouteurs dans mon iPod, je m'envelopai dans mon manteau délicat et trempé par la fine pluie, et observai les autres passagers.

À ma droite s'était instalée une femme d'âge canonique qui enlaçait sa sacoche verte dans ses maigres bras. Elle avait des cheveux bleuâtres et serrait ses yeux avec toutes ses forces en se berçant doucement.

Assis directement devant moi, s'étaient un frère et une sœur. La grande sœur, âgé d'à peu près dix ans, tenait la moite main de son petit frère avec un air protectrice. Je ne les voyais pas accompagnés de parents.

Il y avait aussi d'autres passagers complètement standards, le genre de gens que l'on pouvait trouver dans chaque train de metro comme celui si.

En balayant rapidement mon regard sur les visages très variés, je trouvai avec succès, bien sur, l'homme d'affaires qui parlait hâtivement dans son cellulaire, L'étudiante de l'université qui lisait attentivement un livre de chimie et finallement l'artiste qui dessinait dans son carnet avec une allure intense.

Le train de metro fonça brusquement vers l'avant et augmenta peu àpeu sa vitesse.

Je contemplai ma reflection dans la fenêtre du wagon. Un visage blanchâtre d'une personne qui n'avait pas eu assez de sommeil avant une grande journée de travail. Les lumières bleu glacé des sortie de secours passaient en volant devant mes yeux.

Curieusement, les lumières courrèrent de plus en plus vite et avec un éclat de lueur soudain, ma reflection disparessa de la fenêtre du trai de metro.
_

Que va t-il se passer?

j'espere que vous avez aimé et oubliez pas que nous sommes heureux d'accepter des commentaires et des critiques!