Prologue.
Il y a des années, une femme devenus folle et tua sa famille du moins c'est ainsi qu'on le raconta et si tout ça été un mensonge. Si la vérité était que la femme avait protégé son bébé des monstres ignoble qu'étaient les hommes et était morte avec le reste de sa famille, l'enfant été mort. Enfin on pensa, la vérité est qu'il est en vie. Mais maintenant, sa mort est imminente, l'enfant a dix jours pour répare sa folie. Une vie vole, un cœur détruit, une nuit funeste, ou mort et amour se mêle en un souffle parfait. Le sang, les cris et un dernier souvenir, voila ce qu'il restait de cet homme. L'enfant n'y est pas arrivé et finis dans ce monde vide et mort, un monde d'oublis ou il n'y aucun pardon. L'enfant a maintenant vingt-quatre ans et il marche dans l'espace blanc et immense que constitue sa prison, une lumière se forme a l'horizon, l'enfant s'approche se méfiant de cette chaude et rassurante lumière. Un piège ? Il ne semble pas. Une faille ? Possible. L'enfant plonge calmement sa main et découvre le vide de l'autre cote, maintenant il passe l'avant-bras, toujours le vide. Il hésite à passer la tète mais finis par cède a cette folle envie et y plonge tout entier. Son corps passe et rencontre le vide. Il tombe vite et crains sa rencontre avec le sol, de longues et interminables secondes plus tard. Il tombe dans de l'eau froide, il a froid mais soupire. Combien de temps c'était-il écoule ? Oui combien. Un an, un jour, un mois, une minute ou un siècle. L'autre monde fausse complètement la chose. Ici, il n'y a pas de soleil, juste un ciel étoiles. L'enfant sort de l'eau et s'assoit. Quelque mètre plus loin, un feu de camp crépite, il ne semble avoir personne. L'enfant s'approche se méfiant de l'ombre de la forêt ou un homme ou un ninja n'aurait aucun mal à se dissimuler. L'enfant n'entend rien hormis les crépitements du feu. D'un coup un craquement le fais sursaute, il y a quelqu'un. L'enfant panique et sort un couteau de sa poche mais celui-ci lui échappe des mains. Un autre craquement retentit plus prés cette fois. Il se retourne et constate des ombres inquiétantes sur le sol. Combien ? Impossible à dire clairement mais plus que trois personnes. L'enfant repris mon couteau mais beaucoup trop faible, l'enfant s'évanouit.
