Tite: Mun unique amour à jallit de mon unique haine
Disclaming: Pas à moi, tout à JRK. Le salaire aussi malheuresement
Genre: Romance
Pairing: Et un HP/DM un !
/!\ Attention : Fanfiction traitant de relations homosexuelles, certains passages peuvent être vulgaire. Vous n'aimez pas ? Petite croix rouge en haut.
Note : Cette histoire prends en compte tous les tomes .
Je devais avoir à l'époque peut-être bien onze ans. Comment à cet âge là imaginer que la personne qui se tient en face de vous puisse à jamais changer votre vie ? Les détails de cette rencontre restent plutôt flous, je me souviens seulement d'un garçons brun aux yeux verts portant au front un cicatrice célèbre. Ce garçon marquera à jamais ma vie.
La suite, beaucoup de personnes la connaissent, mais connaissez-vous réellement notre histoire ? Ou comme tout le monde, êtes-vous tombé dans notre piège ?
Je me présente : Draco Malfoy. Bon nombre d'entre vous savent qui je suis. Fils de mangemort, richissime hériter, être sans âme… STOP. Et si tout cela n'était qu'une grande mascarade ?
Je suis en effet bel et bien Draco Malfoy, héritier d'une grande famille au sang pur. L'honneur à toujours été la base fondamentale de mon éducation. Il fallait faire honneur à mon nom, à mon rang, à mon sang… Je ne dis pas que je suis à plaindre, bien au contraire, j'ai très vite su tirer partie de cette situation. Comme beaucoup de personnes de mon milieu, mes parents se sont mariés parce qu'il était prévu ainsi bien avant leur naissance. Je suis arrivé sur terre trois ans après cette union.
Ma mère était une femme au grand cœur, qui tout comme moi avait appris les règles du jeu des Malfoy à ses dépends. Je l'ai toujours respectée et elle sera toujours dans mon coeur.
Mon père c'est autre chose, nos relations ont toujours été très distantes, il m'inculquait ce qu'il fallait savoir pour être un parfait héritier et en contre partie j'agissais sans broncher mais malgré tout il me fascinait au-dela de l'immaginable.
Très tôt déjà je voulais qu'il soit fière de moi mais sans jamais y arriver. Il en demander toujours trop, toujours plus. Il fallait que je sois parfait dans tous les domaines, et comme vous le savez, la perfection n'existe pas, c'était tant pis pour moi.
Cependant je me suis tellement donné corps et âme à vouloir le rendre fière sans jamais y parvenir, que j'en suis arrivé à le détester, à vouloir le voir mort. C'est très traumatisant pour un enfant de six ans à peine de vouloir la mort de son père. C'est bien plus tard que j'ai compris que cette haine n'était qu'en fait le trop plein amour d'un enfant dont le père ne donnait aucun signe d'affection. Mais ce n'était pas de sa faute, il était conditionné à être ainsi, comme je le suis maintenant.
Vous vous demandez peut-être pour quelle raison je prends la plume et vous raconte mon histoire ? C'est simple, je fête aujourd'hui mes trente six ans et j'ai eu envie de faire le point… sur mes erreurs, parce que Dieu seul sait qu'il y en a eu beaucoup.
Mais je ne vais pas vous dévoiler tout de suite la fin de l'intrigue en vous racontant ma vie actuelle. Donc installez-vous confortablement, si vous le voulez bien nous allons ensemble faire un saut dans mon adolescence et je vous promet d'être le plus fidèle à la réalité, du moins à mes souvenir. Ouvrez grand vos yeux, cher lecteur et bienvenue dans ma vie…
Les années ont passées et cette comédie familiale a continuée jusqu'au jour où je l'ai rencontré. Je savais à ce moment là que rien n'allait plus jamais être pareil. Cette personne là n'est autre qu'Harry Potter…
La première fois que je l'ai vu c'était chez Madame Guipure, je me souvient encore d'un garçon incroyablement maigre doté d'une touffe de cheveux noir absolument impressionnante. Il avait également de grands yeux d'un vert indescriptible, je n'en ai jamais vu des semblables de ma vie. Ce jour là, je ne savais pas encore à qui je m'adressais, j'ai alors joué le rôle du petit con qui me plaisait tant à l'époque. J'ai eu connaissance de son identité bien après, dans le train qui nous conduisait à Poudlard.
Imaginez un peu la situation, j'avais entendu parler de ce gamin tant de fois, j'étais prêt à parier que mon père aurait rêver de l'avoir comme fils à cette époque là. En effet, bon nombre de mangemorts pensaient qu'il était doté de pouvoir magiques dépassant tout entendement et qu'il deviendrait surement le nouveau Seigneur des ténèbres. Mon père l'adulait, et je m'étais fait la promesse d'essayer de devenir son ami.
Mais vous vous doutez bien que ce fut un cuisant échec, je n'ai jamais été très doué dans les relations humaines et la première chose que j'ai trouvé à faire fut de critiquer son ami. J'aurais pu m'excuser et me rattraper par la suite mais fierté oblige, il en a été tout autrement.
Mon père n'était pas si déçu que ça car il s'est rapidement révélé que Potter n'était pas vraiment ce qu'on pouvait appeller un sorcier hors norme. D'une part son amie Granger, fille de moldus, avait beaucoup plus de talent magiques que lui, ensuite il avait vraisemblablement choisi l'autre camps et finalement sa victoire sur le mage noir n'était due qu'à un énorme coup de chance.
Mais ce petit morpion m'intriguait tout de même, il avait un je ne sait quoi qui me poussait à faire partie de sa vie et puisqu'il m'avait humilié en refusant mon amitié je m'étais promis de tout faire pour lui pourrir l'existence , si je n'étais pas son ami j'allais être son ennemi.
Nos première années d'études se passèrent ainsi, dans une mésentente parfaite mais chacun vivait sa vie de son côté.
Je devenais petit à petit la personne qu'on attendais que je sois. Oh je ne m'en plaignais pas, au contraire j'aimais ma vie. J'étais adulé, craint et sa suffisait à faire mon bonheur. Je n'avais pas non plus de vrais amis, plutôt des personnes qui exécutaient mes ordres, maintenant que j'y pense je réagissait un peu comme le Lord noir au même âge. Les deux seules personnes qui semblaient ne pas me craindre et que je respectais était sans conteste Blaise Zabini et Théodore Nott. J'ai toujours gardé de bonnes relations avec ses deux là, aujourd'hui encore. On peu les qualifier d'amis.
Potter de son côté grandissait aussi et devenait de plus en plus séduisant. En un été il était passé du petit binoclard moche et trop maigre à un grand jeune homme bourré de charmes. Mais Potter étant Potter, il ne faisait aucun effort pour s'arranger mais ça ne semblait pas déplaire aux filles autour de lui ni à sa « petit amie » de l'époque, Cho Chang.
Je crois bien que c'est à partir de ce moment là que j'ai commencé à m'intéresser à lui autrement. Comprenez-moi, j'ai toujours considéré Potter comme un être asexué et voir plusieurs filles remplies d'hormones en ébullition tourner autour de lui à attiré ma convoitise.
J'avais 15 ans à l'époque et je commençais à découvrir les plaisirs de la sexualité en tout genre. Ce qui veut dire que pour moi une fille ou un garçon c'était kiffe kiffe. Bien que l'homosexualité était très taboudans notre société, je prenait le plaisir là où il y en avait sans différence de sexe.
J'ai donc commencé à m'intéresser à Potter à cette époque là. Bien sûre je n'aurais jamais osé tenter quoi que ce soit avec lui, c'était Potter après tout mais ça serait mentir que de dire qu'il ne me faisait ni chaud ni froid. J'ai donc fantasmé sur lui en secret durant des mois, maudissant la poufiasse pleurnicharde qu'était Chang. Je me souviens que leur séparation fut un jour très heureux pour moi. Mais l'année scolaire touchait à sa fin avec son lot de problème et chacun s'en alla de son côté.
Ma sixième année à Poudlard fut une période très sombre de ma vie, j'avais était chargé par le Seigneur des ténèbres de tuer Dumbledore et bien qu'au début cette tâche m'avait rempli de fierté, il s'était avéré que c'était bien plus compliqué que prévu et je craignais pour ma vie.
J'aurais donné n'importe quoi pour qu'il se rende compte de ce qu'il se passait et qu'il me propose son aide. Je le sentais tout de même très méfiant à mon égard mais je ne pouvais me résigner à lui demander de l'aide. Et puis il était bien trop occupé à explorer les amygdales de sa rouquine pour se soucier plus que ça de moi.
Je ne l'ai jamais autant haït et désiré à la fois. Je me souvient avoir passé de longues nuits d'hiver à penser à lui alors que ma vie sexuelle était au point mort à cause de ma mission. Alors je rester dans l'obscurité de ma chambre à penser à lui alors que ma main s'activait sur mon pénis rendu douloureux par la frustration.
Et une fois la jouissance venue je me maudissais car sa sainteté Potter était surement entrain d'enfoncer bien profondément sa virilité dans Wealey sans se douter le moins du monde de ma personne - je n'ai su que bien plus tard ce qu'il en était vraiment.
La suite vous la connaissez, nos chemins se sont séparés pour ne se retrouver qu'à la fin de ce qui devait être notre septième année mais qui ne l'étais pas. Il m'a sauvé la vie ainsi que celle de millions de sorciers.
Nous avons tous les deux continués nos études, lui à Londres dans l'académie des Aurors et moi loin de tout ça.
Je me suis installé durant quatre ans en France pour y poursuivre des études d'histoire à l'école du Louvre. Mon ancienne vie semblait tellement loin à cette période, je n'avais plus besoin de jouer aucun jeu, j'étais seulement moi-même: Draco un être imparfait mais qui avait quand même des qualités malgré ses nombreux défauts.
Ma vie me plaisait beaucoup, je vivais dans un somptueux loft sur les bords de Seine qui donnait un vue incroyable sur la tour Eiffel. Je gardais contact avec Blaise et Théo qui me donnaient des nouvelles d'Angleterre mais pas vraiment de Potter, il faut dire qu'ils ne savaient rien de mes fantasmes secrets sur sa personne. Je savais simplement qu'il venait de terminer ses études alors que moi j'en faisais de même, visiblement il était seul et cherchait à se reconstruire.
Il m'arrivait encore certains soir de penser à lui de manière sexuelle mais j'avais remarqué que ce n'était que quand mes histoires de cul s'espaçaient. J'avais donc préféré me dire que mes délires d'adolescent n'était qu'un trop plein d'hormones.
Mais il a fallut que je rentre au bercail et que mes vieux démons refassent surface…
Voilà pour le moment, vous avez aimé ? Destesté ? Peut mieux faire ? N'hésitez pas à laisser votre trace.
Le premier chapitre peut sembler soporifique (genre Draco qui raconte sa life... on s'en fou) mais promis que le deuxième chapitre sera mieux, avec plus d'action & tout & tout, promis.
En attendant je vous fais de gros poutous
(K)
