Dernière année à Poudlard.

1er chapitre : Le train 5972.

A bord du Poudlard Express, Hermione, Ron et Harry en compagnie de Dean, Seamus et de Neville, étaient en route pour rentré au chateau pour leur dernière année. Autant dire que tous les septièmes années étaient très stéssés. Les garçons à leurs habitude parlaient toujours de Quiddicht, et Hermione sortit son livre Livre des enchantements niveau sept. Elle lisait tranquillement quand elle eut une envie folle d'aller au toilette. Elle se leva, sans prononcer un mot, car les garçons étaient toujours occupés à parler de sport. Elle alla donc au toilette et quand elle sortit pour ce laver les mains dans le lavabo, elle regarda son reflet dans le miroir.

Pourquoi il a fallu qu'il vienne me demander ? Pourquoi ? et quelle idiote que je suis, pourquoi j'ai dit oui ? Je n'ai jamais voulu sortir avec lui !

Elle ferma le robinet, essuya ses mains, et sortit des petits coins quand, elle vit passer devant elle une tête blonde très vite. Elle faillit reculer d'un pas mais la main de la tête blonde lui attrapa le poignet. Il avait un sourire vicieux. Il l'a regarda de haut-en-bas et lui adressa un salut. Hermione ne comprennait rien à rien ! Comment Malefoy la regardait et pourquoi il lui avait attraper le poignet lui qui ne touche pas les moldus.

Draco : Bonjour. Je m'appelle Draco Malefoy. C'est pas tout les jours que l'on voit des nouvelles de septième année. Mais je suis enchanté de faire votre connaissance. Bon je vais vous laisser et je vais aller rejoindre mes amis. Si vous voulez venir me voir c'est ce compartiment là ( en designant du doigt une porte pas très loin) Au plaisir de vous revoir !

Draco lacha la main d'Hermione et s'engouffra dans une cabine avec des autres Serpentards en train de ce moquer des autres. Hermione resta bouche bée. Pourquoi Draco lui avait parler comme s'il ne l'avait jamais vu. Elle rentra dans les W.C. et regarda son reflet une nouvelle fois dans le miroir. Elle avait des mèches de couleurs blondes et cuivres dans les cheveux, elle s'était légèrement maquiller, un trait de eyesliner noir, un peu de mascara, un peu de gloss. Elle avait attaché ses cheveux en queue de cheval partant du sommet du crâne. Elle portait un marcel noir transparent avec un débardeur en dessous, un jean bleu foncé et les dernières Addidas blanches aux rayures rouge. En fait, elle n'avait pas beaucoup changé. Juste un peu mais c'est tout. Elle regarda de nouveau derrière la porte et sortit. Elle se dirigea vers le compartiments de ses amis. Elle entra et vit que Ginny était entré dans la pièce. Elle s'approcha d'elle et lui explique tout, encore sous le choc de ce qui vennait de ce passer tout à l'heure. Ginny lui avait expliquer qu'il ne l'avait pas reconnu mais Hermione restait soucieuse. Quand Ron lui dit qu'elle fallait qu'elle aille dans le compartiments des préfet-en-chef pour expliquer les règles aux nouveaux préfets, elle se leva et s'apprêta à sortir quand Harry la retint par le poignet, ce leva à son tour et l'embrassa langoureusement avant qu'elle sorte. Personne ne semblait choqué par leur hatitude et même Neville lança un petit Ils vont bien ensemble . Hermione dégoutée, sortit de la pièce en pensant à ce que vennait de faire Harry. Elle ne l'aimait pas comme lui l'aime. Pour elle c'était son meilleur ami c'est tout, mais lui la prennait pour sa petite amie et il fallait qu'elle lui dise se qu'elle ressentait. Elle marcha vers le compartiment des préfet-en-chef et y découvra Draco, torse nu en train de mettre son uniforme : apparement l'entrainement de Quiddicht portait ses fruits car il avait la silouhette d'un nouveau joueur de rugby. Il avait coupé court ses cheveux, il n'avait donc pas de gel. Quand il la vit entré, un nouveau sourire viscieux se dessina sur ses lèvres. Il y avait dans son regard une sorte de lueur, il la regarda encore de haut en bas.

Draco : Je crois que tu t'es trompé de compartiment.

Hermione : Je ne crois pas Malefoy !

Draco fut surpris d'entendre la voix de Hermione. Il la regarda de haut en bas et essuya sa main sur son pantalon. Hermione avait très bien compris pourquoi il faisait ça. Elle rosit légèrement et essaya de garder son sang-froid.

Hermione : Alors c'est toi l'autre préfet-en-chef ?

Draco : Je vois que t'es très perspicace, Granger. Bon sens de l'observation. Mais maintena t'évite de me parler. Je me suis déjà sali la main, et j'ai pas spécialement envie de parler avec quelqu'un comme toi.

Hermione rougit encore plus. Elle sortit de la pièce en claquant très fort la porte. La fenêtre se brisa et les débrits tombèrent à terre. Elle marcha très vite jusqu'a son compartiment, entra dedans et s'assit sur la banquête. Elle croisa les bras et les jambes, elle fixait sun reflet dans la glace, elle était exactement comme tout autre sorcier, elle n'avait rien dun monstre. Elle était très énervée et quand Harry s'approcha près d'elle pour lui demander ce qu'elle avait, elle avait répondu avec beaucoup de colère :

Hermione : C'est pas le moment, laisse-moi tranquille pour une fois !

Harry se stoppa net en voyant comment réagissait Hermione et ne lui dit plus rien. Elle avait les yeux emplis de larmes et les joues rouge de furreur. Draco dut expliquer les recommandations aux nouveaux préfets et il en avait marre de les entendre poser sans arrêt des questions. Il les vira du compartiment et resta seul. Il s'assit près de la fenêtre et regarda le paysage défiler. Il pensa à ce que son père lui avait dit avant de monter dans le train.

Draco, essai d'obtenir un maximun d'ASPIC, parce qu'il te faudra beaucoup de capacité si tu espère m'impressioner. Je serai très content de toi, si comme moi, tu obtenais au moins douze ASPIC. Je t'enverrais des lettre tous au long de l'année pour voir ton évolution. Ne me déçoie pas Draco, je compte sur toi. Et une autre personnes aussi compte sur toi mais je préfère te laisser le doute. Je ne t'embrasse pas, tu me comprends mais il faut que je parte. Passe une bonne année, essais de travailler du mieux que tu peux. Et tu peux être sur que tu auras un emploie dès ta sortit de Poudlard.

Pourquoi son père tennait tant qu'il est autant d'ASPIC. Bien sur celà ce comprent qu'un père veuille que son fils réussisse mais ce n'était pas dans les habitudes de Lucius du bien être des études de son fils. Il sentit le train ralentir. Il remarqua qu'il était encore dans le compartiment des préfet-en-chef et qu'il n'avait pas encore totalement mit son uniforme. Il sortit de la pièce et se dirigea avec beaucoup de mal jusqu'a son compartiment où se trouvait ses vêtements car les élèves le bousculaient dans les couloirs étroit du train. Il s'habilla et sortit du train. Il était vide. Il marcha lentement et regarda ses pieds au lieu de regarder droit devant lui. Il marcha, marcha et BOUM ! il se prit quelqu'un. Il tomba à la reverse et sa valise s'ouvra et déversa tous les objets quelle contenait.

Draco : OH ! TU POURRAIS FAIRE UN PEU ATTENTION QUAND TU MARCHES, TU DEVRAIS AUSSI T ACHETER UNE BONNE PAIRE DE LUNETTE...

Hermione : CA VA C EST TOI QUI DEVRAIT T EN PRENDRE A TOI-MÊME. EST-CE QUE QUELQU'UN REGARDE SES PIEDS QUAND IL MARCHE ? JE CROIS PAS NON !

Ils criaient en même tant et ils n'entendaient pas ce que disait l'autre. Hermione arrêta de hurler et elle vennait juste de remarquer que c'était lui.

Hermione : A c'est toi ! Pourquoi t'es pas parti avec les autres ?

Elle parla comme le professeur McGonagall, c'est à dire avec beaucoup de dureter dans la voix. Draco se raidit en entendant le son de sa voix. Il avait une folle envie de la frapper. Il se releva et ramassa ses affaires. Hermione se baissa pour l'aider mais Draco lui sortit une habituelle vanne.

Draco : Je n'ai pas envie de les désinfecter ce soir. Chuis trop fatigué pour ça, alors maitenant laisse-moi et va retrouver tes chers amis.

Hermione : Heureusement que moi j'en ai ! Des vrais amis.

Elle tourna les talons et sortit du train avec Pattenrond dans son bras gauche et la valise qui trainait par terre dans la main droite. Draco resta seul dans le train en ramassant ses affaires puis il entendit le bruit caractéristique d'une valise qui traine à terre. Il leva son visage pour voir la personne et vit Hermione, remontant dans le train avec un air abattu.

Hermione : Ils sont tous partis ! Plus personnes ! Tous le monde est parti et il ne reste même pas une seule barque pour rentrer au chateau. Je crois qu'on est coincé dans ce fichu train, toi et moi !

Draco la regarda avec un peu d'anxiété et de contrariété. Il n'aimait pas être en compagnie de sang-de-bourbe-ras-de-bibliothèque, autant dire avec Hermione.

Draco : Quoi ?...Parti ? (Reprennant ses esprits )Il est pas question que je reste avec toi dans ce fichu train sans personnes d'autre. je vais en ville chercher un endroit où dormir ! Toi reste ici si ça te fait plaisir mais moi il est pas question que je reste avec toi ici !

Hermione : Tu te répettes !

Draco ramassa sa dernière chaussette, la mit dans sa valise, la porte sur son épaule et sortit du train. Au moment où il allait descendre du train, Hermione lui posa une question.

Hermione : Pourquoi tu me fuis, je n'ai pas la peste !

Draco resta une secondes en train de penser à se question puis sortit vraiment du train. Hermione le voyait partir dans la nuit. Il disparaissait petit à petit et Hermione s'installa dans un compartiment .Elle s'assit sur la banquête et regarda le chateau.

Pourquoi j'ai attendu ? Pourquoi je ne suis pas aller avec les autres ?

Elle posa sa tête contre la fenêtre, ferma les yeux et s'endormis d'un sommeil léger, Pattenrond lové sur ses cuisses. Elle avait une main posé sur la tête du chat et l'autre était sur la banquête.

Draco marchait dans les rues du Près-au-lard. Personne. Il n'y avait personne, tous les magasins étaient fermés, et les hotels aussi. Il se résigna donc à retourner dans le train. Il fit demi-tour, passa devant le bar de Mme Rosemetta et marcha vers le Poudlard Express.

Elle est bizarre cette nana. Toujours à poser des questions mais c'est une sang-de-bourbe, une belle sang-de-bourbe ! ouais. J'aimerais bien me la faire mais j'ai pas envie d'attraper sa maladie !

Il monta dans le train et se dirigea vers le compartiment où dormait Hermione. Il se disait qu'elle ne voudrait plus jamais lui parler et tant mieux d'ailleurs, mais au moins s'il fermait la porte la chaleur que produirait les deux corps pour rendre la pièce plus chaude et il faisait très froid dans un train la nuit. Il entra dans la pièce et balailla la pièce du regard. Il ferma la porte et s'assit devant Hermione. Elle dormait profondément, pensa-t-il. Il se leva et l'approcha doucement. Il la regarda de très près. Son nez était à moins de deux centimètres de celui de la jeune femme. Il regarda les moindre détails de son visage. Il regarda son menton, sa bouche, ses joues, son nez et quand il voulut regarder ses yeux, il sursautta et tomba à la renverse par terre en se prennant la banquête dans la tête. Elle avait les yeux grand ouvert, le regardant comme s'il portait la plus horrible des maladies.

Draco était essouflé comme s'il vennait de parcourir plus de quinze kilomètres.

Draco : Mais ça va pas la tête !

Hermione : Excuse-moi ? C'est moi qui va pas bien ? Ce n'est pas moi qui regardait tout ton visage comme si t'étais un truc encore jamais découvert ! Et pourquoi tu me regardait comme ça ?

Draco ne répondait, il ne savait pas pourquoi il l'avait approché de si près.

Hermione : REPONDS !

Draco : Je voulais voir si les sang-de-bourbes ont les mêmes visage que nous !

Hermione : Mais tu te fou de moi, ma parole ! Tu me prends pour un Strangulot ? Je suis comme toi ! Enfin non, moi je ne suis pas avec un cerveau de la taille d'une fourmie !

Hermione s'était levé, sans en être aperçus, mais elle se rassit. Elle avait croisé les bras et les jambes. Elle avait un regard des plus méprisant.

Hermione : Je crois que tu peux partir, non ? Ce train est vide de fond en comble ! Je ne vois pas comment tu voudrais rester avec une Sang-de-Bourbe !

Draco ne bougea pas. Il regarda Hermione avec un regard surpris. Il ne l'avait jamais vu dans un tel état d'énervement, même quand il s'était pris une gifle de sa part.

Hermione : SORT ! TOUT DE SUITE !

Draco ne bougeait toujours pas.

Hermione : D'accord ! Tu ne veux pas partir alors c'est moi qui partirais ! Je ne vais quand même pas rester avec quelqu'un qui me traite, qui me méprise et qui en plus me prends pour un chien à trois tête.

Soudain elle sourrit repensant à sa première année et à sa première rencontre avec touffu le chien d'Hagrid. Elle se leva, prit son chat et sa valise et sortit de la pièce en partant dans le coin le plus éloigner d'où se trouvait Draco. Elle marcha, marcha et trouva un compartiment très froid mais très éloigner et s'y installa. Elle posa son chat sur la banquête et sa valise sur le filet. Elle s'allongea sur la banquête et s'endormie aussitôt toujours d'un sommeil léger, mais encore plus léger cette fois.

En se réveillant, elle avait une couette sur elle. Elle regarda au alentour mais personne était présent dans la pièce. Elle s'assit, posa sa tête contre la fenêtre. La vitre était gelé. Sa tête lui faisait horriblement mal. Elle regarda les vitres du chateau éclairé, aux plats suculents, à la chaleur de la Grande Salle, à la chaleur. Elle se leva, décidé, la couette tomba à terre et elle eut un long frisson. Elle sortit de son compartiment et se dirigea vers la sortit. Quand elle passa devant la porte du compartiment où s'était alonger Draco, elle s'arrêta et repensa à la façon dont il l'avait regarder. Jamais elle n'avait vu Malefoy le regarder comme ça. Un frisson la parcourra de nouveau. Elle sortit du train, se dirigea vers le lac. Elle sortit sa baguette de sa poche intérieur et essaya plus formule pour faire apparaître une barque. Elle n'en connaissait aucune. Elle essaya de faire apparaître un radeau mais rien. Elle ne connaissait aucune formule. Elle se résigna à retourner dans le train. Elle marcha lentement, sentant que l'air froid d'une nuit de septembre lui remettrait les idées en place. Hermione monta dans le train et se trouva nez-à-nez à Draco. Il la regarda mais bizarement son regard était vide. Il n'y avait ni dégoût, ni crainte, ni quoi que soit d'autre. En fait, Draco la regarda avec intérêt repensant à sa question de tout-à-l'heure.

Draco : Je crois qu'il faut qu'on parle.

Alors cette nouvelle histoire ? Bien ou pas ? J'attend avec impatience toutes vos rewieus !

Gros Bisous §evo !