Ma nouvelle fic ! Ca vous plaît? Dois-je continuer ? Je me rappelle pas trop de l'épisode où Maes meurt, alors pardon pour le amnque de précisions ou les incohérences.
Persos pas à moi.
23h00. Maes Hughes est toujours à son bureau, en train de faire des recherches. Sur une militaire, Juliet Douglas. En théorie, c'est la secrétaire du Généralissime. En théorie seulement, car Maes a découvert qu'elle est morte il y a un bon bout de temps. C'est aussi la militaire qui aurait déclenché le conflit d' Ishbal, en tuant accidentellement un enfant. Alors si elle est morte, qui est la secrétaire ?
La réponse que trouve Maes ne lui plaît du tout. Il décide d'aller voir Marcoh, il a des questions à lui poser. En partant, il congédia Shiezka, qui n'y comprend rien. Puis il va trouver la secrétaire et demande à voir le docteur. La soi-disant Juliet l'accompagne.
" Au fait, c'était comment à Ishbal ?" demande Maes.
" Je n'en sais rien." répond-elle.
Oh oh. Les soupçons de Maes se confirment. Ils s'arrêtent devant une porte.
" Vous voulez me faire croire que Marcoh est là-dedans ?" lance Maes.
Juliet hoche la tête. Il ne la croit pas, et préfère partir. Mais quand il se retourne, c'est pour se retrouver nez-à-nez avec une femme aux longs cheveux noirs et aux yeux violets. Elle a pointé desongles anormalement longs sur son cou. Maes remarque le tatouage rouge sur sa poitrine. Il sait ce qu'elle est.
" C'est un beau tatouage que tu as là ma jolie." dit-il.
Lust lui écharpe l'épaule, Maes lui lance un couteau dans la tête.
" Attention !" entend-il.
C'est le lieutenant Ross, elle vient lui porter secours. Tous deux prennent la fuite.
" Ah il se défends bien. C' est à moi de faire ça d'habitude." dit Lust en ôtant la lame de son front.
Dehors, Maes et Ross courent toujours. En lui parlant, le militaire remarque une anomalie chez sa collègue. Finalement ils arrivent à une cabine téléphonique. Maes doit absolument joindre son meilleur ami. Hélas, Roy est injoignable. Le soldat raccroche, et se tourne vers le lieutenant qui lui tourne le dos.
" Et maintenant, j'ai quelque chose qui vous intéresse personnellement. Le lieutenant Ross a un grain de beauté sous l'oeil gauche." dit-il en mettant un de ses couteaux sous son oreille.
" Que voulez-vous quelque fois on se montre négligent. C'est mieux comme ça ?" réponds la fausse Maria en faisant apparaître le grain.
Sans attendre davantage, Maes lui ouvre la gorge. Le double de Ross s'écroule.
" Bon, c'est pas que je m'ennuie, mais il faut que je rentre. Ma p'tite femme m'attends." reprends Maes en tournant les talons.
" Votre femme est ici. Profitez-en pour lui dire adieu."
Maes découvre alors Gracia sa femme, qui pointe un pistolet sur lui. Il sait, il sent qu'il est en danger mais il est incapable de réagir. C'est sa femme, il ne peut pas lui fairedu mal.
Tou à coup, quelque chose touche l' homonculus. Maes voit ses yeux s'équarquiller sous la peur. Envy se met à trembler comme une feuille. Il ne comprends pas, que lui arrive-t-il ? D'où vient cette terreur sans nom qu'il ressent sans raison ? Envy n'en sait rien. Il lâche son arme, et se met à crier de peur.
Maes le regarde sans comprendre. Il ne remarque pas l'individu qui lui fonce dessus et attrape son poignet.
" COURS !"
Maes suit alors celui qui vient de lui sauver la vie. Tous deux court dans les rues sombres. Son sauveur s'arrête devant une voiture dont il brise la vitre arrière. La portière s'ouvre, et Maes est poussé brutalement dedans. Puis la même chose arrive à la vitre avant, et l'individu s'assoit au volant, trafiquent les fils et démarre sous les chapeaux de roues.
Envy est recroquevillé sur le sol. Il a reprit sa forme habituelle, mais a encore les yeux révulsés par ce qu'il vient de vivre. Lust, qui le découvre dans cette position, est sutpéfaite.
" Envy ? Qu'est-ce qui t'arrive ? Et notre cible où est-elle ? " demande l'homonculus.
" Je ... sais pas ... parti." articule l'adolescent aux cheveux verts.
" Qu'est-ce qu'il t'a fait pour te mettre dans cet état ?" reprend Lust.
La peur que ressent Envy disparaît peu à peu. Il parvient à s'asseoir.
" C'était pas lui. Je sais pas ce qui s'est passé. Quelque chose m'a touché dans le dos ... et là j'ai ressentit une de ces trouilles. Une vraie terreur, à te faire avoir une crise cardiaque. J'ai jamais ressentit une horreur pareille, et je veux plus jamais la ressentir." explique-t-il.
Envy, avoir peur ? C'est impossible. Hormis leur maître rien ne lui fait peur. Et encore, Lust n'est pas sûr qu'il en ait peur. Alors qu'a-t-il bien pu se passer ? Elle n'en sait rien, mais en revanche leur cible est encore en vie.
Dans la voiture, Maes essaie de retenir le sang qui s'échappe de son épaule.
Un peu plus il serait en train de se vider complètement. Si cette personne n'était pas intervenue, il serait sûrement mort.
" Excusez-moi. Mais j'aimerais savoir qui vous êtes." demande-t-il.
" Tu sauras tout quand je t'aurais mis en sécurité."
Cette voix ... il lui semble la reconnaître. C'est celle d'une femme en tout cas.
Maes se tait. Il repense à ce qui vient de se passer. L'homonculus ... il avait pris l'apparence de Gracia pour le tuer. Quelle horreur. Apparemment on ne pouvait pas les tuer en leur ouvrant simplement la gorge. Donc, l'autre homonculus devait être encore en vie elle aussi.
La voiture s'arrête. Sa sauveuse en sort et vint lui ouvrir la porte. Maes sort, et elle le conduit dans un immeuble. Ils montent trois étages, et s'arrêtent devant un appartement. Elle ouvre la porte et le fait entrer. Maes est conduit à la salle de bains. Il s'assoit sur le rebord de la baignoire. Quand la lumière s'allume en revanche, il pousse un cri de surprise. La personne qui se tient devant lui lui ressemble beaucoup. Mêmes yeux vert, même couleur de cheveux, même nez, même bouche ... tout est comme lui.
" Ce n'est pas possible ..." souffle-t-il.
" Bonsoir Maes. Ca faisait longtemps pas vrai ?" dit-elle en souriant.
" Mon dieu ... c'est vraiment toi ?" reprend-il.
" Ca en a l'air. Je suis arrivée pile à temps."
" Maya ... j'arrive pas à le croire ... comment est-ce possible ? Je te croyais morte." fit Maes en se levant.
" Non, seulement amnésique. Ma mémoire a mis beaucoup de temps à revenir, et même après je n'ai pas pu venir te retrouver." expliqua Maya.
Maes sentit les larmes lui monter aux yeux. Puis il serra Maya contre lui, avec son bras valide. La jeune femme lui rendit son étreinte. Maes renifla, les larmes coulant sans qu'il puisse les retenir. Maya elle-même ne retint pas les siennes.
" Si tu savais comme tu m'a manquée ... me suis sentit si seul après l'accident." avoua Maes.
" Et moi alors ! Cinq ans loin de ma famille, dans les montagnes du Shandar je te dis pas."
Maes l'embrassa sur la tête.
" Les montagnes du Shandar tu dis ?"
" Vi. Le train a déraillé là-bas tu te souviens ? Enfin pas loin." répondit Maya.
Maes hocha la tête. Maya décida de s'occuper de sa blessure. Elle l'aida à ôter sa veste, et nettoya la plaie.
" Il faudrait aller à l'hôpital pour bien faire." reprit-elle.
" Sauf qu'ils me retrouveront là-bas."
" Au fait, c'était quoi ces trucs ?" demanda Maya.
" Des homonculus. Des êtres humains créés par l'alchimie. Aïe."
" Pardon. Eh ben, quelle éraflure ! Qui tu appelais ?"
" Roy. D'ailleurs il faut que je le rappelle."
Maya sourit. Elle serait contente de le revoir celui-là aussi. Maes se leva, et demanda un téléphone. Maya le conduisit au salon. Il composa le numéro de son meilleur ami. Roy répondit sans attendre.
" Enfin te voilà ! J'ai essayé de t'appeler tout à l'heure." fit Maes.
" J'étais dans le train. Qu'est-ce qui t'arrive ? Pour m'appeler aussi tard ça doit être grave." répondit Roy.
" C'est rien de le dire. Mais retrouve-moi plutôt ... où ça au fait ?" demanda Maes en se tournant vers Maya.
" 18 rue Solis. 3ème étage, porte 10."
Maes répéta l'adresse, puis raccrocha. Il regarda ensuite Maya avec une infinie tendresse.
" J'ai au moins un million de questions à te poser." dit-il.
" Chaque chose en son temps. Ton meilleur ami va arriver, et on aura des choses plus importantes que parler de mon passé." répondit Maya.
Maes acquiesça. Un quart d'heure plus tard, Roy sonna à la porte. Ce fut Maes qui ouvrit et le tira au-dedans.
" Quel accueil ! Mais ... tu es blessé !" remarqua le colonel.
" Je vais tout te dire. Mais viens par là, il y a quelqu'un que je veux que tu voie."
Maes le conduisit au salon. Roy resta bouche bée en découvrant qui était sur le canapé.
" Ce ... Maya ! Maya c'est toi ?" demanda Roy interdit.
" Bonsoir Roy." dit-elle.
" Content voir que tu te souviens de ma jumelle." fit Maes.
Roy garda les yeux sur elle. C'était bien elle, la soeur jumelle de Maes. Pourtant, il avait cru qu'elle était décédée cinq ans plus tôt. Pourtant elle était bien là, devant lui. Bien vivante. Et toujours aussi belle.
